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Oscars 2020 : victoire de la "diversité" et discours crétins de stars

Les César et les Oscars sont l’occasion de nous lâcher un peu sur les dommages collatéraux du carpet bombing mondialiste et surtout de mesurer l’avancée de la bien-pensance dans la sphère publique, le cinéma étant un vecteur de propagande extrêmement efficace, donc dangereux.

 

Chaque année, en France, on a droit à une surpolitisation sociétale des remises de prix, dont personne n’a rien à battre dans le public. On rappelle sur Wikipédia ou dans les émissions de promo que Machin ou Bidule a eu un César un jour, mais ça n’a pas d’impact. Des acteurs de merde ont reçu un César alors que des grands acteurs reconnus par le public n’en ont jamais eu ou alors l’ont reçu tardivement, ce qui est encore pire (rattrapage foireux).

Ces remises n’ont donc aucune valeur chez nous, car le milieu du cinéma est complètement déconnecté du réel, en plus d’être consanguin, surcocaïné et en partie pédophile. Et quand il essaye de s’y coller (au réel), ou recoller, c’est encore pire : on se noie dans des clichés abominables qui sont l’œuvre de « fils de » ou « filles de » passés par les écoles de cinoche ou le piston parental, quand c’est pas les deux (le scandale des notes trafiquées en 1993, Romain Goupil président du concours d’entrée en 2005, on en passe et des meilleures)... Wikipédia nous informe sur cette reproduction des élites bourgeoises :

En 1993, des examinateurs du concours s’aperçoivent que leurs notations sont remaniées, que des notes de candidats reçus au concours de 1992 ont été conservées, que huit candidats auraient vu leurs notes truquées en 1993 et que cette fraude aurait bénéficié, en 1992, au fils du conseiller culturel du Premier ministre. Le président du jury de concours, également délégué général et directeur des études, reconnaît avoir favorisé certains candidats, enfants de personnalités amies ou « haut placées ». Pour ne rien arranger, le président de l’école justifie maladroitement ces pratiques de repêchage en évoquant un « usage » fondé sur « le flair » du délégué général et regrette ce qu’il qualifie de « campagne de délation ». La colère gronde parmi les professionnels embauchés par l’école et parmi les élèves, la presse se fait le relais du scandale, l’Inspection générale diligente une mission d’inspection sur la question. Le président du jury donne sa démission le 9 novembre 1993.

Il y a un rejet du politique en ce moment, mais aussi un rejet du cinématographique, pas le genre en soi, mais ceux qui ont fait main basse dessus et qui ne partagent pas. Car il s’agit d’un pouvoir, et politique, pas uniquement financier.

 

 

Aux États-Unis, il faut reconnaître que la remise des Oscars est quelque chose de plus professionnel et de plus crédible. S’il n’y avait pas la mainmise sioniste sur Hollywood et sa production, cette industrie pourrait se dire indépendante politiquement. Hélas, tous les acteurs sont de gauche ou font semblant de l’être, parce que le public américain qui va voir leurs films est cette masse de jeunes malléables cérébralement, et c’est le gauchisme qui résume le mieux les valeurs dont les jeunes sont porteurs (comme des maladies infantiles), entre 15 et 25 ans. Après, ça se gâte, quand on rencontre le réel, le monde du travail ou du non-travail. On appelle ça le chômage, et son cortège de galères : précarité, manque de fric, désocialisation, drogue, prison...

 

 

Le gauchisme, ou les valeurs de la gauche d’aujourd’hui – pas celle d’hier parce que là on en est très loin –, c’est quoi ? C’est la générosité, l’empathie, penser aux pauvres (mais juste penser, hein), aux autres, donner des droits aux minorités, surtout si elles sont souffrantes (la minorité pédophile n’a pas droit aux droits, vous remarquerez), sauver la planète (de quoi ?), retrouver le sens du collectif dans un monde pourri par l’individualisme bourgeois...

Tout ceci est fort noble et nous y adhérons, sauf tomber dans le piège des minorités agissantes qui utilisent la sentimentalité de la jeunesse pour avancer leurs pions maléfiques. C’est en ce sens que les acteurs américains, qui sont pour beaucoup de gens des modèles de pensée (aïe), ont une responsabilité écrasante dans l’avancée du mondialisme et le recul des vraies valeurs, celles qui ont fondé une civilisation basée sur une croissance de la justice sociale.

 

 

Si Bong Joon-ho a raflé avec raison quatre Oscars pour son Parasite, cette « charge féroce et animale sur la société sud-coréenne », dixit troiscouleurs.fr, certains ont osé dire que c’était une victoire de la diversité, ou de la non-blanchitude (là on manque de concepts, va falloir en produire de nouveaux), et c’est peut-être vrai, même si le film vaut le déplacement.

