Les européistes sont fous du variant Omicron
Ils font et feront tout pour nous gâcher les fêtes en particulier, et la vie en général. Les européistes se sont donné la main pour re-terroriser un demi-milliard d’Européens (447 millions pour être précis) qui s’apprêtaient à réveillonner en paix pour tenter d’oublier deux ans d’une dystopie archidéprimante. Mais la paix n’est pas dans l’agenda des euromondialistes, qui veulent la guerre contre les peuples, pour paraphraser Claire Séverac.
Soyons lucides : les dirigeants de l’Union européenne sont depuis longtemps en guerre contre « leurs » peuples qui n’ont, majoritairement, pas encore compris ce qui se trame. La preuve, ils ont été nombreux à courir se faire tester avant Noël (6 millions en France !), ignorant qu’ils alimentaient ainsi la machine qui les persécute depuis deux ans.
12h16 : Plus de 6,2 millions de tests de dépistage du Covid-19 ont été réalisés la semaine du 13 au 19 décembre, dépassant le nombre record de la semaine précédente, selon le ministère de la Santé. Le nombre de tests effectués est en forte hausse pour les 16-25 ans et les 26-40 ans alors que les moins de 16 ans ont été environ 10 % moins nombreux à se faire dépister.
Il suffirait d’arrêter de se faire tester pour que la pyramide de Fauci s’effondre, et que les oukases des gouvernements ne puissent plus se fonder sur des stats affolantes du genre 58 000 « cas » aujourd’hui, 100 000 demain, selon les propres mots du ministre du Big Pharma.
C’est l’affolement qui crée le test, le test qui crée la répression, et la répression qui crée l’affolement. Une machine infernale, un cercle vicieux, une boucle cybernétique qui s’emballe.
Il n’est plus question de santé, de soin, mais bien de chiffres manipulés, d’hôpitaux médiatiquement saturés, de psychose entretenue, de politique de chaos social et de panique chez les imbéciles, soit 80 % de la population, les 20 % restants gardant la tête froide et ruminant des envies de vengeance. Le 23 décembre 2021, sur le fil « covid » de France Info, nous avons fait une récolte de brèves complètement délirantes. On les croirait écrites par le couple Schwab-Lagarde en personne, avec Gates, Fauci, Leyen et le fantôme d’Epstein en embuscade. Car on est entre grands [mettez le gros mot que vous voulez] de ce monde, voyez-vous.
Précision, avant d’envoyer l’euro-fumier, la Véran ne parle plus de « cas » mais de « contaminations », ce qui fait plus d’effet aux covido-croyants, n’est-ce pas ?
Quand les collabos s’associent aux corrompus
Environ 88 000 nouvelles contaminations détectées ces dernières 24 heures. Il s’agit des « pires chiffres jamais enregistrés depuis le début de la pandémie », rapporte Olivier Véran. Lors d’un déplacement dans un centre de vaccination du Ve arrondissement de Paris jeudi 23 décembre, le ministre de la Santé a mis en garde. Selon lui, le seuil des 100 000 contaminations par jour sera finalement atteint « plus près de Noël que du Nouvel An ». Il a toutefois relevé que là où Omicron « circule beaucoup, pour l’instant, il n’entraîne pas de vagues d’hospitalisations ». Suivez notre direct.
Ici, le « direct » est destiné à faire croire que la situation est critique, comme pour une prise d’otages, une déclaration de guerre (on se croirait dans le narratif télévisuel de la guerre du Golfe en 1991), un événement mondial. Alors qu’ils s’agit juste d’une grippette renommée Omicron pour les besoins de la cause. On note que depuis la révélation de la faiblesse de ce variant par nos amis anglais, les autorités françaises, Delfraissy en premier, ne peuvent plus faire croire que le virus est à la fois supercontagieux et supermortel. L’inflation des éléments de langage a ses limites... Heureusement, nos ingénieurs sociaux ont réponse à tout !
Moins de cas graves avec Omicron ? Deux études préliminaires menées au Royaume-Uni montrent que les infections au variant Omicron sont moins susceptibles de provoquer des hospitalisations par comparaison avec le variant Delta, confirmant une tendance observée en Afrique du Sud. Prudence toutefois, car le taux de transmission élevé du variant pourrait malgré tout provoquer une hausse des cas graves.
C’est moins grave, mais comme c’est moins grave, on va moins se méfier, et à l’arrivée, il y aura des millions de morts. Heureusement, le pseudo-vaccin à ARN messager protège des formes les plus graves... Un qui est vraiment grave, c’est le Hirsch.
Le type qui nous dicte à combien on a le droit de s’amuser...
Dans le genre surréaliste, on a le boss de l’hosto, qui vient de franchir toutes les barrières de la décence et de l’honnêteté :
« Si on a prévu de danser à 25 dans une pièce, c’est complètement débile, mais vraiment débile »
Martin Hirsch à propos d'Omicron : "Danser à 25 dans une pièce, c'est débile, complètement débile" pic.twitter.com/gN2BaWOPFv
— franceinfo (@franceinfo) December 22, 2021
D’abord, on dansera si on veut, on ne voit pas pourquoi on obéirait à des ordres humiliants de la part d’un type qui a laissé s’effondrer l’hôpital public, en jouant au bon samaritain... Les ordres (auxquels les gens intelligents n’obéissent surtout pas) deviennent de plus en plus éloignés du réel. Même notre administration doit s’y plier, histoire de donner l’exemple... débile :
18h32 : Les préfets et les élus sont invités par le ministre de l’Intérieur à annuler leurs traditionnelles cérémonies de vœux du Nouvel An. Dans un télégramme, cosigné par la ministre de la Cohésion territoriale Jacqueline Gourault, Gérald Darmanin écrit : « Par souci de cohérence et d’exemplarité et afin de nous prémunir collectivement contre l’apparition de clusters qui auraient pour effet d’accélérer la propagation du virus, nous vous demandons de ne pas organiser les traditionnelles cérémonies de vœux ».
