McKinsey n’a pas payé d’impôt sur les sociétés en France depuis au moins dix ans. En 2020, son chiffre d’affaires dans l’hexagone atteint pourtant 329 millions, dont 5% dans le secteur public.
— Paul de Villepin (@Devillepinpaul) March 17, 2022
Sur l’affaire Kinsey, le Sénat a fait son boulot, et plutôt bien. Cependant, son rôle ne va pas plus loin que des recommandations. Autrement dit, le milliard refilé par la Macronie à McKinsey et autres cabinets en 2021 pour des conseils douteux, surfacturés, ou n’allant pas forcément dans le sens de l’intérêt commun (des Français, pas de la paire Macronie-Kinsey), sont à passer par pertes et profits dans la colonne comptable prévue à cet effet. De plus, les impôts sur le bénéfice que Kinsey n’a pas payés en 10 ans sont perdus pour la communauté nationale. Kinsey, c’est un scandale d’État, et un scandale contre l’État. La guerre russe est bien tombée pour faire contre-feu. Aller s’occuper des Ukrainiens qui flagellent les Russes ou pro-Russes attachés à des poteaux, c’est mieux que d’affronter les questions sur une corruption endémique. C’est tout notre système politique qui est pourri. Si nous on le sait depuis longtemps, d’autres le découvrent aujourd’hui.
« Je pense qu’ils ont été pris la main dans le pot de confiture (...) C’est la France qui est dirigée comme une entreprise. C’est la start-up nation. » (Éliane Assassi, rapporteur de la commission d’enquête du Sénat)
Le Sénat, on disait, a fait son boulot, et continue à le faire, même si les protagonistes de cette corruption n’iront pas devant le juge. L’Assemblée nationale, qui s’est abaissée à voter des lois liberticides, ne vaut plus rien, c’est pourquoi elle peut applaudir le clown corrompu de l’OTAN Zelensky.
Y’a plus de monde pour écouter les inepties de ce sac à merde corrompu que pour voter les lois qui régissent la dictature de ce pays. Y’a pas à dire, ça mérite bien des applaudissements... pic.twitter.com/6tIwNG8ndw
— Richard JOUIR (@richylasemence) March 23, 2022
En fait, sur la collusion Kinsey-Macron, tout était écrit. Mais il fallait bien regarder. La pieuvre mondialiste a fourré ses tentacules partout, et la Macronie est l’émanation de ce viol du privé dans le secteur public qui nous concerne tous : l’État. C’est entre autres pour cette raison que l’État n’est plus protecteur pour les Français : il protège d’autres intérêts, dits supérieurs. La nation passe après. Quand elle passe.
Tout en haut de l'organigramme on trouve comme directeur général Paul Midy qui a fait Polytechnique puis bien sur a commencé sa carrière chez....#McKinsey de 2007 à 2014...puis différentes boîtes ds la FoodTech, applis... #StartUpNation avant d'être DG en Marche en Mars 2019... pic.twitter.com/WrbwhNEQkg
— psykopatrak (@psykopatrak) March 23, 2022
Et puis, on l’a déjà montré sur E&R, la pieuvre mondialiste prend forme. Le cerveau de cette chose satanique relie Google, Pfizer, Kinsey et, pour ce qui nous concerne, la France marconisée. Mais ça pourrait aussi bien être le Canada ou l’Italie, deux pays sous la coupe de l’oligarchie mondialiste.
Arrêtez avec vos théories du complot . C’est bien sûr un pur hasard qu’un ancien membre du cabinet qui a défini la stratégie vaccinale soit aujourd’hui directeur chez #Pfizer . Vous voyez le mal partout . #McKinseyGate #McKinsey pic.twitter.com/vrEqRi3NnJ
— Jérémie Janot (@jeremiejanot) March 22, 2022
Pour l’instant, la Macronie ne réagit pas, laisse faire le Sénat et les journalistes utiles, elle envoie juste Attal se faire déchirer en première ligne. Mais Attal ne pèse rien, c’est un stagiaire. La non-réaction est toujours un signe d’inquiétude. Plus grand le calme, plus grande la peur...
Un contact sûr chez LREM me confirme que le #McKinseyGate inquiète énormément : " c'est la panique, personne n'ose le dire mais tout le monde pense que ça peut faire un Fillon 2.0"
— Hugues-Marie Stemler (@Hm_stmlr) March 23, 2022
Même une Jacline Mouraud, ex-Gilet jaune draguée par la Macronie puis par BFM, s’y met : c’est le signe que les retournés se retournent !
#scandaleMcKinsey : si @EmmanuelMacron est réélu, il ne vera donc aucun inconvénient à ce que les Français paient leurs impôts dans le Delaware…. #ScandaleMacron #McKinseyGate
— Jacline Mouraud (@JaclineMouraud) March 23, 2022
Macron et ses sbires sont dans une course de vitesse à la vie à la mort : il faut absolument arriver entiers le 10 avril sur la ligne de départ, sinon c’est foutu. L’avantage, pour le pire gouvernement de la Ve, c’est que le dossier, à l’instar du dossier Alstom – la cession du fleuron industriel français à nos concurrents pour une bouchée de pain et un gros bénef pour les banques d’affaires, on rappelle que Macron vient de la maison Rothschild –, est complexe pour les Français triangulés entre trois terreurs : les attentats, le covid et la Russie. Sans oublier la lancinante peur de manquer, d’être déclassés, de finir à la rue, en chair à seringue ou à canon.
Si on expliquait à une heure de grande écoute et en profondeur les dossiers Alstom et McKinsey aux Français, Macron ne serait même pas en mesure d’être candidat à sa propre succession !
— Florian Philippot (@f_philippot) March 22, 2022
Les 45 millions de votants potentiels ont maintenant 15 jours pour réagir, soit par un vote anti, le plus fort possible, soit par un boycott, au cas où une subtile et magique ingénierie placerait le sortant en tête le soir du 10 avril. Après, il sera trop tard.