Le masque facial est devenu le véritable symbole de la crise de la Covid-19, pour le meilleur (en milieu hospitalier, quand les soignants opèrent à 20 ou 30 cm des malades, et comme l’a dit et redit le Dr. Didier Raoult, qui a raison en tout dans cette crise, et là aussi ; et sans aucun doute pour les malades qui toussent ou expectorent, on le peut comprendre aisément), et pour le pire. Le pire, surtout.
Je m’explique : imposer le masque aux gens en bonne santé, non malades, est une mesure expérimentale (ainsi que l’a si bien dit la généticienne Alexandra Henrion-Caude à André Bercoff sur Sud Radio [1]), jamais essayée auparavant en population générale. Outre que j’ai tout de suite prévu que ce serait un instrument de Terreur (à la fois instrument de contrôle social (= muselière, bâillon anti-logos, dissuadant de manifester, crier, etc.) et de pouvoir de nuire au travail ou dans la rue : intimidations, pressions, engueulades, crispations, raison suffisante pour virer quelqu’un de son poste, voire de l’école (sic !) — autant de masques, autant de kapos…), j’ai aussi très vite senti ses dangers pour la santé : imaginez donc mettre un bout de chiffon, souvent sale et déjà usagé [2], devant les entrée et sortie d’air d’un réacteur d’avion, d’une chaudière à gaz, ou d’un moteur thermique à explosion : vous voyez tout de suite l’emballement thermique des dites machines : la panne : l’explosion ! Si « Dieu, qui est immense », avait voulu nous protéger par là, il nous aurait pourvu de paupières de bouche et de nez, n’est-ce pas !? Il n’en a rien fait. Demandons-nous pourquoi ?
L’ensemble bouche/nez/poumons est un ensemble biologique et thermodynamique ultra-complexe, qu’il est très dangereux de perturber à moyen-long terme. Tel chercheur nous dit que le port du masque nous met en état d’hypercapnie (augmentation de la pression partielle en CO2 dans le sang) ; tel autre, microbiologiste, nous dit que vouloir arrêter un coronavirus avec un masque grand public revient à vouloir arrêter un sac de balles de tennis entre deux arbres espacés de plusieurs dizaines de mètres ; quand une neurologue allemande nous dit qu’ils sont carrément un véritable danger de santé publique. De source sure (visite médicale du personnel navigant), le port du masque fait presque instantanément chuter le taux de saturation en oxygène de 6 points, de 98 % (taux normal) à 92 %. Quid de son utilisation prolongée, sur plusieurs heures d’affilée ? La plupart des chirurgiens honnêtes nous disent que le port du masque n’est adapté qu’à une utilisation très normée et réduite dans le temps pour une opération chirurgicale en atmosphère contrôlée, etc., avec élimination du masque après l’avoir utilisé une seule fois (risque d’auto-contamination, sinon…). Pour le professeur émérite de l’Université Johannes-Gutenberg de Mayence, Sucharit Bhakdi, « les masques pour la population générale ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être des "nids à microbes" plus nuisibles qu’autre chose ».
En tout état de cause, leur imposition dans tout l’Occident cet été n’a pas du tout empêché l’arrivée de l’acte 2 de cette épidémie, et la comparaison avec la Suède [3], où personne ne le porte ou presque, n’est pas en notre faveur... Le virus semble se jouer de nos masques de papier ou en tissu, de nos confinements [4], comme autant de lignes Maginot : il passe, dans les interstices, par-dessus, sur les côtés...
