à Semper Fidelis,
Tu as répondu complètement à côté, avec un sophisme ridicule, ce qui réfute ta position et montre ton q.i. et ta fuite devant ton incapacité à dresser un argumentaire correct contre des évidences :
PERSONNE ci-dessus n’a dit que Fatou était française pour être né sur le sol français (on n’en a tous rien à battre du lieu de naissance !), il t’a été dit que Fatou était française pour être catholique fervente, avec esprit français et amour profond de la France. Si elle n’a vécu qu’ici et ne connait rien des pays extérieurs, tout en ayant un amour profond du pays, tu ne peux pas débarquer et "l’apatrider" selon ton bon vouloir. En outre, tu fais exprès de l’appeler Fatou alors que je connais bien des Clarisse et cie.
De plus, il y a des métis, c’est à dire des gens avec un parent français blanc et un parent étranger à l’europe, et qui aiment la France (il y en a plein sur ER), cet Abbé n’en parle pas, et toi non plus, car vous n’avez pas d’arguments solides, tout simplement, piégés par votre pensée primaire. Si ce métis a l’esprit français et l’amour du pays, il est français.
Bref, je préfère de loin la pensée de Soral, de Benedetti et d’Ayoub (pourtant pas des tendres midinettes !), mais qui ont plus de logique et de profondeur spirituelle. Benedetti a dit dans une des dernieres videos sur ER "qu’il y avait bien sûr des métis français et quelques personnes de race étrangère qui étaient authentiquement françaises, mais que d’une part, ces personnes étaient assez peu nombreuses et que d’autre part, la France n’avait pas du tout pour vocation d’élargir ce nombre à l’infini." Voilà, en une phrase, c’est du solide, en tenant compte que l’esprit est supérieur à la matière ! Alors que cet abbé ne fait aucun cas de la supériorité de l’esprit sur la matière, et ne se base que sur la matière (le corps et la race), ce qui fait très désordre pour un abbé et ce qui explique que tant de gens se sont éloignés de la religion, pour avoir perçu cette contradiction et le manque de sincérité spirituelle de cette position.
Et il dit n’être pas d’accord avec Soral sur certains points, mais ne dit pas lesquels ! Comme par hasard, dès que l’argumentation devient difficile, pfffuitt, plus personne, comme avec le thème sur les métis.
Je suis profondément croyant, et passe mon temps libre dans des retraites en monastère, mais je prétends que la pensée de certains séculiers va plus loin que celle de certains abbés.