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Opération Barbarossa-Bérézina à la française

Coup d’accélérateur dans le marigot des carpettes, les « flaques », pour reprendre l’expression préférée de Pierre Bergé à propos de ses esclaves sexuels : notre chef des armées, grand timonier et trésor national, le dénommé Adolf Benito Macron, a donné l’ordre à la valetaille médiatico-militaire de préparer mentalement les moutons à l’abattoir.

Russia delenda est

On connaît la chanson, c’était exactement la même en 14. On est passés devant une nécropole regroupant 10 000 jeunes Français morts au combat, certains n’ayant d’ailleurs même pas eu le temps de combattre, fauchés qu’ils ont été par les premières salves de mitrailleuses et préparations d’’artillerie d’en face, qui a aussi ses nécropoles. La moyenne d’âge était de 20 ans : 36 % des 19-22 ans ont disparu. Une génération entière a été fauchée comme les blés, mais on n’a pas fait le moindre pain avec. En revanche, industriels et généraux ont fait leur beurre avec.

On a vu le CEMA Mandon, armé de son sourire maigre, annoncer une guerre avec la Russie dans trois ou quatre ans (ce serait bien de savoir exactement quand, pour qu’on évacue des grandes villes), et maintenant, la boîte des pandores étant ouverte, limite fracturée, les suiveurs se lâchent sans vergogne.

On commence par Treillis 1er, qui sort une phrase de chef, signe d’une intelligence supérieure (à celle du bulot) : Face à un empire, on est vassalisé ou on est ennemi.

 

 

Après cette époustouflance, qui ne parle évidemment pas de l’empire américain qui a vassalisé la France via l’OTAN et l’UE, ces deux outils d’alignement sur les intérêts US, mais de l’empire russe, attaqué par l’OTAN sur son flanc ouest, on retrouve le combo gagnant de nos plateaux : une perruche, et un expert en pipologie. Un mariage réussi qui fait plein de petits enfants un peu malformés, disons désinformés.

 

 

Et encore, sur ce coup, Bruno Tertrais, géopipologue, se calme un peu. Mais c’est sans compter sur la séquence suivante, la victoire assurée contre les Russes. Il faut dire qu’il affronte le terrifiant Joffrin, qui fronce sourcils, bouche et cerveau pour nous sortir un historique : « Si y a une guerre, on la gagne ? » Ce à quoi Tertrais répond : « Mais j’ai aucun doute là-dessus ». Des boss ! Des bonshommes !

 

 

On a déjà pénétré la fameuse connosphère, que nos lecteurs connaissent bien. Ensuite, on entre dans la clownosphère, avec l’inénarrable Dominique Moïsi, heureusement pour lui, interrogé par Yves tique-des-plateaux Calvi. Le théâtre est permanent.

 

 

Le discours moisi (l’adjectif substantivé) est confirmé par le néolib ultra Mark Rutte bombardé à la tête de l’OTAN, c’est-à-dire l’employé des faucons du Pentagone. Il explique tranquillement au monde entier que les Russes ayant perdu, ils devraient s’arrêter (preuve qu’ils progressent, mon général ?) là où ils sont.

 

 

Le problème de la propagande élaborée par cette élite sous-qualifiée, limite crétine, c’est qu’elle tente de nous vendre des pantalons troués et sales à une jambe en nous expliquant qu’ils ne peuvent pas être plus salis, qu’ils sont auto-régulés thermiquement, tout en coûtant moins cher, rapport à la jambe de moins.

Il va falloir qu’ils soient meilleurs vendeurs, s’ils veulent embarquer les Français et les Européens dans le grand chaudron russe, où les plus grandes armées, les plus modernes, les plus invaincues, celles de Napoléon et Hitler en leur temps, ont fondu.

 

L’opération Barbarossa qui vient

 






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5 Commentaires

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  • #3571206
    Le 26 octobre à 12:28 par Evida
    Opération Barbarossa-Bérézina à la française

    Je ne vois pas le rapport entre Adolf/Benito et Macron. Les premiers ont cherché à protéger l’Europe de la déferlante bolchévique et libérer l’Europe du joug capitaliste. Alors que l’autre cherche juste une énième guerre civile européenne pour repeupler le continent d’Africains par la suite...

     

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  • #3571214
    Le 26 octobre à 13:03 par Screenager
    Opération Barbarossa-Bérézina à la française

    Pour faire une guerre, il faut des hommes. Si la mobilisation est décrétée, on verra à ce moment qui est prêt à mourir pour la démocratie occidentale.

    Certains diront que le courage de refuser s’est vu lors de la crise sanitaire où beaucoup se sont précipités sur l’injection. Il y a quand même une différence : se faire injecter du poison dans les veines n’est pas la même chose que d’affronter la mort sur un champ de bataille. Notamment parce que dans le premier cas, cela a été accepté seulement pour aller au restaurant ou faire un voyage à l’autre bout du monde, pas pour se faire trucider par des drones sur un terrain miné.

    De toute façon, si guerre il y a, cela prouvera que les dirigeants ont une dent non pas contre la Russie, mais contre les peuples qu’ils dirigent. Les réduire dans une optique malthusienne ou même s’en débarrasser afin d’avoir une nouvelle main d’œuvre encore plus servile arrivée du sud, et d’enfin remettre l’économie à zéro, est-ce leur projet, comme dirait ce cher Manu ?

    Ce qui est certain, c’est qu’on prendra une branlée pas piqué des hannetons.

    « C’est dangereux pour les hommes de peu de s’introduire dans un assaut féroce où flamboient les épées de puissants adversaires. » William Shakespeare, Hamlet

     

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  • #3571229
    Le 26 octobre à 13:50 par Heydrich
    Opération Barbarossa-Bérézina à la française

    Je ne vois pas trop ce plaisir que vous semblez avoir à parler de la défaite de Stalingrad. Cette armée qui chercha désespérement à sauver la civilisation helléno-chrétienne de cette barbarie mortifère. N’est-ce pas Céline qui disait : "L’homme Blanc est mort à Stalingrad".

     

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  • #3571231
    Le 26 octobre à 14:07 par Kal
    Opération Barbarossa-Bérézina à la française

    Mon Général,

    Quand vous dites que face à un empire, on a le choix entre être vassalisé ou être son ennemi, vous avez raison.

    En l’occurence, l’Europe a choisi son suzerain : Washington.

    Si Trump part en guerre, l’Europe suivra ; s’il veut la paix l’Europe s’inclinera.

    Aves les dirigeants de l’Europe de Macron et de von der Layen, il n’y a aucune autre alternative !

     

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