Le fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, réagit à la publication cette semaine par Valeurs actuelles d’une enquête révélant la mainmise du réseau d’ONG de Georges Soros sur la Cour européenne des droits de l’homme.
Lui-même auteur d’un chapitre sur le fondateur de l’Open Society Foundations dans son dernier livre-enquête sur les pères fondateurs de l’Union européenne, il salue le courage du lanceur d’alerte Grégor Puppinck et dénonce le pouvoir de l’OSF, aujourd’hui « plus puissante qu’un pays comme la France ».
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Philippe de Villiers sait de quoi il parle. En mars dernier, quelques jours avant la parution de son dernier livre, J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu, le fondateur du Puy du Fou, attablé à l’étage de la Rotonde, à Paris, déployait pour nous l’argumentaire de son enquête-choc sur les pères fondateurs de l’Union européenne.
Le personnage principal de ce récit, Jean Monnet, possède un alter ego contemporain : George Soros. Nous lui demandons : « En parlant de mondialisme, vous écrivez : “Quand Soros sollicite Emmanuel Macron, il obtient la réponse avant d’avoir posé la question”. Emmanuel Macron serait selon vous soumis au milliardaire ? » La réponse fuse : « Il y a un exemple précis. Soros a demandé le scalp de l’ambassadeur de France. Il l’a obtenu dans l’instant. » Quelques instants plus tard, développant les raisons pour lesquelles le milliardaire américain serait selon lui dangereux, l’ancien député européen avance : « Il a complètement infiltré le Parlement européen. »
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Villiers ne s’étonne pas de nos informations, qui démontrent comment George Soros a infiltré la CEDH par l’intermédiaire de son réseau d’ONG, l’Open Society Foundations :
« L’homme qui manipule la Cour européenne des droits de l’homme, George Soros, ne s’arrête pas là. Il a confié lui-même avec une bonhomie souriante : “je suis un chef d’État sans Àtat”. Il est le premier des lobbyistes du monde. »
Un lobbyiste au pouvoir considérable :
« Sa facilité à pénétrer les instances européennes est due au fait que ce sont les intérêts privés mondialisés qui gouvernent l’Europe, explique Philippe de Villiers. L’Open society Foundations est donc plus puissante qu’un pays comme la France. George Soros est beaucoup plus puissant qu’Emmanuel Macron. D’ailleurs, le surnom qui lui est donné à Bruxelles est éloquent : “le puppet master”, en français, “le maître des marionnettes”. »
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« Le programme subliminal qui est derrière tout cela est le suivant : faire sauter les frontières de la civilisation occidentale ; la frontière physique et la frontière anthropologique. Pour fabriquer un homme nomade remplaçable, déraciné, désaffilié. Soros, c’est la fabrique de l’homme de sable. »
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Les journalistes occidentaux présentent toujours Soros comme un « philanthrope », et sont eux-mêmes intoxiqués par la propagande – forcément positive – sorossienne. La journaliste Caroline de Camaret de France 24 en est victime, face au ministre hongrois de la Famille :
« Il est de notoriété publique qu’il donne une grande partie de son salaire à des causes humanitaires »
Le 12 mars 2019, de Villiers passait son examen devant Crespo-Mara à Europe 1 :
10 jours plus tard, il passe chez Bercoff sur Sud Radio :
Le RN se demande si la CEDH est « infiltrée » par les ONG de M. Soros
L’eurodéputé et membre de la direction du Rassemblement national Nicolas Bay a souhaité de nouveau jeudi 20 février que la France sorte de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), la soupçonnant d’être « infiltrée » par les ONG du milliardaire philanthrope George Soros.
L’élu RN se réfère au rapport d’un juriste cité par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles selon lequel 22 des 100 juges ayant siégé à la CEDH seraient « directement liés » aux ONG du philanthrope, qui aurait « infiltré » cette instance. Dans un communiqué, M. Bay dénonce à cet égard « un conflit d’intérêt flagrant ».
« Guidée par George Soros et son agenda visant à imposer une “société ouverte”, la CEDH est devenue l’incarnation du gouvernement des juges contre la volonté des peuples. À la lumière de ces révélations accablantes, il convient plus que jamais d’en sortir ! », affirme M. Bay, vice-président du groupe Identité et Démocratie (ID) au parlement européen, où siègent plusieurs partis d’extrême droite comme le RN, la Ligue italienne ou l’AfD allemande.
Dans un tweet diffusé jeudi, la présidente du RN Marine Le Pen estime que « face à ces révélations gravissimes, Emmanuel Macron ne peut plus rester silencieux ».
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Soros/CEDH : face à ces révélations gravissimes, E. #Macron ne peut plus rester silencieux.
La Cour de Cassation et le Conseil d’Etat doivent dès à présent cesser de tenir compte des avis de la CEDH. Un État libre se doit d’agir contre ces manipulations antidémocratiques ! MLP https://t.co/j09nWLJ9zo
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) February 20, 2020
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