Pas de plan large, tout en plans serrés : il sera difficile d’évaluer la mobilisation des Français favorables à l’ouverture totale des frontières pour accueillir encore plus de clandestins et désireux de punir le désormais fasciscoïde ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, bouc émissaire de la gauche et du gouvernement, dont le nom est détourné pour faire des jeux de mots – « ablation urgente du Collomb » – qui montrent le niveau réel de réflexion de la gauche migrantophile.
Accueil à #Paris de la la Marche solidaire pour les migrant.e.s
L’asile et l’accueil des migrants et des réfugiés doivent rester un droit dans ce pays. #WelcomeRefugees pic.twitter.com/9giU0Vp0ir— Frédéric Hocquard (@Fredhoc) 17 juin 2018
Rappel : Frédéric Hocquard, « adjoint à la Maire de Paris en charge de la vie nocturne et de l’économie culturelle, conseiller métropolitain du Grand Paris », se décrit comme « noctambule » sur son compte Twitter. La mairie encourage donc l’afflux de migrants dont elle a visiblement perdu le contrôle dans la capitale. Et Anne Hidalgo fait le forcing pour « reconquérir le cœur » des Parisiens... Vous avez dit schizophrénie... ou escroquerie ?
On en trouve de moins en moins, mais on trouve toujours des Français prêts à détruire leur propre pays sous les injonctions du pouvoir profond, dont ils ignorent les buts. Ces naïfs croient faire œuvre humanitaire alors qu’ils participent à la destruction de siècles de civilisation. Car les migrants apportent ce qu’ils sont : une sous-éducation, une sous-instruction, c’est-à-dire une sous-civilisation. Que ceux qui affirment le contraire les prennent chez eux, ne serait-ce que six mois. Ils changeront d’avis très rapidement.
La #MarcheSolidaire entre Vintimille et Londres en soutien aux #migrants a fait escale à Paris aujourd'hui. Retour en images sur la manifestation.@AubergeMigrants @Solidaritywalk @attac_fr pic.twitter.com/Ryh7gF842L
— Stéphanie Roy (@Steph_Roy_) 17 juin 2018
Il est donc plus facile de manifester un dimanche à Paris avec des slogans creux que d’accueillir de vrais pauvres, migrants ou pas, chez soi. Ceux qui l’ont fait ne s’en vantent pas, et ont compris toute la difficulté qu’il y a à déraciner un individu pour le planter de force ailleurs. Car il s’agit bien de force : c’est la force mondialiste qui pousse ces millions de jeunes Africains vers l’Europe, qu’on leur a décrite comme un Eldorado. Ce sont les officines mondialistes sous le sigle ONG qui convoient les candidats gratuitement ou presque vers les terres riches du Nord. Ce sont les agents médiatiques du mondialisme qui encouragent les Français à violer leurs propres lois et à accueillir des clandestins incompatibles avec notre culture. Ce sont enfin les employés politiques du mondialisme qui mentent à l’opinion et qui organisent ce trafic d’esclaves antinational et amoral.
.spécial dédicace à Mateo #Salvini, #Collomb,... et leur monde ! Par la fanfare invisible avec #MarcheSolidaire à #Paris #LoiAsileImmigration : #bellaciao ! pic.twitter.com/imtzGmgeU1
— JeF Pellissier (@JFPellissier) 17 juin 2018
Cependant, ce grotesque raout parisien nous rend optimistes : la mobilisation baisse d’année en année pour ce genre d’entube sociale. L’an passé, le rassemblement de SOS Racisme à la Bastille entre les deux tours pour lutter contre le « fascisme » virait au glauque sous la pluie, même la presse de gauche avait relaté le coté lamentable de ce dernier essai du mensonge antiraciste. Cette année, la mobilisation de soutien au CRIF camouflé derrière l’hommage à une vieille dame assassinée – une affaire crapuleuse laborieusement upgradée en crime antisémite, c’est-à-dire en shoah individuelle – n’avait pas non plus « bougé » les Français. Seule la presse aux ordres s’avouait « émue », « choquée », « bouleversée », bref, les salades habituelles avec le flingue du lobby sur la tempe.
Le niveau de lucidité politique de ces manifestants, dernier carré d’andouilles de choc du pouvoir profond, pique les neurones. Éric Coquerel, le député de La France insoumise, a ainsi déclaré :
« Le gouvernement, par son silence, s’est mis au même niveau, au diapason politique de l’extrême droite »
Si les mélenchonnistes veulent un jour prendre le pouvoir dans ce pays, il va falloir qu’ils augmentent furieusement le niveau de formation des cadres, ou opérer de lourdes purges à l’intérieur du mouvement, comme Staline savait si bien le faire. Si Méluche veut accéder aux plus hautes fonctions – et pas le 33e degré de sa loge –, il faudra qu’il devienne le Staline français. Avec des Coquelet, on est loin du compte !
Cinq jours plus tôt, on était dans le sérieux avec la manif des cheminots, très remontés contre Macron et sa politique de casse sociale, pour qui la SNCF est l’arbre qui cache la forêt en feu :
Il semble que la gauche, en mélangeant les genres, le sérieux et le futile dans ses mobilisations, joue un double jeu au profit du même pouvoir. Car on ne peut pas mettre sur le même plan la défense des intérêts des travailleurs français et celle des clandestins qui viennent violer nos lois sur notre propre sol. Ceux qui le font, ceux qui évoquent cette « convergence des luttes » où l’antiracisme, le LGBTisme et le féminisme côtoient le véritable socialisme, sont des escrocs.
La seule lutte utile, c’est celle qui vise le vrai sommet de la verticalité du pouvoir, qui se situe un cran au-dessus de l’exécutif : les donneurs d’ordres, les créateurs du désordre actuel.