Même l’OMS [5] ne les recommande pas vraiment en population générale, ainsi que nous l’a rappelé l’excellent anthropologue suisse de la santé Jean-Dominique Michel sur son blog « Anthropo-logiques » : « Le port du masque est bien sûr nocif pour la santé ! » [6] (Je vous recommande vivement de lire les deux autres textes que J.-D. Michel a consacré à ce sujet sur son blog : « Bas les masques ?! Touchez pas à nos mômes et un scandale de plus… » [7] ; et, constatant largement leur inefficacité durant le 2e acte de l’épidémie : « À défaut de nous laisser libres de nos mouvements, laissez-nous au moins (et laissez nos enfants) respirer ! » [8]
Du côté de la littérature, pour l’écrivain et critique Jacques Henric [9], aucune dictature n’avait jusqu’ici réussi à masquer toute sa population, et c’est une sorte d’« exploit » ; dans France Soir (loué soit ce journal !), l’éditeur Lucien Oulahbib titre : « Masques et voiles obligatoires : la même idéologie totalitaire » [10]. Par un tour de force tout à fait diabolique, quasi satanique, chacun doit être un malade en puissance, une nouvelle sorte de malade imaginaire version 3.0, et si même vous ne portez pas votre masque par peur de la contagion, vous devez le porter pour protéger les autres, supposés alors plus vulnérables que vous — le tour est ainsi joué : chacun devient un contaminateur potentiel, un untore selon Giorgio Agamben et après Alessandro Manzoni : « L’untore ! haro ! haro ! haro sur l’untore ! » On a confié l’espace public au Dr. Knock, et le monde entier est devenu un hôpital où tout le monde est plus ou moins malade sans le savoir.
Car finalement, et comment ne le pas voir ?, c’est bien le pouvoir politique qui tire le plus grand avantage de cette imposition du port du masque généralisé : nous voici muselés, privés d’éloquence pour nous plaindre, en un mot bâillonnés. Celui-là qui ne se sent pas bâillonné avec ce « putain » de bout-de-tissu sur la gueule, celui-là n’est pas vraiment un homme (ou une femme)... (Et sauf à être un vrai sujet à risques...) Voilà comment je pense.
En mai 2020, quand le masque était encore facultatif, on pouvait encore se réserver ce bon plaisir de distinguer, dans la rue, la « secte des covidistes » (ceux qui y croient dur comme fer, et qui pour cela n’hésitant pas une seconde à se retrancher de la communauté des humains, comme s’ils faisaient partie d’une secte (du latin secare : couper)), qui nous semblaient alors comme frappés de rhinocérite (et alors que la première vague était largement passée, et la première épidémie finie), du groupe plus large alors des covidiots (ceux qui ne croient pas en l’exceptionnalité de cette épidémie, très semblable aux grippes asiatiques de 1957 et 1968) ; depuis que le masque est rendu obligatoire dans tout l’espace public, à Paris tout du moins, il est devenu absolument impossible de trancher : qui porte ce masque par obligation, comme un brassard du Parti unique obligé, celui de la Grande Terreur Sanitaire (GTS), qui le porte comme un gris-gris (une sorte de nouvel objet religieux intransitif, qui va vous protéger du coronavirus comme le bouclier vous empêchait que le ciel ne vous tombât sur la tête au temps d’Astérix le Gaulois), et qui le porte parce qu’il a vraiment peur de mourir sans ?
Mais qu’en est-il réellement de la démonstration de sa prétendue efficacité dans la littérature scientifique, au delà des injonctions hystériques de nos médias officiels et de nos politiciens ?
Ce qu’en disent des médecins
Le mieux, dans cette histoire, et pour y comprendre quelque chose, c’est encore de s’informer auprès des vrais praticiens, des hommes et femmes de l’art (de la médecine, c’est-à-dire du soin et non pas de la politique).
