Sur des notes d’Antonín Dvorák, la cathédrale de Salisbury, dans le sud-ouest de l’Angleterre, a été reconvertie en centre de vaccination. Toute la journée, des organistes se relaient pour « créer une atmosphère de sérénité et de tranquillité » dans le lieu de culte réquisitionné. (Le Figaro)
Aller se faire vacciner dans une cathédrale, haut lieu spirituel, transformée en centre de vaccination (inutile d’un point de vue santé mais férocement utile d’un point de vue politique), sur les notes de la Symphonie du Nouveau Monde, qui fait écho au Nouvel ordre mondial, voilà qui résume parfaitement le drame qui s’abat aujourd’hui sur les peuples européens crédules.
Piqûre de mondialisme
L’article du Figaro montre (sans le vouloir puisque le journal se situe aux antipodes du mouvement antivaccin) la volonté féroce et maléfique d’un pouvoir dangereux qui sourit avec douceur à ses victimes. Il en profite pour profaner les lieux de culte et les transformer en lieux de destruction morale. C’est le programme du gouvernement britannique, et c’est aussi le programme du nôtre.
« Il semble également maintenant qu’il existe des preuves que le nouveau variant, le variant qui a été identifié pour la première fois à Londres, et dans le sud-est (de l’Angleterre), peut être lié à un degré plus élevé de mortalité », a déclaré Boris Johnson lors d’une conférence de presse à Downing Street. Pour les hommes âgés d’une soixantaine d’années, le risque de mortalité atteint 13 à 14 sur 1.000 avec le nouveau variant, contre 10 sur 1.000 avec la précédente forme de virus, a comparé le conseiller scientifique du gouvernement, Patrick Vallance. (20 Minutes)
Boris Johnson applique le plan sataniste
Boris Johnson a prévenu la population que le variant britannique était encore plus « mortel » que le virus précédent, ce qui, dans un monde normal, devrait lui valoir un procès en Haute Cour : effrayer la population sur une base mensongère, c’est un crime d’État, tout simplement. Les escrocs du Nouvel Ordre mondial, armés du Great Reset qui doit y mener, profitent du chaos économico-social pour saper l’âme du pays en s’attaquant à ses centres spirituels.
L’édifice des XIIIe-XIVe siècles est l’une des trois cathédrales britanniques qui participent au plus grand programme de vaccination de l’histoire du pays. Dans une petite chapelle habituellement dédiée aux prières, une infirmière sort du froid un flacon du vaccin Pfizer-BioNTech. Après l’injection, William Perry, 98 ans, patiente sous la nef pendant le quart d’heure réglementaire imposé pour observer tout éventuel effet secondaire.
Les professionnels de la santé honnêtes apprécieront le petit « quart d’heure » d’attente et d’observation après la piqûre pour s’assurer qu’il n’y a pas « d’effet secondaire », alors que le vaccin est en soi un effet secondaire : il ne protège pas du virus, de la grippe, du variant ou de toute forme virale future, il protège en revanche le pouvoir contre toute tentative de résistance ou de révolte populaire.
« C’est bien de penser qu’ils font quelque chose pour que je puisse être encore là quelques semaines ou années de plus, jusqu’à 100 ans ! » se réjouit cet ancien ingénieur de la Royal Air Force.
Les retraités apprécieront la crédulité des vieux Britanniques qui croient encore que le pouvoir leur veut du bien. Si c’était le cas il y a 80 ans, aujourd’hui, c’est le pouvoir profond qui a pris la main sur le pouvoir visible. La démocratie n’est qu’une marionnette dans les mains des ingénieurs sociaux mondialistes, et satanistes. La preuve avec le viol des églises, qui sont devenues le triste lieu de la soumission et du contrôle des individus. Qui défilent, dociles, pour prendre leur dose d’antirévoltant comme les croyants prenaient leur hostie. Il faut vraiment être maléfique pour imaginer un tel remplacement ! Mais cela n’a pas l’air de venir à l’esprit du révérend local qui est, malgré son attache anglicane, dans la droite ligne du renoncement papal devant les forces terrestres :
« Les artisans du Moyen-Âge l’ont bâtie ainsi il y a 700 ans parce qu’ils voulaient pointer de façon provocante et spectaculaire vers la vie et l’espoir, pointer vers le royaume de Dieu », souligne le révérend de la cathédrale, Nick Papadopoulos. « C’est exactement la même chose avec la vaccination », poursuit le religieux, pour qui « elle offre la vie et l’espoir aux habitants de la ville, de la région et en fin de compte, du monde ».
La mort en musique
Dernière note cynique, la musique utilisée pour faire oublier la contrainte et endormir le doute. On pense tout de suite à l’orchestre d’Auschwitz qui jouait des mélodies entraînantes pendant que les commandos allaient au travail forcé qui finissait par les tuer.
Dans la cathédrale, les seringues piquent les bras au son de l’orgue, récemment rénové pour environ un million de livres sterling (1,1 million d’euros). Deux organistes y interprètent des morceaux apaisants de Bach, Dvořák ou encore Ralph Vaughan Williams. « On espère créer une atmosphère de sérénité et de tranquillité, juste faire en sorte que les gens pensent à autre chose pendant la piqûre et aider les équipes à travers ce qui serait autrement une très, très longue journée », souligne le révérend.
Le bouquet final pour Jeannie Grant, la fille du presque centenaire qui vient de prendre sa dose d’affaiblisseur d’immunité, dont Le Figaro rapporte les propos tragi-comiques :
Venir dans un endroit qui a vu passer « tant d’histoire » au service d’un « objectif aussi merveilleux pour la population », « c’est très spécial », souligne-t-elle, pleine d’espoir : « Ce sera magnifique quand on aura fini avec tout ça et que la vie pourra recommencer un retour à la normale. »
C’est sûr qu’avec ce genre de « résistants », le Nouveau Désordre mondial a un boulevard devant lui : le boulevard de la mort !