Damien Tarel contestait les peines complémentaires prononcées à son encontre : une interdiction définitive d’exercer dans la fonction publique, de détenir une arme pendant cinq ans et la privation des droits civiques, civils et familiaux pour trois ans.
Les peines complémentaires infligées à l’auteur de la gifle à Emmanuel Macron lors d’un déplacement en 2021 dans le Sud-Est, dont il avait fait appel après avoir été condamné à quatre mois de prison ferme, ont été confirmées mercredi 2 novembre par la Cour d’appel de Grenoble.
« La Cour a confirmé la décision de première instance (...) sur les peines complémentaires », à savoir la privation des droits civiques, l’interdiction de détenir ou de porter une arme et l’interdiction d’exercer dans la fonction publique, a indiqué à l’AFP la juridiction, confirmant une information de France Bleu.