 

 

« Un tout petit peu moins blanches »... Il y a longtemps qu’on n’hallucine plus à la lecture de ce genre de délires, on nage en pleine folie mondialiste, et les acteurs, responsables au premier chef de la propagation de ce virus de la connerie, en rajoutent des tartines.

 

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Brad Pitt avec l’homme du Mossad et producteur à Hollywood, Arnon Milchan

 

Brad Pitt, le dhimmi du sionisme auteur de World War Z, le film de zombies (autant dire les islamistes ou fous de Dieu) avec au moins 150 scènes de placement du produit « Israël » dedans, y a été de son couplet anti-Trump en recevant son Oscar (20 Minutes) :

« Du côté des seconds rôles, Brad Pitt a récidivé avec Once Upon a Time in Hollywood, tout comme Laura Dern avec Marriage Story. Rarement politique, Brad Pitt a adressé une pique sur l’impeachment de Donald Trump : “J’ai droit à 45 secondes, c’est 45 secondes de plus que les sénateurs républicains ont données à John Bolton” (après avoir refusé d’entendre des témoins, le Sénat a acquitté Donald Trump la semaine dernière). »

C’est pas Clint Eastwood qui aurait dit ça ! Passons du côté des femmes maintenant. Vous allez voir que c’est pas mieux.

Renée Zellweger a reçu l’Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal ; elle a incarné Judy Garland dans le biopic Judy (pas la guenon de Daktari, l’enfant star d’Hollywood). Le biopic, c’est quand on n’a pas d’idée, alors Hollywood fait des films sur Hollywood, ça plaît aux nostalgiques, à l’image de la tournée « musicale » des années 80 en France. Et ça n’a pas loupé, la Renée, retapée au marteau piqueur par un chirurgien pressé, nous a fait pleurer avec la souffrance LGBT (la souffrance des Noirs et la lutte pour les droits civiques, à côté, c’est rien) :

 

 

Si on écoute la R’née, on a l’impression que dans les années 50, dans les bus américains, les homos étaient tout au fond et se faisaient brûler sur des bûchers pour éclairer les longues et froides nuits du Sud profond...

 

Nous sommes tous des voleurs de lait

On a gardé le meilleur pour la fin, Joaquin Phoenix, sacré meilleur acteur dans un rôle principal, celui de Joker. Joarchin nous a fait une sortie sur les vaches, tenez-vous bien :

« On s’est donné le droit d’inséminer artificiellement une vache, quand elle met bas, on vole son bébé. Et ensuite, on prend son lait qui était destiné à ses petits, et on le met dans notre café et nos céréales. »

 

Et après le bol de céréales on part au boulot. Eh ouais Joachin, tout le monde souffre sur cette Terre de larmes.
On le voit, la démagogie et la crétinerie des acteurs d’Hollywood est sans limites. On sait qu’ils sont tous tellement déconnectés du réel qu’ils payent des gourous ou des conseillers – nos hommes politiques font pareil – pour tenter de comprendre un tant soit peu les gens normaux et leur vie lamentable. L’effort est louable, mais les conseillers en question reprennent évidemment les modes du moment, et les stars se retrouvent avec des discours indigents sur la souffrance des vaches, des pédés et des sionistes.

Aux prochains Oscars, si Joachin accroche un bon film, on attend sa sortie larmoyante contre les souffrances du lait et des bactéries. Mais attention, Jo, il y a les bonnes et les mauvaises bactéries.

 


 

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  • #2385268

    Quel désastre cette industrie...

     

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  • #2385296

    Ce que dit cet article est faux, au sujet des spectateurs de films qui ressemblent à ces acteurs et réalisateurs gauchistes : en fait les gens qui traditionnellement vont au cinéma sont des gens des classes laborieuses et classes moyennes et ne ressemblent en rien à ces idiots qui défilent devant la caméra pour ramasser leur petite statuette en étron doré a l’or fin.

    Voilà pourquoi les salles de cinéma souffrent et pourquoi certaines commencent même à fermer. En ce moment la mode est aux salles ou les gens ont de grands fauteuils et ou ont leur sert des mets du genre popcorn recouvert de beurre et coca a volonté.

    Le public ne trouve rien d’intéressant à voir et fuit ces films idiots avec leur morale gauchisante. Dernier exemple : le film Harley Quinn, qui aurait du être un succès et pourtant est un four car dégoulinant de féminisme et de gauchisme. De plus le grand changement démographique qui voit les blancs disparaitre petit à petit ne fait qu’empirer les choses. Car ni les noirs ni les hispaniques ne sont autant cinéphiles que les blancs.

