Libération, le quotidien du Mossad en France, qui tresse des lauriers au pape François, c’est un rapprochement qui en dit long sur la corruption et la trahison du premier des catholiques. Ce premier est maintenant le dernier.
Les vrais croyants savent que ce pape est une poupée de carton fabriquée et agitée par les sorciers mondialistes à la solde des grandes puissances occultes. C’est ce que dit à sa manière, plus brute et plus évangélique, l’abbé Rioult : « Bergoglio parle comme le Diable ».
L’avantage de l’article de Libé est de montrer que la base ne suit pas le haut de la pyramide, autrement dit que Bergoglio n’est plus le chef de l’Église, sinon d’une Église réformée par le Diable.
Les catholiques pro-life s’opposent aux vaccins au motif que certains utlisent des cellules souches issues de fœtus avortés pour leur conception et production. Pour contrer les opposants, le pape et le Vatican sont montés au créneau depuis l’automne.
Pour faire taire les croisés anti-vaccins, l’exemple chez les catholiques est venu d’en haut. Du pape lui-même. Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni a officiellement annoncé, jeudi dernier, que François, âgé de 84 ans, avait, la veille, été vacciné. Comme son prédécesseur, Benoît XVI, très fragilisé par ses 93 ans et retiré depuis 2013, dans un monastère situé derrière la basilique Saint-Pierre.
Habituellement, la curie romaine n’est guère prodigue d’informations de ce genre, un peu trop people à son goût. Mais il s’agit de faire passer des messages que le chef de l’Église catholique considère comme importants. Et, en la matière, le pape n’y est pas allé de main morte. Dans une interview télévisée, diffusée en Italie le 10 janvier, le pape François a qualifié l’opposition au vaccin de « négationnisme suicidaire ». Pour lui, l’essentiel est, du point de vue éthique, de protéger la vie des autres.
Cellules-souches issues de fœtus
Est-il entendu et suivi ? Rien n’est moins sûr. Dans les milieux catholiques, le débat fait rage depuis plusieurs mois, particulièrement en Amérique latine, en Australie ou encore aux États-Unis, pays où le lobby anti-IVG est particulièrement puissant. Pour les adversaires catholiques de la stratégie vaccinale contre le Covid-19, ce n’est pas de supposées manipulations génétiques qui pourraient poser problème. Ce qui est en cause, en effet, c’est l’utilisation de cellules-souches issues de fœtus avortés dans les années 60 et 70 pour la conception et la production des vaccins.
À Bruxelles, en Belgique, reprenant des informations en provenance des États-Unis, l’Institut européen de bioéthique (IEB) a listé, en novembre dans un article publié sur son site, la liste des sociétés pharmaceutiques qui utilisent ces cellules-souches, une quinzaine, selon l’IEB, à travers le monde. Cet institut est une émanation de la puissante (et très catholique) fondation Lejeune, fer de lance du mouvement pro-life français.
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