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Parlement européen : la charge violentissime de Bardella contre Macron

Il n’y a pas grand-chose à changer à cette charge du nouveau président (provisoire) du RN contre le nouveau président (provisoire) de l’Union européenne. Nous sommes au Parlement européen, le 19 janvier 2022, après le discours d’Emmanuel Macron, qui a d’ailleurs fait fuir nombre de journalistes. Elle est belle, l’image de la France !

 

 

Pendant ce temps-là, en France, une presse corrompue tente de faire croire que le Diviseur est en tête des sondages, loin devant tout le monde, avec 50 % d’opinions favorables et 26 % des intentions de vote au premier tour du 10 avril 2022...

C’est précisément pour punir toute explosion de vérités que Dupond a été nommé ministre de la Justice, mandaté pour transformer le ressentiment que les Français vouent à ce président diviseur et destructeur en « haine », puis en « terrorisme », puis en peines de prison. Ne pas se soumettre à la politique de ce dingue sera bientôt pénalisé !

 

 

Jordan Bardella lit un texte aussi violent que vrai sur le bilan désastreux du dernier président de la Ve. Car après ça, plus rien ne pourra tenir. Ce « président » n’aura laissé que cendres et goût de cendres dans la bouche de millions de Français, excédés par les mesures de rétorsion sociales et sanitaires ininterrompues. Tout est à jeter dans ce bilan qui n’aura réussi qu’à gonfler les profits du CAC 40 chez nous et de l’alliance des « Big » aux États-Unis (Pharma et Tech).

Le président de la Start-up Nation et de l’Entreprise laisse un champ de ruines derrière lui, comme tous les fous qui accèdent aux manettes. Et il n’y a pas de procédure pour stopper ce délire car les deux chambres sont désarmées. Cela fait longtemps qu’elles n’ont plus d’autre pouvoir que celui de dire « oui, Président ».

 

 

Ce qui intéresse le Destructeur, ce ne sont ni les TPE ni les PME, pourtant garantes d’un tissu économique solide, mais les grandes entités qui sont aussi ses sponsors, d’où le pacte de corruption. C’est un jeu entre le Président, la haute banque et les multinationales, rien d’autre. Les Français peuvent aller compter l’argent qu’il leur reste et les migrants qui débarquent par wagons entiers dans leurs rues, afin de bien achever cette France qui reste un grain de sable dans le stratégie de prise de pouvoir de l’hyperclasse néolibérale mondialiste, bien symbolisée par les milliardaires et autres gestionnaires du chaos que sont Bill Gates, Klaus Schwab et Albert Bourla.

 

 

Face à cette réalité meurtrière, les mots du jeune Bardella, qui a un avenir certain, s’il ne se trompe pas de route (la dédiabolisation), sont encore presque trop doux, mais ils ont l’avantage d’exister.

« Merci Madame la présidente, Monsieur le président de la République, votre Europe a 60 ans, la nôtre en a 3 000. Votre projet politique a pour but d’effacer les nations d’Europe, le nôtre de les sauver. Il faut déconstruire l’histoire de France aviez-vous déclaré, on comprend donc votre enthousiasme de vous retrouver aujourd’hui à la tête d’une institution qui s’est donné pour objectif la dissolution de l’Europe millénaire. Vous et vos alliés avez fait de l’Europe l’arrière-cour de Washington, la proie de Pékin, le paillasson d’Erdoğan et l’hôtel de l’Afrique. […]
Dans un entretien récent dans lequel vous vous réjouissez d’emmerder une partie du peuple français, vous prônez la mise en place d’une Europe des migrations. […]
En clair vous voulez déposséder les États et les peuples du dernier des droits qu’il leur reste, celui de décider qui entre chez eux et qui doit en sortir. Alors que votre priorité devrait être de rétablir des frontières en France et de poser des frontières à l’Europe, vous voulez déposséder les peuples, notre peuple, du droit légitime d’être et de demeurer lui-même. »

C’est alors que vient le gros morceau. Qui va être dur à avaler pour Macron.

« L’Europe peut survivre à des déficits supérieur à 3 % du PIB, mais elle ne se relèverait pas d’un déficit prolongé des naissances compensé par des migrations extérieures. Les nations d’Europe ne veulent être ni dissoutes ni remplacées ni submergées. L’élection présidentielle des 10 et 24 avril prochains ne décidera pas seulement du sort de la France, mais de celui de l’Europe toute entière. Monsieur le président de la République, comment pouvez-vous prétendre, vous prétendre aujourd’hui en rassembleur en Europe alors que vous aurez été jusqu’au bout le diviseur de la France, préférant à l’unité du pays la concurrence généralisée, et donc la guerre de tous contre tous ?
Vous vous êtes comporté comme un liquidateur à la tête de l’État français, vous aurez minutieusement joué au casino avec l’industrie française bradée à des puissances étrangères et dont Alstom restera à jamais un symbole de trahison des intérêts nationaux. Vous aurez laissé l’État être contesté dans son autorité, la nation affaiblie dans sa souveraineté, le peuple attaqué dans son identité et dans ses libertés. De vos promesses d’un monde nouveau il ne restera que vos brimades, vos humiliations, votre cynisme et votre mépris qui auront contribué à rendre le peuple triste, à affaiblir sa force vitale, à le faire douter de l’avenir, à le faire douter de lui-même. Alors que la France a besoin de rayonner de nouveau pour exprimer sa puissance, vous avez éteint sa lumière.
Pour la France mais aussi pour l’Europe, il est vital que votre mandat reste unique. » »

 

L’honnêteté journalistique nous oblige à diffuser la réponse du président déchu au jeune président. Aucun regret pour le mal qu’il a fait au pays, que de la morgue ! Sa réponse vaut toutes les déconnections du réel.

« Je ne crois pas que les Françaises et les Français soient tristes... »

 

Malgré ce constat, le risque de voir le Destructeur se faire réélire est grand, tant les Français ont l’entendement pulvérisé, frappés qu’ils ont été par une peur sans fondement, et sans pareille dans l’histoire de notre pays. On peut être sûrs que l’Élysée va consacrer toute son énergie et une bonne partie de son budget à mentir comme jamais aux électeurs, grâce au terrorisme et à l’antiterrorisme sanitaires qui sont des leviers de comportement efficaces. Et Juan Branco a raison d’écrire :

 

 

La France du Diviseur en une image

 

 

Bardella, sur E&R :

 






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