Au fur et à mesure, on a l’impression, comme pour beaucoup de virus qui deviennent des virus à transmission majoritairement interhumaine, que il se domestique, entre guillemets, c’est-à-dire que il est de plus en plus contagieux, d’abord parce que y a beaucoup de porteurs sains, qui sont invisibles, il atteint les enfants, ce qui n’était pas le cas avant, des enfants sont atteints et ils sont contagieux, et en revanche il est très peu dangereux, il y a moins d’hospitalisations, moins de réanimations, moins de morts, nous sur près de 2000 cas maintenant, il y a eu un seul mort, qui était quelqu’un de très âgé, et qui plus est qui avait reçu trois injections vaccinales.
Ce qu’il faut garder présent à l’esprit, c’est qu’il ne s’agit pas exactement des mêmes virus. Le Omicron, ça n’est pas le Delta, ça n’est pas l’Alpha, ça n’est pas le Marseille-IV, ce qui explique qu’un certain nombre d’études, et en particulier, je reviendrai dessus, sur les études vaccinales, sont obsolètes, parce qu’elles rapportent des protections vis-à-vis de virus qui ne sont plus là, et qui ont été remplacés par d’autres virus.
Omicron est beaucoup moins sensible au vaccin, qui a été préparé pour d’autres virus, ce qui n’est pas une surprise.
On ne peut pas voir qu’il y a un contrôle de l’épidémie par le vaccin. Et c’est le cas dans pratiquement aucun cas d’utilisation des vaccins ADN ou vaccins ARN, il n’y a de contrôle de l’épidémie, zéro.
Si y a des gens qui sont étiquetés comme étant d’extrême droite qui trouvent que la liberté est une chose importante, peut-être qu’on se retrouve dans une situation un peu étrange, mais qui a déjà existé, pendant la Deuxième Guerre mondiale, dans laquelle c’est les gens d’extrême gauche et les nationalistes qui se battent pour la liberté.
Ce n’est pas de la science, la vaccination obligatoire, c’est une vision du monde dans laquelle les gens doivent obéir parce que je sais que c’est bon pour eux. Et ça, il faut faire attention, parce qu’on sait où ça mène. Quand on croit qu’on sait ce qui est bon pour les gens, malgré l’évidence, quand on n’est plus capable de distinguer les faits de ses propres opinions, alors on est parti dans une affaire dangereuse. Ça va avec cette idée qu’il faut censurer, ce que l’on voit : à chaque fois que quelqu’un commence à rapporter des données qui ne vont pas entièrement dans le sens du courant officiel, il faut censurer ces données, que ce soit par un moyen ou par un autre.
Cette crise révèle des tentations qu’on a déjà vues dans le passé d’imposer, comme par les religions, comme par les religions politiques du début du XXe siècle un point de vue unique en étant sûr d’avoir raison.