« Laurent Delpire, conservateur des Antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique, a pu lister les éléments touchés : l’orgue et le buffet d’orgue du XVIIe siècle, un tableau d’Hippolyte Flandrin du XIXe, une partie des stalles du choeur qui étaient récentes et les vitraux de la façade, dont une partie était des vestiges de vitraux du XVIe siècle, le reste étant moderne. "Il y a des choses irrécupérables, comme le tableau d’Hippolyte Flandrin, Saint Clair guérissant les aveugles, il est perdu définitivement. C’est un grand chagrin", a déclaré la ministre de la Culture Roselyne Bachelot. » (bienpublic.com)
L’anti-France dont parlait Jean Maxe en 1922 dans ses Cahiers n’est plus un fantasme, c’est une réalité. Il y a chez nous une 5e colonne qui ne se cache même plus et qui organise des attentats contre notre culture, notre Histoire, et nos compatriotes. Cela va de la politique néolibérale de destruction de notre souveraineté aux minorités agissantes qui ne cessent de vouloir réduire la grandeur de notre pays : les antiracistes avec la colonisation de l’Afrique (principalement), les racialistes avec la traite négrière, les sionistes avec Vichy, les féministes avec le patriarcat, les francs-maçons avec le christianisme, il n’est pas un jour sans que notre pays chéri ne soit attaqué par une de ces pointes. Il y a congruence, comme dirait Gilles Kepel.
En attendant, un ressortissant rwandais de 39 ans, bénévole du diocèse (il avait les clés de la cathédrale !), a été interpellé et placé en garde à vue...
Eh si, mon petit père. Dès 1454, réitéré en 1537. Tolle, lege https://t.co/6xuVk2axAB
— Jacques de Guillebon (@JacquesdeGuill1) July 18, 2020
Est-ce un hasard si la cathédrale de Nantes a brûlé le 18 juillet 2020, au lendemain des commémorations de la rafle du Vel’ d’Hiv’, le jour de la manifestation en mémoire d’Adama Traoré à Beaumont-sur-Oise, et dans un contexte où la Ligue de défense noire en particulier et le lobby antiraciste en général attaquent la France sur son passé colonial et esclavagiste, la ville de Nantes étant le principal port français de déportation d’esclaves africains vers les Antilles du XVII au XIXe siècles ?
Cette triangulation – sans faire de jeu de mots sur le commerce triangulaire – est-elle fortuite ? Sommes-nous devenus paranoïaques ou des ingénieurs sociaux maléfiques veulent-ils nous le faire croire, tout en faisant le mal ?
Au départ de la marche #JusticePourAdama , toutes ensemble contre les violences policières et le racisme systémique dans la police ! pic.twitter.com/ExLqnLnaVc
— Danielle Simonnet (@Simonnet2) July 18, 2020
Le gauchisme franc-maçon à l’œuvre
Ils sont députés, sénateurs, conseillers de Paris, adjoints aux maires et ils ont défilé au milieu d'une foule qui scandait "Tout le monde déteste la police" et "À bas la police".
Ils sont la honte de la République. pic.twitter.com/mlqksXaMQY
— Pierre Liscia (@PierreLiscia) July 18, 2020
Objectivement, la cathédrale de Nantes était la victime désignée de l’anti-France à ce moment précis. Les responsables du pouvoir visible et du pouvoir profond, qui sont foncièrement antifrançais, n’ont pas versé beaucoup de larmes sur la destruction de cet édifice hautement symbolique.
« Le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès a précisé l’existence de "trois points de feu distincts". "Entre le grand orgue, qui est sur la façade au premier étage et les autres feux, vous avez quasiment toute la distance de la cathédrale, ils sont quand même à une distance conséquente les uns des autres", a-t-il relevé. Cependant il n’y a pas de traces d’effraction au niveau des accès extérieurs. » (bienpublic.com)
Entendre F de Rugy dire que,peut-être, ce sont trois courts-circuits différents qui auraient causé les trois départs de feu quasi simultanément. Se dire qu'en termes de probabilité, c'est aussi crédible qu'être heurté par un météorite en faisant de la plongée sous-marine.#Nantes
— Philippe DAVID⭐⭐ (@PhDavidMtb) July 18, 2020
Un contexte extrêmement favorable
Dans un climat de haine antifrançaise, une étincelle peut mettre le feu à une cathédrale. Aujourd’hui, les médias mainstream (on n’a pas dit dominants parce qu’ils ne le sont plus) font la part belle aux ennemis de notre pays. La preuve avec ce migrant malien qui mélange vérités et mensonges, réalité et fantasmes :
Écoutez ce #migrants malien en #France parler de Nos Militaires
Qu'il retourne se battre au #Mali au lieu de Vomir sa Haine sur des Français qui au péril de leur Vie se battent au Mali contre les #islamistes
pic.twitter.com/Th2l5yb6Ry— BBR4369 La Fouine (@BBR4369) July 18, 2020
Mais cet antiracisme forcené qui n’est qu’un racisme antifrançais ne date pas d’hier. Cela fait maintenant près de 40 ans – et cela correspond à la prise de pouvoir politico-culturel des « nouveaux philosophes » – que le travail de sape est entamé. La nation française doit expier les crimes... des nazis :
Il fut un temps où nos responsables politiques s’appelaient Pierre-Henri Teitgen. Regardez. https://t.co/8tb1rmQicV
— claude askolovitch (@askolovitchC) July 18, 2020
Des larmes de crocodile
Et parmi les représentants (non élus) du lobby sioniste qui fait la loi chez nous, puisqu’ils tordent le droit comme ils veulent (voir le dernier épisode avec l’affaire Mireille Knoll), les déclarations de soutien interreligieux ne sont pas très enthousiastes :
Décidément. https://t.co/3Y58d5LeuP
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) July 18, 2020
Naturellement, le maire de la ville, la gauchiste immigrationniste Johanna Rolland, a trouvé les mots, malgré son anticléricalisme évident, pour tromper les médias, car on ne sent pas une véritable émotion :
Réaction de @Johanna_Rolland, la Maire de Nantes, suite à l’incendie en cours à la cathédrale de #Nantes pic.twitter.com/jCHGAQZ1QF
— Ville de Nantes (@nantesfr) July 18, 2020
Dans les médias, le travail antifrançais continue, comme si de rien n’était, comme si l’effacement de 1000 (ou 1500 ans) d’histoire allait de soi. Bérangère Viennot, retenez bien ce nom, l’antitrumpienne de service, est l’exemple parfait de l’incorporation de cette haine antifrançaise :
ça "décrypte le langage de Trump" dans un livre, ça se fait inviter sur le service public, mais ça touite de la merde comme une grande. pic.twitter.com/1viYiYhQBS
— Gaspard Alizan (@GaspardAlizan) July 18, 2020
Nous sommes donc en présence de trois haines combinées, qui sont liées en coulisses et qui conduisent à la désacralisation de notre pays. Le message est clair, et Renaud Camus a raison de s’en émouvoir, même s’il refuse de voir the big picture, c’est-à-dire les vrais responsables, les ingénieurs sociaux à l’origine de ce chaos démoniaque...
Tant que les Français, aveugles volontaires, ne voudront pas voir la seule réalité vraie, c’est-à-dire la conquête étrangère, la colonisation, le Grand Remplacement, leurs cathédrales brûleront, leurs églises seront profanées, leurs filles violées et leurs fils égorgés.
— Renaud Camus (@RenaudCamus) July 18, 2020
Le 18 juillet, France Culture lançait un sujet bien incendiaire, « Esclavage, un tabou français ? » :