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Sous le soleil de Satan – Conférence du père Joseph à Paris

E&R Île-de-France recevra le père Joseph à Paris le samedi 16 novembre 2024 après-midi pour une conférence intitulée « Sous le soleil de Satan ».

 

Présentation de l’événement :

Le père Joseph, de son nom civil Régis de Cacqueray-Valménier, est prêtre et religieux capucin d’obédience traditionnelle au couvent de Morgon (Rhône). Il est l’ancien supérieur du district de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X pour la période 2002-2014 et l’actuel aumônier de Civitas International et d’E&R (Festival).

À la lumière des réflexions proposées par E&R, l’« Empire » et l’« Époque » sont analysés de manière sociologique. Cette conférence dispensée par le père Joseph, gardien de la tradition spirituelle, dévoilera le versant théologique de notre époque afin de la comprendre dans son ensemble et se focalisera donc sur l’esprit du mal : Satan.

La conférence « Sous le Soleil de Satan », référence empruntée au livre de G. Bernanos, aura donc pour objectif d’apporter la lumière théologique apte à nous fournir une compréhension profonde du monde contemporain. Ainsi, Satan a progressivement fait la conquête des esprits et des sociétés terrestres en commençant par détruire la métaphysique [I] pour aujourd’hui dominer par le truchement d’une hyperclasse qui lui est acquise [II] et qui impose au monde une vision globale caractérisée par le concept de l’inversion [III].

 

Informations importantes

- Entrée : 10 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : evenements.eridf@gmail.com (Indiquez nom et prénom)

- L’adresse et l’heure exactes vous seront communiquées la veille par courriel

- Présence d’un stand Kontre Kulture

- Présence d’une buvette

 

 

Se faire une religion sur le satanisme

 






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8 Commentaires

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  • #3444486

    Belle initiative, j’espère néanmoins que ce sera basé davantage sur des faits et du concret et non juste des croyances car j’ai rarement vu des personnes religieuses ou des théologiens et autres eschatologues (comme l’abbé Barruel qui était pourtant jésuite comme Weishaupt) apporter une vraie synthèse articulée comme le font Soral ou Hindi (Pierre Hillard étant hors-jeu espérons-le temporairement à cause de sa fausse piste des Loubavitch) sur la compréhension du monde contemporain, il s’agit souvent d’un fatras d’interprétation très maladroites des écritures.

    Certes il faut bien un point de départ, mais il est grand temps d’articuler correctement les écritures avec l’observation du réel. Pour moi le meilleur actuellement et de loin est le conférencier Bertrand Scholler, il est l’un des rares à avoir compris et être capable de décortiquer la stratégie de l’Ennemi dans les moindres détails. Je suis certain que M. Soral apprécierait.

    J’espère que vous prendrez le temps d’aller voir sa chaîne youtube passionnante,
    vous ne le regretterez pas, il est brillant !

     

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    • #3444730
      Le 27 octobre à 03:33 par Soupe-au-lait
      Sous le soleil de Satan – Conférence du père Joseph à Paris

      Moi je me méfie toujours des gars qui viennent m’expliquer la vie, alors qu’ils n’ont jamais bossé, qu’ils ont une particule a leur blaze et leur famille un blason.
      J’ai envie de dire , que les curés fassent la messe plutôt que nous apprendre comment gérer notre vie quotidienne.
      S’il y’a bien des gens que je n’écoute pas en dehors des sermons, c’est bien les curés, les religieux.
      Je trouve même que chez les tradis, ils l’ouvrent trop.

       
  • #3444598

    Dieu, au sens d’une entité supérieure et extérieure au monde dans lequel nous vivons, n’existe pas d’une façon manifeste. Par conséquent, le diable n’existe pas non plus, pour les mêmes raisons, mais ce dernier existe d’autant moins que son être-au-monde est totalement subordonné à l’existence primordiale de la première entité, car tout ce qu’il sait faire, c’est de s’opposer à Dieu, alors que ce dernier a fait tout le travail de la création du monde.
    Pour résumer, je dirais que Dieu a fait le boulot et que le diable se contente de ricaner devant l’ œuvre accomplie.

     

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    • #3444658

      ’Le diable se contente de ricaner devant l’ œuvre accomplie’... ?

      Si tel était le cas nul n’aurait rien à craindre de lui, or une multitude de simplets s’engouffre dans son sillage, happée, fascinée par l’offre : rien n’est interdit, tout est permis , tout vaut son contraire, jouir sans entrave, duper sans limite façon Manu et Jean Michel qui auraient tort de se priver d’un public aussi nombreux et acquis à leur cause sous la bannière du progressisme et du Wokisme.

       
  • #3444650

    Une affiche qui annonce du lourd en terme de Vérité, tout ce que l’église conciliaire esquive depuis Vatican II... avec zèle, obéissance et soumission.

     

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    • #3444802

      @bougre, oui, vatican II, en 1965, mais surtout avec l’arrivée au pontificat de jean paul deux, en 1978, ne pas oublier qu’il était un des principaux rédacteurs de vatican II, le pape, le plus anticommuniste, donc de 1978 à 2004, qui lui a pratiquement détruit les fondements de l’église, avec, on peut le dire avec zèle et soumission et obéissance.

       
  • #3445680
    Le 28 octobre à 23:59 par One step beyond
    Sous le soleil de Satan – Conférence du père Joseph à Paris

    Merci à E&R.
    C’est en entendant le dernier discours de l’abbé de Cacqueray, avant son entrée chez les capucins de Morgon, publié par E&R, que je me suis redirigée vers l’église Catholique traditionnelle : le salut.

     

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  • #3447899
    Le 3 novembre à 03:40 par Koussikoussa évoque la figure de la femme fascinée par les intrigues et les (...)
    Sous le soleil de Satan – Conférence du père Joseph à Paris

    Après la conquête du droit à l’avortement, l’émancipation féminine prend aujourd’hui des formes qui interpellent, où le corps devient un terrain d’expression personnelle et politique. La décision pour une femme de se couper le sein, qu’il soit réel ou métaphorique, est parfois perçue comme un acte de libération, un geste qui transcende les attentes séculaires sur la maternité et le don de soi. Là où l’avortement fut un premier pas vers la maîtrise de son corps, ce choix de se couper, littéralement ou symboliquement, de l’idée de nourrir, semble incarner une nouvelle révolte contre les normes qui enferment le féminin dans des rôles immuables.

    Donner le sein, en effet, porte une charge symbolique immense ; c’est l’image d’une transmission de vie, un pilier de la civilisation qui lie les générations. Remettre en question cette image revient à défier un fondement culturel qui associe la femme à la maternité et à l’altruisme. Ce geste pose alors une question essentielle : la liberté passe-t-elle par la rupture avec les symboles ou par leur réappropriation ? La redéfinition de ces symboles de féminité révèle les tensions d’une société en quête de nouveaux repères pour le féminin.

    Vous êtes les sujets involontaires d’une expérience sociologique, non pour résoudre un problème, mais pour en susciter et en observer le développement. La science sociale, autrefois vouée à comprendre et à éclairer les rouages de nos sociétés, semble aujourd’hui reléguée, dissonante dans le bruit des dynamiques modernes. Dans cette civilisation qui évolue plus vite qu’elle ne réfléchit, la sociologie semble avoir perdu son foyer, son ancrage même, comme une boussole oubliée au milieu d’un monde qui préfère le chaos contrôlé aux explications apaisantes. Comme le retour de la peine de mort

    Ce n’est point de leur faute, mais bien celle de l’homme qui n’a su prendre soin d’elles avec la tendresse et l’attention qu’elles méritaient.

     

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