Voici donc un petit florilège, relevé sur plusieurs mois de lectures intensives :
– Le 5 août, sur Facebook, je vois qu’un pharmacien s’exprime ainsi : « Le port du masque et la distanciation sont les meilleurs moyens d’obtenir une seconde vague par manque d’immunité collective de la population. C’est une aberration médicale et scientifique selon le doctorat d’exercice en pharmacie que j’ai passé » : nous sommes le 19 novembre et le port généralisé du masque dans les pays en Occident n’a nul part empêché l’arrivée du 2e épisode de l’épidémie de SARS-CoV-2… Une microbiologiste, Emma Kahn, suggère même l’idée, sur Linkedin, qu’avec nos masques-pour-tous, on pourrait, dans un grand mouvement darwiniste, avoir sélectionné une souche plus contagieuse du SARS-CoV-2, le fameux « Marseille-4 », comme autrefois nous avons sélectionné les moustiques les plus résistants avec un usage massif du DDT… Et si c’était vrai ? Primum, non nocere…
– Dans un excellent texte publié dans le dernier journal, France Soir, la pédiatre et oncologue Nicole Delépine nous disait que « les amateurs de confinement présentent les mêmes symptômes que les membres de sectes, qui persistent dans leurs certitudes même lorsque celles-ci ont été discréditées ». [11]
– Sur sa page Linkedin, le 19 novembre 2020, le médecin anesthésiste-réanimateur en soins intensifs belge Pascal Sacré écrit : « Les mains transmettent principalement les virus ; et porter des masques partout, tout le temps, tout le monde, dans plein de situations où c’est pas nécessaire (j’en ai vu qui le portaient dans leurs voitures, dans la rue, à la campagne même…), c’est très mauvais ; c’est pire que tout car on touche ce masque à de nombreuses reprises, du papier mouillé dans lequel on exhale tous nos miasmes dont peut-être du Covid, puis on touche plein de choses et bravo la prévention d’une épidémie ; c’est tout le contraire qui se passe » (« Ni anti-masque ni pro-masque, pour le bon sens ! »).
– Pour le Dr. Louis Fouché, médecin-réanimateur à l’hôpital de la Conception à Marseille, « la protection des personnes vulnérables (en surpoids, hypertendues, et immunodéprimées) serait peut-être une piste de ciblage plus fin. En effet, l’utilisation d’un masque chirurgical ne les protège pas. Alors que celle d’un masque FFP2 semble tout à fait efficace. Et que c’est bien ceux-là qui sont à risque de faire des formes graves » [12]. Ciblons donc les mesures, nous dit-il (et nous l’approuvons). On a le droit d’être en bonne santé ! (et intelligent, comme le clame haut et fort le Pr. Raoult dans ses vidéos de l’IHU).
– Pour le Dr. Simone Gold, fondatrice de « America’s Frontline Doctors », il y a une véritable obsession des masques dans les médias, infondée, car ceux-ci ne protègent pas des coronavirus [13] ; le site de son association recense tout un tas d’études scientifiques sur le sujet [14]. On notera que tout un corpus d’études positives sur le port du masque y sont répertoriées, mais la plupart d’icelles ont été faites en laboratoire.
– le 8 octobre, le Dr. Margarite Griesz-Brisson, docteur en médecine, neurologue consultante et neurophysiologiste, titulaire d’un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité, nous met en garde sur le site Coggito, des effets du manque d’oxygène dans le cerveau : « La privation d’oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles » [15]. Quand l’on sait que l’adage premier de la médecine, ou prudence hippocratique, devrait être primum, non nocere, (« d’abord, ne pas nuire »), il y a de quoi se poser des questions…
– Le 2 novembre, un médecin de Tulsa (États-Unis) Robert Zoellner, avertit de « l’augmentation des pneumonies bactériennes en raison du port du masque » [16] ; mais qui s’en soucie ?
Ce qu’en disent les philosophes, les psychiatres et autres psychanalystes
– Pour Giorgio Agamben, le dernier grand philosophe vivant, rare héritier de la pensée des Deleuze, Debord, Foucault et Virilio, le port du masque généralisé dépolitise totalement l’espace public, qui devient une sorte de chenil ou de poulailler : l’homme y est totalement réifié, transformé en chose, voire en animal, dans « un pays sans visage » [17].
– Selon le philosophe québécois Didier Vachon, « le port du masque obligatoire n’est pas une question sanitaire, mais plutôt symbolique. En effet, la raison pour laquelle c’est uniquement le port du couvre-visage qui importe, et non son efficacité, est que le masque sert principalement de symbole de réminiscence constante que nous sommes en période de pandémie » [18].
