Depuis un an maintenant, on compte sur les doigts de la main les paroles et les actes de résistance des représentants de la société civile face à la dictature sanitaire du clan mondialiste qui occupe l’État. Du côté de l’opposition politique, c’est le calme plat, à part Philippot et Dupont-Aignan.
Du côté des people, c’est le grand silence, que seuls Nicolas Bedos et Jean-Marie Bigard ont brisé avec leurs appels à la vie normale, à la fin du délire oligarchique et à la dénonciation des responsables du grand gâchis national. Du côté des religieux, on ne peut pas dire que les sermons aient été du plus grand bien pour les croyants. On met de côté l’irremplaçable abbé Rioult, qui pourfend l’Ennemi à coups d’Évangiles. Pourtant, il est un autre abbé qui a osé franchir la ligne rouge oligarchique, c’est Philippe de Maistre.
« Nous sommes des êtres de contacts, frères et sœurs, nous sommes des êtres de relations, vivre c’est être en relation, frères et sœurs, vivre ce n’est pas rester confiné chez soi, vivre ce n’est pas survivre ! C’est pas possible d’en rester là ! C’est aberrant ! Et jusqu’à quand les hommes, les femmes, en France et dans le monde, vont supporter cette dictature sanitaire qui nous oblige à vivre une vie qui n’est pas une vie ? »
Courageux message de l'Abbé P. de MAISTRE, curé de la paroisse Saint André de l'Europe à Paris "Vivre ce n'est pas rester confiner chez soi vivre ce n'est pas survivre et jusqu'à quand les gens vont supporter cette dictature sanitaire c'est aberrant" AMEN (17/01/2021) #Macron pic.twitter.com/uiNFKGcxlV
— Le Général (@LE_GENERAL_FR) February 28, 2021
On dirait, toutes proportions gardées, le sermon historique de Mgr von Galen contre le nazisme, enfin, contre l’euthanasie des malades physiques et mentaux. C’était le 3 août 1941 et cela mettra, officiellement, un terme à l’Aktion T4 sur le sol allemand, Hitler ne voulant pas entrer en conflit avec la puissante hiérarchie catholique allemande. Il fallait en avoir une sacrée paire à l’époque pour s’opposer ainsi au pouvoir du Führer, mais cela prouve que c’est possible.
Et aujourd’hui, que voit-on, surtout chez les opposants professionnels ? Rien.
Marine prône la piquouse et Mélenchon met le masque, autant dire que de ce côté-ci des populismes, les Français patriotes et/ou de la vraie gauche n’ont rien à attendre. Ces deux opposants de métier jouent un rôle : dénoncer, s’agiter, s’indigner, tout en étant d’accord sur le fond, le pouvoir de la Banque (on met un grand B car il ne s’agit pas de la banque du coin qui vous colle des agios), de l’Europe, des forces occultes qui ne sont jamais élues mais qui ne quittent jamais le pouvoir.
Père Courage, on va l’appeler ainsi, avait déjà fait parler de lui en avril 2020, lors du premier confinement, en révélant que trois policiers armés avaient violé son église pour verbaliser les croyants présents à la messe...
Du côté de la haute hiérarchie catholique, c’est l’alignement absolu sur les injonctions mondialistes de Bill Gates, Klaus Schwab et autres dangereux escrocs internationaux. Le site medias-presse.info nous apprend la triste nouvelle :
« Au Vatican, pour les sceptiques ou réfractaires à la vaccination anti-covid, il n’y a pas de tolérance, ni d’empathie, ni de portes ouvertes, au contraire c’est devant des portes fermées que les fonctionnaires non-vaccinés risquent de se retrouver.
Le Vatican bergoglien a choisi d’être rigide avec les employés qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le covid. La vaccination est volontaire, mais… car il y a un “mais” qui rend cette vaccination volontaire une obligation. Un décret du président de la Commission pontificale de l’État de la Cité du Vatican, le cardinal Giuseppe Bertello, prévoit que les employés qui ne peuvent recevoir le vaccin pour raisons de santé (vaccin que le Vatican a mis à disposition) peuvent être rétrogradés ou devront démissionner, avec le maintien du salaire. Et pour ceux qui se refusent de recevoir l’injection “sans raison de santé avérée”, il y a “des conséquences à des degrés divers qui peuvent aller jusqu’à la rupture de la relation de travail”. »
On pensait que le (faux) pape François aurait un peu plus foi... en la foi justement, plutôt que de croire les fariboles des mondialistes sur la guérison très incertaine d’une maladie très nébuleuse. Raoult le dit à sa façon, on ne doit pas déprimer les gens car sinon ils peuvent tomber malades, et on doit encore moins déprimer les malades car cela aggrave leur cas.
« Pour le Vatican, “apporter une réponse sanitaire, prendre les mesures immédiatement nécessaires pour répondre à la pandémie, tout en ayant ses effets à long terme à l’esprit, est important pour la guérison globale et régénératrice”. Par conséquent, “se faire vacciner est considéré comme la prise d’une décision responsable , étant donné que le refus du vaccin peut également présenter un risque pour autrui et qu’un tel refus pourrait sérieusement augmenter les risques pour la santé publique”. »
Du Bill Gates dans le texte ! C’était bien la peine de se faire élire au Vatican... Là, on est carrément dans Vatican III, où il ne reste plus rien de l’esprit de résistance chrétien. Décidément, les églises vides ne sont peut-être pas un mal. La foi est partie ailleurs, et elle participe à des combats plus nobles. En attendant, même le très mondialiste Netflix nous propose un film sur la résurrection du Christ. Cela change des productions christianophobes d’Hollywood.
Nous serons un peu critiques quand même avec ce film qui incrimine plus les Romains que les grands prêtres juifs de l’époque dans la condamnation et le meurtre du Christ. Mais c’est déjà un petit pas, un petit pas pour l’Homme...