Un seul mot : compromission à haute échelle.
Car ce ne sont pas tant les paraphilies poussés à l’extrême, pour ce qu’elles sont : c’est de bien autre chose dont il s’agit ; à savoir de franchir la ligne (légale) : là est le but ; et il n’y a pas mieux que des mineures à peine consentantes, pour cela...
Puis de faire chanter.
Une part de mon activité se limite à l’image, prise à l’index (négligeons les logiciels de retouche et la 3D). Au-delà de mes projets ou commandes particulières, je déclenche passionnément chaque jour que fait le Grand Mickey : en tous lieux, toutes occasions, à l’obsession : même la nuit, au grand dam des astrophotographes.
Par ailleurs, je fraye avec le monde associatif, jusqu’à ceux honnis, soupçonnés de conspiration. Au gré des conférences et lorsqu’il n’est pas question de Covid, passée une certaine heure, il n’est plus guère question de pouvoir boire un dernier verre (de jus d’ananas pour ma pomme) dans un troquet qui sont tous fermés : restent les caboulots qui fonctionnent pour partie, au bouchon. Cependant que je déclenche toujours. Nul besoin de vous faire un dessin. Et des têtes, sans être milliardaire, ni des réseaux à proprement parler, j’aurais de quoi en faire tomber pléthore... Nul besoin d’être un détraqué de la décapitation pour cela : juste photographe au bon endroit et au bon moment : au mauvais endroit et au mauvais moment pour d’autres... si ledit photographe part en vrille, qu’il ne diffuse pas seulement ce qu’on lui autorise « contractuellement* ».
Plus loin, tandis que j’avais cru un instant le « métier » en danger du fait des smartphones et réseaux sociaux, c’est l’inverse qui se présente : il n’y a jamais eu autant de filles à se présenter pour un shooting afin d’améliorer leur Insta, concurrentiel avec celui de la Mouchaboeuf du 7ème qui se fait taguer tant et plus. Et qui sont prêtes à tout pour paraître : ainsi, contrairement à ce que vous avancez en conclusion, vous n’avez même pas besoin d’argent par les temps qui courent, pour faire faire tout et n’importe quoi aux duplices m’as-tu vue : vous seriez en deçà de ce que vous proposent les prétentieuses et comme moi, vous n’auriez pas assez de temps. Et combien de types prêts à participer à la connerie ? Pour les mettre à l’index ?
Il est loin le temps des starlettes à Cannes : je vous le dis.
Tout comme se trouve loin le temps où il fallait « chasser » : vous en êtes à trier sur le volet et refuser.
* Le contrat pouvant être éthique avec vous-même.