Dans l’entre-soi douillet de la chaîne franco-israélienne BFM TV, mais plus israélienne que française quand même, l’homme d’affaires multimillionnaire Michel Cymes, auteur du livre sur les méchants médecins des camps de concentration Hippocrate aux enfers, est interrogé par la présentatrice socialo-sioniste Apolline de Malherbe. Adeptes des échanges musclés et du journalisme d’information, passez votre chemin.
- Apolline se bat contre le virus de la vérité
Michel a trouvé une phrase forte pour définir son œuvre : « Ce livre est une pierre posée sur le fragile édifice de la mémoire de la Shoah. » Pourquoi fragile ? On n’en saura pas plus, du coup on greffe le résumé de la FNAC :
Les médecins ont été parmi les premiers malades atteints de la Peste Brune : à Auschwitz, à Dachau, à Buchenwald ou à Strasbourg, les pires atrocités ont été commises par ceux qui avaient prêté le serment d’Hippocrate. Si le nom de Mengele est encore connu, il ne faut pas oublier les actes et les victimes de Rascher, Clauberg, Heim et Hirt : c’est à cet exercice de mémoire que nous convie Michel Cymes, qui jette son regard de médecin d’aujourd’hui sur une facette moins connue de la barbarie nazie, les expérimentations médicales pratiquées sans consentement sur les détenus.
C’est bien d’avoir trouvé cette minirecension promotionnelle, car la dernière ligne pose question. Si on est d’accord avec le « médecin préféré des Français » devenu le « Français préféré des Français » (d’après les « sondages » du JDD, un journal socialo-sioniste qui soigne ses élus) qu’il ne faut pas faire des expérimentations sur les gens, même prisonniers, alors comment peut-il soutenir la politique de malsanté actuelle qui ressemble étrangement, la torture physique en moins, aux expériences des médecins nazis ?
Aujourd’hui, on ne torture plus des gens en pyjama rayé, on fait mieux que ça : on torture psychologiquement des populations entières sous couvert de les protéger contre un virus mille fois moins dangereux que la peste (2 millions de morts contre 2 milliards, en morts constants).
Et comme dirait le Dr homéopathe Édouard Broussalian invité par l’excellente Béa Bach, le bacille de la peste abonde dans le métro de New York, et personne n’y tombe malade. En revanche, dans les bidonvilles ou villages malgaches, elle y fait régulièrement des prélèvements de vies. Conclusion : le virus n’est rien, le terrain est tout.
On vous conseille de réécouter cette émission (en bas de l’article), en termes d’unités d’intelligence et de luminosité, c’est Le Magazine de la santé de France 5 puissance 10. L’émission de propagande allopathique, autrefois coprésentée par la vibrionnante pistonnée Marina Carrère d’Encausse et l’obsédé Michel Cymes, c’est la médecine antidouce à la portée des cloportes, la doxa lourdingue des Diafoirus foireux. Emporté par ses multiples affaires qui l’ont rendu riche – on est là plutôt dans la santé financière – Michel a laissé sa place à Jean-Marc Sène, selon la loi du rééquilibrage des couleurs à France Télévisions.
Qui empoisonne qui ?
Cymes à 7’00 : « Il faut pas donner plus d’importance à ces tarés qu’ils ne devraient en avoir. Si vous voulez, ces fous, ces complotistes complètement malades, avant on n’en parlait pas mais avec les réseaux sociaux bien évidemment, ça prend beaucoup d’ampleur. Ils sont que quelques centaines ou quelques milliers au maximum à faire courir ce genre de bruits. »
Michel a été honteusement accusé de ne pas s’être fait réellement vacciner, et cela a déclenché sa colère. En vérité il s’est vraiment fait piquer et il a même eu « un petit peu mal pendant deux jours » à l’épaule gauche. Il a raison de s’indigner mais un peu de psychologie permet de comprendre la réaction des internautes, ou des « complotistes » selon le médecin antinazi : quand on représente la médecine officielle, qu’on a fait la campagne pro-vaccin (des 11 vaccins sur les enfants) sous le ministère Buzyn, l’ex-ministre de la Santé aujourd’hui en fuite en Suisse, on déclenche une réaction de défense et de défiance dans la population. Il est alors normal que quelques internautes ne croient plus un mot de la parole oligarchique. Il est plus confortable pour les agents du pouvoir de dénoncer les « complotistes » mal informés que d’affronter les « complotistes » bien informés. Ce débat-là, ils le refusent obstinément !
Malherbe à 8’08 : « On va y revenir parce que ces réseaux sociaux ils vous ont quand même pas mal empoisonné, au point que vous avez quitté Twitter, mais quand même on a l’impression sur cette question de la vaccination il faut convaincre, c’est-à-dire, c’est pour ça que vous l’avez fait devant les caméras, j’aimerais qu’on vous écoute quand vous en êtes sorti, justement, juste après avoir été vacciné... “J’ai un père qui est âgé, je vais pouvoir le serrer dans mes bras plus facilement”, comment vous l’avez traversée, personnellement, cette période dans laquelle on est encore aujourd’hui ? »