Ils en ont tous rien à foutre ,leurs seuls soucies c’est le pouvoir et le pognon .Pour le reste est facultatif ,de la monnaie d’ échange ..

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Il a perdu sur les autres sujets, alors il revient sur les sujets qui n’auront pas de résultats immédiats et qui plaisent à sa base.

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Kamala Harris ne plaisante pas, elle a insisté sur MSNBC sur le fait que Trump représente précisément ce à quoi l’Amérique s’était autrefois comparée : l’archétype du tyran communiste.
Le problème de Harris n’est pas seulement qu’elle est risible, mais qu’elle révèle toute la corruption du langage politique américain. Dans ce pays, les mots ne sont pas des outils de clarté ; ce sont des instruments de confusion. « Démocratie » est employé pour décrire les coups d’État, les sanctions et les bombes. « Dictateur » est affublé du qualificatif « communiste » tout dirigeant qui ose dire non à Washington. Et « communiste » est devenu un épouvantail fourre-tout, une insulte flottante qui peut être lancée à n’importe qui, de Joe Biden à Donald Trump, en passant par l’instituteur du coin qui réclame une augmentation. Prétendre le contraire n’est pas seulement une analyse bâclée, c’est une diversion délibérée, qui pousse le public à poursuivre des fantômes pendant que les vrais pillards s’enfuient par la porte de derrière avec tout ce qu’ils ont.
Trump n’est pas plus un dictateur communiste que Mussolini n’était un syndicaliste. Il est le gestionnaire autoritaire d’un empire en déclin.
L’emportement de Harris sur MSNBC n’était pas fortuit, il était stratégique. En présentant Trump comme un « dictateur communiste », elle attein deux objectifs simultanément : elle recycle la paranoïa de la Guerre froide pour discipliner les « progressistes » et les inciter à défendre le capitalisme, et elle protège sa propre classe sociale de toute responsabilité. Lorsqu’elle insiste sur le fait que « la démocratie soutient le capitalisme » et que « le capitalisme prospère en démocratie », elle ne fait pas une observation profonde ; elle se livre au plus vieux tour de passe-passe de la politique américaine. Elle veut nous faire croire qu’il existe un « bon » capitalisme, un capitalisme où la classe des milliardaires se comporte de manière responsable, un capitalisme où les « magnats » protégeront le peuple des excès de Trump.

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Trump fait du "en même temps" en permanence,on voit clairement qu’il est dans la même idéologie que notre président.
Un jour on dit l’inverse, l’instant d’après.le contraire.
C’est une stratégie inspiré par Le Malin, censée déstabiliser votre interlocuteur.Elle inspire un sentiment de domination à celui qui la pratique. Ces gens se croient vraiment très très fort. En réalité cela ne fait qu’accroître leur éloignement de la Réalité.
Lorsque Poutine les a qualifié "d’empire du mensonge" il les a vraiment bien dentifiés.

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Quel brillant romancier ce Trump !

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Cela n’augure rien de bon pour l’Europe...
C’est comme avant un tsunami, l’eau se retire,
la plage semble s’etendre... et on voit les choses qui etaient
auparavant au fond.

Ce sera difficile de dire qu’on a pas vu
arriver la vague ou les signes avant-coureurs !
L’Europe a-t’ elle la capacité de changer de cap ?
Ou va-t’ elle se prendre l’immense vague ?

Je suis en désaccord avec Trump sur de nombreux points,
mais on voit que la politique suicidaire de la plupart
des pays de l’UE va conduire a un désastre a court terme.

D’ailleurs il n’y a meme plus personne pour défendre
raisonnablement l immigration folle et l’energie tout renouvellable,
qu’on a nous vendus a marche forcée, en depit du bon sens,
et de maniere extrement brutale et prematurée !

Ou sont passé les globalistes ? on les entends plus.

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Qu’on aime ou pas le personnage, ou le style
force est constater que quand il parle les autres écoutent.
C’est un politicien au dessus du lot, au minimum.
Il est beaucoup plus fin et intelligent qu’il n’en a l’air,

Avec ses discours ’ a gros sabots ’ il arrive néanmoins a faire
passer son message .
D’ailleurs il n’a pas été hué, ou acceuillit de maniere hostile
La salle a sourit a ses blagues. et il a ete applaudit convaneblement.

Alors qu’il tient un discours qui n’est pas si facile.

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Si je n’avais aucune référence culturelle ou si j’étais un rejeton de la génération Z, je pourrais dire que l’ expression "marchand de tapis" a été créée à partir des discours de Trump. Du président qui n’a jamais déclenché de guerre il est devenu celui qui sauve sans relâche des millions de vies. C’ est aussi le seul à revendiquer avoir bombardé des installations nucléaires (en Iran) soi-disant pour une cause juste.
Comme bluffeur et menteur, au dessus de lui, il n’y a que le soleil.

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Dénoncer ce faux réchauffisme et ces faux écolos est déjà très courageux, aucun chef d’Etat n’ose le dénoncer, d’ailleurs tous croient à ce réchauffisme planétaire.

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Retournement spectaculaire sur le dossier russe pour revenir à la position naturelle et conflictuelle des fossoyeurs du Pentagone endossée avant lui par des larbins démocrates. Au final, toute sa logorrhée d’épuration du marais ne vaut plus rien.

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