à Clovis :
Étant donné que mon commentaire est critique, je considère être visé par le votre. Ce n’est pas un problème. Bien au contraire, cela me permet de préciser en quoi il doit sortir du moi-je pour atteindre un peu plus le collectif, l’universel, en un mot le scientifique.
Un scientifique ne parle pas de sa vie ! Il y a des torche-culs et Facebook pour ça. Il pense que c’est la jalousie des médiocres qu’il subit ? Mais quelle erreur d’analyse. Ceux qu’il subit sont les gagneuses des gros labos et celles qui font corps avec le pouvoir car il doit avoir le dernier mot.
Si vous croyez qu’on ne peut pas prouver scientifiquement la dangerosité d’un produit qui touche toutes les cellules et qui est mal purifié, c’est une erreur. Mais cette vérité simple n’est pas compatible avec le système corruption-mensonge.
Dans celui-ci :
une soumise en blouse blanche peut faire les louanges du Remdesivir, elle reçoit la légion d’honneur pour ça.
un autre collabo peut affirmer que le virus fuit les vaccinés parce qu’il sait que ce serait inutile, ne ciblant que les non vaccinés. Ce type régulièrement est autorisé à mentir pour renforcer la doctrine étatique.
pendant juillet-août, pas de stats sur les EHPAD. Il fallait pousser à la vaccination. En octobre on apprend que 11000 personnes y sont mortes, privées d’hôpital.
...
En tant que scientifique, le moi-je n’a pas de sens car il n’y a pas d’élections à la clef.
Imaginez un élève qui trouve la solution en premier à un exercice. On lui demande comment il a fait, il répond : "c’était évident, les autres sont nuls !"...et quand il se fait maltraité en récré, "ils sont jaloux ces tocards !"
Voyez ?
Il finit par attiser de la rancoeur à son égard, pas de la jalousie.
Même si sur le fond, il a raison.
C’est ça le plus terrible.