– C’est le psychanalyste belge Michel Rosenzweig qui a, à mon avis, écrit le meilleur texte sur cette nouvelle question métaphysique, Le masque et la vie [19]. Le masque, nous transforme clairement en zombies...
Du côté de l’Église catholique
À part un trop rare appel d’un groupe de cardinaux catholiques, « Appel pour l’Église et le monde » [20], et la révolte d’un curé français, « les masques font partie d’un rituel occultiste » [21], rien : l’Église n’a plus rien à dire, à opposer, à la Terreur sanitaire, et alors qu‘il me semble évident que l’Homme, fait à Son image, ne devrait pas se présenter masqué dans une église pour prier et/ou communier. « Nous sommes la descendance d’Abraham et nous n’avons jamais été esclaves de personne », car Dieu ne t’as pas donné une âme d’esclave ni des paupières pour te boucher le souffle...
Ce qu’en dit la science pure et dure
– C’est un chercheur canadien en physique, Denis Rancourt, qui a produit la méta-analyse la plus complète des études passées sur les masques dans la littérature scientifique ; son constat est claire et net : « Les masques ne protègent pas des coronavirus » [22].
– Un site suisse, « Swiss Policy Report », rassemble tout un tas d’informations scientifiques très précieuses sur le sujet : « Are Face Masks Effective ? The Evidence » [23].
– Un site américain, « Technocracy.news », fait sa propre méta-analyse des données disponibles, et titre : « Les masques ne sont ni efficaces ni sûrs : un résumé de la science » [24] ; on y lit : « Cette étude a montré que les masques chirurgicaux n’offraient pas de protection contre la grippe. » Quant aux masques en tissu, on a trouvé que « les soignants avaient 13 fois plus de risque de contracter un virus de type grippal en les choisissant plutôt que des masques chirurgicaux ». « Dans la plupart des cas, le désir d’utilisation généralisée du masque est une réaction réflexive à l’anxiété due à la pandémie ». Une question politique, donc : qui contrôle notre peur, contrôle notre âme...
Et dans le réel ?
– Le 4 novembre, l’éditorialiste d’un journal du Maine (États-Unis), The Fort Fairfield Journal, David Deschesne, en plus de devoir constater que « la hausse des cas de Covid-19 dans le Maine semble liée au port des masques faciaux », procède à une méta-analyse [25] sur 60 ans des essais de masques « en double aveugle randomisé » ; sa conclusion est sévère :
La récente augmentation des cas de Covid-19 dans le Maine pourrait être liée à l’utilisation prolongée de masques faciaux par le grand public. Les données scientifiques recueillies dans le cadre d’essais contrôlés randomisés au cours des soixante dernières années ont montré de manière constante que l’utilisation de masques faciaux pour arrêter les virus respiratoires est non seulement inefficace, mais que les masques faciaux peuvent en fait provoquer une augmentation des maladies respiratoires telles que la grippe et le Covid-19.
– En octobre, on commence à entendre parler d’une grande étude danoise [26] contrôlée et randomisée, effectuée entre avril et juin, sur 6 000 personnes réparties en deux groupes : 3 000 personnes avec masques, et 3 000 personnes sans, en conditions réelles. Comme les résultats ne correspondent pas aux attentes de l’orthodoxie actuelle de la GTS, 3 journaux scientifiques la refusent [27], et il faut attendre le 13 novembre pour en voir sa publication dans une modeste revue. Voici ses conclusions brutes : « L’infection par le CoV-2 du SRAS s’est produite chez 42 participants dont le masque était recommandé (1,8 %) et 53 participants témoins (2,1 %). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage. » Pas de quoi fouetter un chat… et emmerder la population entière !