Heureusement, nos frères guadeloupéens ne se laissent pas marcher sur la gueule.
18h16 : Des manifestants du collectif antipass sanitaire ont fait irruption dans les locaux du conseil régional de Guadeloupe, à Basse-Terre. « Le collectif a cassé le portail d’entrée et la porte du hall d’accueil, et ils sont entrés dans l’hémicycle alors que s’achevait une plénière », témoigne une responsable de la communication à la région. « Pour l’heure, les manifestants alternent entre des slogans scandés avec force et des chants revendicatifs », rapporte Guadeloupe La 1ère.
Le reste de ce contenu est littéralement dingue (on a été obligés d’aller chercher des synonymes sur synonymo), personne de sensé ne devrait laisser ça en ligne, c’est carrément plus grave que de l’antisémitisme, du racisme ou du sexisme (par ordre de dangerosité). Jugez vous-mêmes.
L’extrême contagiosité du variant Omicron pourrait entraîner une « désorganisation » de nombreux secteurs en janvier (supermarchés, transports, hôpital, école...) à cause d’une multiplication des arrêts de travail et de l’« absentéisme », a mis en garde le Conseil scientifique. Suivez notre direct.
Une véritable prophétie sombre autoréalisatrice. Et toujours ce « direct » : on imagine les covidiots l’oreille collée au poste, l’œil rivé sur la chaîne d’infos, la flaque de pisse sous la chaise, le cœur qui bat de tout son sang, l’AVC qui menace, les trois injections ayant bien préparé le terrain...
On sort un peu de l’Europe, sans en sortir vraiment puisque les Israéliens se sont incrustés dans l’UE, avec la 4e dose, qui en appelle d’autres :
17h26 : Israël a annoncé le lancement prochain d’une vaste campagne de vaccination afin d’administrer une quatrième dose aux plus de 60 ans et à l’ensemble du personnel soignant. Pourquoi cette décision ? La France peut-elle également annoncer une telle mesure ? Réponses dans notre article.
Et puisqu’on parle d’Israël, on en arrive naturellement à l’Allemagne, les deux pays ayant un passé commun un peu tumultueux.
16h12 : La première compagnie aérienne européenne, Lufthansa, va annuler des dizaines de milliers de vols durant l’hiver en raison de la propagation du variant Omicron. De son côté, Ryanair a prévenu que sa perte annuelle serait sans doute le double de ce qu’elle attendait, en raison de ce nouveau variant.
On traduit : destruction de fleurons européens de l’industrie aéronautique, dizaines de milliers d’emplois sur le carreau, chaos social programmé. On poursuit notre tour de l’eurofolie :
16h42 : Le gouvernement italien envisage d’étendre l’obligation du masque chirurgical à l’extérieur dans toute l’Italie, tandis que le masque assurant une protection supérieure, le FFP2, deviendrait obligatoire pour se rendre au cinéma, au théâtre, aux événements sportifs ou aux transports publics.
13h22 : La justice espagnole autorise l’instauration d’un couvre-feu nocturne dans une grande partie de la région de Catalogne. L’exécutif catalan souhaite instaurer un couvre-feu de 1 heure à 6 heures du matin dans toutes les villes de plus de 10 000 habitants où l’incidence dépasse 250 cas pour 100 000 habitants sur sept jours.
250 cas, c’est-à-dire juste avec le nez qui coule, suffisent à confiner 100 000 personnes la nuit... Si les Catalans ne comprennent pas, c’est qu’ils sont masochistes. Pour la fête, il faudra repasser (ou alors s’amuser au black) :
13h23 : Le gouvernement écossais ordonne la fermeture des boîtes de nuit à partir de lundi pour endiguer les contaminations dues au variant Omicron. Cette mesure s’appliquera à environ 150 discothèques, qui pourront rester ouvertes pour le service à table si elles le souhaitent. Le dispositif sera réexaminé au bout de trois semaines.
On termine ce tour d’horizon de la guerre euro-oligarchique avec la Grèce, qui n’avait pas besoin d’une pierre en plus sur le dos :
12h14 : La Grèce annonce que le port du masque sera obligatoire en intérieur comme à l’extérieur pendant les fêtes de fin d’année. Cette mesure entre en vigueur « à partir de 5 heures (heure de Paris) vendredi », et jusqu’au 2 janvier au moins.
Les covidiots testés positifs, qui ne sont même pas malades, seront traités comme des lépreux, pire, ils se traiteront eux-mêmes comme des lépreux ! Il suffit de dire « vont devoir » :
14h23 : De nombreux Français testés positifs vont devoir s’isoler pour les fêtes de fin d’année. France 2 a recueilli leurs témoignages, à distance.
L’eurofolie est en marche, l’UE est devenue une machine à persécuter les peuples qui la composent, et à qui, il y a quatre décennies, les dirigeants européens (mais déjà européistes) complices promettaient la croissance, la paix, le plein-emploi. Aujourd’hui, en plein terrorisme oligarchique, on se dirige vers un chômage de masse encore jamais vu.
Mais l’Histoire nous apprend qu’on ne joue pas impunément avec le feu social...