Tout finit par se voir, et se dire : les lecteurs d’E&R ne seront pas surpris d’apprendre que Mélenchon, ses cadres et ses troupes, feront tout pour barrer la route au fascisme de Marine, qui n’est pas prouvé, et qu’ils permettront la réélection du fascisme de la Banque Macron, qui lui est prouvé. État d’urgence prolongé éternellement, Assemblée nationale dévitalisée, frappes chirurgicales contre son propre peuple, destruction de l’industrie, paupérisation programmée de la population, censure et surveillance, bref, la Banque Macron c’est un pouvoir policier plus que politique.
En 2021, les grandes entreprises, dites du CAC40, ont engrangé 160 milliards de bénéfices. Autant de perdu pour la communauté nationale et le pouvoir d’achat, comme si – et c’est exactement comme ça ! – l’argent des ménages avait été transféré, pompé, viré sur le compte déjà bien garni des multinationales. Les 30 millions de ménages ont donc perdu 150 milliards, soit 300 euros par mois et par ménage, grosso modo.
Le concept étrange de redistribution asociale ou de ruissellement vers le haut
Les entreprises ont le droit de faire des bénéfices, mais autant, dans une période de crise sociale majeure, c’est de l’extorsion, et là, on ne tombe pas dans le mélenchonisme primaire, genre les vilains riches contre les pauvres pauvres. Cette décision de favoriser la grande entreprise au dépend des ménages est politique. Le système politique français, théoriquement démocratique, fonctionne en réalité sur le principe des Grands Électeurs.
Qu’est-ce que c’est encore que cette invention d’E&R ?
Dans les Grands Électeurs, dont le poids politique est déterminant, on trouve les réseaux francs-maçons, les lobbies, sioniste et LGBT, toute cette trame entre l’électeur citoyen et l’État, une trame invisible mais bien présente. Alors la voix du petit électeur français, elle ne compte pas double dans ce grand jeu. Elle compte dixième, centième, millionième !
Big crunch à venir
Et puis il y a les forces à peine occultes (mais quand même un peu) internationales, les Bilderbeg, les Trilatérale, les forum de Davos, les OTAN ou Pentagone, les européistes de Bruxelles, les mondialistes du type Gates, Schwab et Soros (la trilatérale satanique), le Big Pharma, le Big Tech, le Big (dés)Info avec le New York Times et Le Monde, tous les porte-voix des intérêts de l’oligarchie mondialiste.
Justement, avant le vote de dimanche 10 avril, le directeur de la Pravda française, Jérôme Fenoglio, a pondu un étonnant éditorial, qui aurait dû faire hurler tous les journalistes honnêtes, et provoquer la démission des vrais journalistes du Monde pour clause de conscience.
Le rôle du Monde, journal et site d’information, dont la rédaction est indépendante de tout pouvoir, n’est pas de soutenir un candidat, encore moins d’appeler à voter pour lui. Ce journalisme non partisan n’en est pas moins fondé sur des valeurs, qui peuvent nous inciter à alerter sur un certain nombre de dangers.
C’est pas le rôle de notre journal, mais on appelle à voter pour la Banque Macron, mais c’est pas notre rôle. Nous sommes non partisans mais nous sommes partisans de la Banque Macron et des dégâts qu’elle produit sur les Français, mais bon, c’est la guerre, hein. On a des « valeurs » mais en cas de danger, on les remise dans notre slip.
Comme dirait Zemmour, que Fenoglio qualifie de « candidat d’extrême droite » et de « menace permanente », Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.
Voilà, voilà, ce petit cirque électoral permet une fois de plus de faire tomber les masques, et de voir la hideur de tous les faux démocrates, ces défenseurs des prétendues « valeurs » qui ne sont, in fine, que les intérêts de la Banque, ou du Capital.
C’est ainsi que les antifas, les banlieusards et gauchistes, qui ont voté massivement Mélenchon, sont poussés par leur petit maître à voter « Banque Macron » au second tour, et ainsi entretenir leur paupérisation et leur lumpen-prolétarisation. Ils votent contre leur avenir, contre eux-mêmes, c’est la force du Système et de sa propagande que d’avoir retourné une partie des Français contre eux-mêmes.
Cependant, cette violence retournée contre lui-même, le peuple français finira bien un jour par la déplier, et la renvoyer d’où elle vient. C’est inéluctable.
Un avant-goût de demain