     

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  • #2385316


    Donner des droits aux minorités, surtout si elles sont souffrantes (la minorité pédophile n’a pas droit aux droits, vous remarquerez)




    Ca, ce n’est plus qu ’une question de temps, le progressisme y travail depuis des décénies, ils auront un jour eux aussi leur lettre majuscule dans le sigle extensible a l infinie des auto-proclamés " opprimés" sexuels

     

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  • #2385372
    Le 10 février 2020 à 19:17 par christian
    Oscars 2020 : victoire de la "diversité" et discours crétins de (...)

    Ces gens qui dorment sur des parkings aux usa sont quand même bien considérés par les autorités.
    Bah oui, normalement c’est interdit. Ils enfreignent la loi et c’est toléré, de surcroit gratuitement.
    Merde, quand même.
    Sont chiants les pauvres.
    France 24 va faire un sujet là dessus chez nous ? Nan je dis ça parce qu’on y est.

     

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  • #2385525

    la diversité dans une profession noyautée par une seule communauté depuis des décennies.

     

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  • #2385566

    Il faut voir Ricky Gervais qui a présenté les Golden Globes. Il lance des vannes tous azimuts contre le politiquement correct, les Majors, les multinationales ou les acteurs. Allusions à la pédophilie et Epstein. Il lance, entre autres piques « si vous gagnez ce soir, n’utilisez pas cela comme une estrade pour faire un discours politique, OK, vous n’êtes pas en mesure de faire la leçon au public sur quoi que ce soit.
    Vous ne connaissez rien au monde réel. La plupart d’entre vous ont passé moins de temps à l’école que Greta Thunberg, alors si vous gagnez, montez ici, acceptez votre petit prix, remerciez votre agent et votre Dieu et foutez le camp (fuck off). OK ?. »
    Il faut voir les vidéos non censurées, difficile à trouver Youtube a coupé le son sur les "gros mots" comme sur celle-ci
    https://www.youtube.com/watch?v=4jx...
    Un festival de vannes bien envoyées. E&R devrait trouver une vidéo non censurée et la sous-titrer en français pour les non-anglophones. C’est un monument de l’humour corrosif qui a fait jaser dans les médias américains.

     

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  • #2385637
    Le 11 février 2020 à 00:17 par November Whiskey Oscar
    Oscars 2020 : victoire de la "diversité" et discours crétins de (...)

    A propos de la photo Pitt/Milchan/Jolie : Milchan est du Mossad, mais Jolie est aussi connue pour avoir, par patriotisme paraît-il, volontiers prêté en connaissance de cause son concours à des opérations psy-op (ou guerres de 4ème génération, comme on veut) de la CIA par diverses collaborations médiatiques/humanitaires.

    Et, bon, c’est vrai que Joaquin Phoenix mériterait un Gérard d’or (même si la co....rie est la chose la mieux partagée au monde). De là où il est, son paternel River l’attend sûrement pour lui souffler dans les bronches.

     

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  • #2386469
    Le 11 février 2020 à 22:39 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Oscars 2020 : victoire de la "diversité" et discours crétins de (...)

    perso, meilleur film que j’ai vu sorti en 2019 :

    Golden Glove, (Der Goldene Handschuh) de Fatih Akin,

    je n’ai pas vu beaucoup de films récents,
    mais celui-là pique comme il faut

     

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  • #2386475
    Le 11 février 2020 à 22:46 par Marmiedoise
    Oscars 2020 : victoire de la "diversité" et discours crétins de (...)

    Ca fait un moment qu il n y a globalement rien a attendre des gens du show biz ! La litanie bien apprise sur les minorites, l environnement, la lutte contre la haine et autres discriminations sont tellement rebarbatives que je me demande si on a pas a faire a des robots ou des hologrammes... Avant meme qu ils l ouvrent on sait deja sensiblement ce qu ils vont dire !
    La bien pensance et le politiquement correct sont le miel des journalopes et des imbeciles pas etonnant qu ils soient toujours au rendez vous et en extase de ce genre de grandes messes !

     

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  • #2386543

    Le Joker est surtout un honteux plagiat de la valse des pantins.
    J’ai vu qu’Eminem était passé aux Oscars. Gros mots censurés, bien sûr. Lui qui se moquait il y a vingt ans de Will Smith qui ne jurait jamais sur ses CD.
    Allez, bonne soirée. Demain, je pose la langue sur une jolie frisette, et ça, c’est essentiel.

     

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