L’essentiel de l’intervention à partir de la 12ème minute.
Ce n’est pas du "pass sanitaire" dont il est question, essentiellement, mais des idées reçues de la médecine, volontairement approximative et affabulatrice, non seulement il y a 20 ans, mais aujourd’hui peut-être davantage, par inertie calculée et par le biais de l’incompétence structurelle des professionnels de la santé, qui ont troqué la soutane, si chère à Voltaire dans son dictionnaire philosophique, contre la blouse blanche. Une fumisterie qui dure depuis longtemps, dans un manège qui fait tourner la sottise autour d’un dessein qu’elle ne peut atteindre.
Le Pr. Raoult donne ainsi des clés pour les initiés, notamment pour indiquer qu’il n’est dupe de rien et que, spécifiquement, il sait que le PCR n’indique pas la provenance du génome qu’il "amplifie" (cf. travaux de Kary Mullis), que l’ADN a un rôle plus élastique que ce qui était/est encore prétendu et qu’il ne peut être essentialisé comme d’aucuns le font pour dissimuler leur inutilité ou leur utilité néfaste ; que la rétro-transcription d’une séquence ARN est plus susceptible d’intervenir au niveau du cerveau, que la rétro-transcription peut causer des tumeurs et… il s’arrête ! Tout est cependant calculé, dans cette intervention, qu’il convient d’écouter attentivement.
La science parvient assez facilement à identifier ce qui est faux, mais elle ignore tout à fait ce qui est vrai, cherchant péniblement à réduire la taille de la boîte dans laquelle elle le situe [le Vrai]. D’un côté, elle cherche et avance sur une base expérimentale, par des biais empiriques efficaces, à l’instar de feu Kary Mullis, justement ; d’un autre, elle mystifie et affabule - les exemples abondent ! Le Pr. Raoult, il fait les deux ; car, si on lui laisse le mot de la fin, il "ne joue pas dans la même pièce de théâtre" !
A bon entendeur.
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