Il y a en effet des contrastes importants de peuple à peuple dans l’attitude face au covid et cela doit nourrir la réflexion sur les racines de la soumission et de la résistance.
Qui se soumet le plus ? Les peuples occidentaux que l’on cherche à effacer de l’histoire, ceux qui ont le plus subi le gauchisme culturel et son action destructrice : culpabilisation, perversion morale, haine de soi et de soi-même en l’autre. Est-ce qu’une image de soi dégradée, la perte de repères identitaires, une vision du monde amère et haineuse, favorisent l’acceptation d’un narratif moralisateur faisant de soi un malade et fauteur de maladies chez les autres en puissance ?
Qui ne se soumet pas ou moins ? Ceux qui ont gardé des repères identitaires, anthropologiques : les Antillais mais aussi les Slaves, à l’interieur des sociétés occidentales ceux que l’on range à l’extrême-droite comme les Républicains trumpistes. Une estime de soi solide, une conscience identitaire, la difficulté (parfois excessive) pour reconnaître ses torts, est-ce que cela immuniserait contre les manipulations médiatiques et la terreur du covid mais qui peut aussi être la terreur de n’importe quoi d’autre ?
Certes il y a des contre-exemples comme la Suède gauchiste qu’ils resiste, l’Israël droitier qui se soumet, mais globalement cette lecture fonctionne, et elle doit prodiguer une leçon troublante à ceux qui s’auto-intitulent « Insoumis », ce qui est déjà une escroquerie.
Répondre à ce message