– Une étude californienne commandée et financée par l’UCSF (University Of California San Francisco), qui voulait démontrer une « Baisse des hospitalisations pour Covid-19 après l’imposition du port du masque dans 1083 comtés américains » [28] est retirée le 4 novembre, car une notable hausse des infections a pu être observée après son écriture, semblant l’invalider. Le port du masque généralisé et obligatoire n’a donc en rien empêché cette hausse qu’on qualifiera de « saisonnière ».
– Le 29 octobre, un chercheur américain, Yinon Weiss, publie les résultats de ses recherches observationnelles dans The Federalist : « Ces douze graphiques montrent que l’imposition du port du masque n’arrive en rien à arrêter la Covid ». [29]
– Quid des pays asiatiques, souvent cités en exemple ? C’est une bonne et vraie question… Le Pr. Raoult dit, sur la foi d’une étude dont je n’ai pas la référence, que la seule vraie différence dans la mortalité face à ce virus qu’il a pu observer à travers le monde est la précocité de la mise en place du testing à grand échelle, afin d’étouffer l’épidémie dans l’œuf, si je puis dire. C’est ce qui a été fait à Taiwan, en Corée du Sud et à Singapour, doublé d’un Contact tracing très sévère et d’un contrôle très strict des frontières. Voici une donnée qui ne laisse pas d’interroger : dans la capitale japonaise, une étude semble montrer que jusqu’à 50 % de la population aurait été infectée par le virus [30] et ce malgré un port généralisé du masque très tôt dans la crise. Raoult avance cette hypothèse : les populations d’Asie du Sud-Est, en fait, suite à une bien plus forte exposition aux autres coronavirus du passé, aurait été mieux naturellement protégées par immunité croisée (grâce à nos fameuses cellules T). C’est aussi l’avis de l’épidémiologiste anglaise Sunetra Gupta : « Le confinement rend la population générale vulnérable à de nouveaux pathogènes ». [31] D’autres facteurs sont cités : une meilleure santé générale (moins d’obésité, de diabète, de maladies cardio-vasculaires, bref une alimentation plus saine), des raisons génétiques — d’où en a résulté un taux bas de létalité « record » de la maladie : IFR à 0.0006 %.
Conclusion
Pour en finir avec le jugement provisoire du port imposé du masque-pour-tous, on dira ceci : sa présence ostensible dans l’espace public, partout, tout le temps, est le rappel permanent qu’il y a une menace invisible ; on pourrait presque dire que c’est une répétition générale pour une hypothétique et future guerre de type NBC (Nucléaire / Bactériologique / Chimique). Jamais vous ne devez oublier que la menace est là ; et vous devez le porter, parce que vous êtes une personne vertueuse, d’abord altruiste, comme un signe visible, quasi religieux — un fétiche, un doudou ! — de votre adhésion au Parti Covidiste. Vous croyez qu’il vous va protéger du SARS-CoV-2. Vous acceptez cette présence permanente de la menace, via le port de ce brassard politique. Qui ne le porte pas est comme exclu de la communauté ; c’est un pervers narcissique qui ne pense qu’à lui : un covidiot, un untore !
On remarquera que ces deux groupes semblent inconciliables ; il y a comme un air de Saint-Barthélemy entre eux : c’est la Grande Zizanie, comme dans Astérix, chaque covidiste se méfiant des covidiots, les tenant pour responsables du reconfinement, etc..
Cela vaut-il la peine de détruire la société, la sociabilité, la vie culturelle et l’amitié, pour si peu de résultats ?
Quid des produits chimiques présents dans les masques chirurgicaux « bleus » ? Avez-vous déjà vraiment mis votre nez dedans ? Qu’avez-vous pensé de cette impression de renifler dans un pot de peinture ? Un chef d’entreprise, François Ducrocq, pourtant pro-masque en mars-avril, a mesuré des choses pas jolies-jolies dedans : « L’usage des masques est dangereux » [32] ; « c’est comme un poison lent ». Des cancers en perspective ? des Alzheimer en séries ? des maladies chroniques aggravées à cause de l’acidification du pH interne des corps ?
D’abord, ne pas nuire...