Parmi les 118 femmes tuées par leur conjoint ou ex, une proportion significative avait porté plainte ou déposé une main courante. Combien de ces cas aurions-nous pu éviter ? Combien de ces cas étaient prévisibles mais n’ont pas été prévenus ? Nous devons combler les failles. pic.twitter.com/2RE1olfl6u
— Adrien Quatennens (@AQuatennens) October 11, 2019
Alors qu’il avait géré sa carrière politique à la perfection, qu’il était épatant sur le social (moins sur le sociétal, faut voir sa lettre de contrition en écriture inclusive), qu’il était devenu le dauphin, le numéro 2, l’outsider, le jeune qui monte, l’Héritier, l’Aiglon !, voilà qu’à cause d’une petite claque dans la poire (apparemment c’est une gifle, donc c’est sur la joue, pas sur les fesses, ça a une autre signification) administrée à sa femme, ou à son ex, Adrien Quatennens se retire non pas de la vie politique (il reviendra peut-être), mais de ses fonctions de coordinateur national à LFI.
Le Figaro détaille les faits :
Figure de la jeune garde de La France insoumise (LFI), le député a annoncé dimanche qu’il se mettait « en retrait de sa fonction de coordinateur » du mouvement, reconnaissant des violences envers son épouse. Dans un long communiqué publié sur Twitter, le député du Nord était revenu, « dans un souci de transparence et d’apaisement » dit-il, sur « les faits qui peuvent » lui « être reprochés » et qui ont abouti au dépôt par son épouse d’une main courante révélé cette semaine par Le Canard enchaîné.
- Tintin contre les féministes
Adrien a écrit une longue lettre qu’on n’a pas lue, d’abord parce que c’est écrit petit, et ensuite parce qu’on n’a pas le goût de l’autoflagellation. La puissante Mathilde Panot se réjouit de la mise en retrait du rouquin, mais c’est sûrement pas elle qui va monter sur le trône à la place du leader Maximo, Méluche. Autain non plus, elle est trop sociétale et en plus, elle a menti dans l’histoire du futur député Taha Bouhafs, qui avait lui aussi tarté des meufs. On le voit, ça devient pire que l’antisémitisme, la violence conjugale. Il va falloir que les ambitieux, en politique, fassent gaffe. Même les sado-masochistes ! On sait jamais, un jour, un esclave SM guéri (par une psy) peut se réveiller et dénoncer son bourreau ; pardon, son maître...
On déconne à peine : aujourd’hui, tout est possible. On n’est pas éliminé politiquement par une corruption (Macron est devenu président malgré Alstom), mais par UNE gifle. Il faudra que les hommes trouvent un truc contre les gonzesses s’ils ne veulent pas se faire éliminer un par un, car qui ne s’est jamais battu, en paroles ou en actes, avec sa femme, ou une emmerdeuse ? On dirait que les juges ne connaissent pas les femmes, leur cruauté naturelle, leur sournoiserie profonde... Mais bon, on va repartir sur le titre, car en ce moment, tout sort. La Birkin a raconté que Serge la frappait, l’insultait, la mettait plus bas que terre (et la sodomisait aussi, mais en chanson).
Pure people a recueilli le témoignage des deux tourtereaux :
« Jane est partie par ma faute, je faisais trop d’abus, je rentrais complètement pété, je lui tapais dessus. Quand elle m’engueulait, ça me plaisait pas : deux secondes de trop et paf... elle en a subi avec moi mais ensuite c’est devenu une affection éternelle... » avait-il expliqué après leur rupture.
Jane Birkin, récemment, en avait rajouté : « Il y a eu beaucoup de crises. J’en ai eu marre d’être sa chose ». Parlant de « scènes de violences », pendant laquelle « Gainsbourg lui en met une ou deux », elle avait cependant nuancé : « J’ai écrasé sur lui une cigarette. J’ai fait autant. J’ai envoyé une tarte à la crème, c’était à ne pas faire. J’étais agitée par l’alcool (...) avant ça j’avais été humiliée ».
Dans Gala, la chanteuse raconte ses séances de studio :
« J’arrivais à faire tout le refrain et je partais toute de suite avec la note. Serge devenait dingue parce que je n’étais pas capable de faire des prouesses parfois compliquées dans les chants, dans les contre-chants, etc… », se souvient la chanteuse de 73 ans. Et d’ajouter : « Il ne comprenait pas comment je pouvais être aussi bête et aussi dépourvue de rythme. »
Agacé, Serge Gainsbourg a très vite perdu patience dans le studio et n’a pas tardé à le faire comprendre à Jane Birkin. « Je n’y arrivais pas. Donc, il me tapait avec une règle, il me hurlait dessus », se remémore la mère de Charlotte Gainsbourg. Voyant l’enregistrement prendre une étonnante tournure, le régisseur a très vite volé au secours de Jane Birkin. « Il a hurlé “Stop, stop”, comme j’étais en larmes », raconte-t-elle avec un léger rire.
Il reste Richard Berry, dont la relation avec Jeane Manson était très secouante, surtout pour elle, d’après nos informateurs dans le show-biz. Mais nous n’y toucherons pas, car Berry a été blanchi pour des faits d’inceste... prescrits. Et puis il y a ceux et celles qui aiment les coups, les donner et les prendre, donc ça brouille un peu le message féministe. On ne va pas parler ici du cas Pierre Tchernia, on fera ça, avec doigté, en Financement associatif.
Quand Serge tartait Jane