Un « peuple qui a faim ». Quand les mots n’ont plus aucun sens. https://t.co/Rho4OAXSeH
— Jean Quatremer (@quatremer) 31 janvier 2019
Nous transmettons le témoignage qui suit à Jean Quatremer, journaliste européiste issu de l’écurie (incurie ?) Libé, pour qui tout le monde mange à sa faim en France... Quand on chante les vertus du libéralisme européiste, on n’a pas le temps de s’attarder sur les vilains Français – forcément fascistes – qui ont faim. On soupçonne même ces derniers de se paupériser pour accuser l’UE et ses propagandistes ! Salauds de pauvres !
Quatremer fait partie de cette médiacratie qui ruisselle de mots doux pour l’UE, une UE qui mène tranquillement à la dégradation des rapports sociaux chez nous mais ça, c’est pas grave : ce qui compte, et il le dit à Ali Baddou, qui est journaliste comme nous on est pousseurs de chariots dans une mine sud-africaine, c’est la monnaie, « la chose la plus importante qui soit ».
On appelle ça un ravi de l’Union. Quand on va faire un tour sur le Twitter de Jean, on est effaré par la violence des propos contre les Gilets jaunes et ceux qui les défendent. On dirait que le VRP de l’UE joue son poste, presque sa tête. Il est vrai que quand on fait la propagande d’un Système qui détruit les nations et les peuples, on n’a rien de bon à attendre d’un réveil populaire.
L’Italie est officiellement en récession, seul pays de la zone euro dans ce cas. Les démagogues du M5S et les fascistes de la Ligue en action !
— Jean Quatremer (@quatremer) 31 janvier 2019
Partout, Jean voit du « fascisme » quand il ne s’agit que de démocratie populaire. Le vrai fascisme, celui des réseaux supranationaux qui ont affaibli l’Europe pour la vendre aux États-Unis, il n’en est point question ! Seul le bon vieux fascisme presque centenaire est à craindre, avec ses wagons que sont l’antisémitisme, le conspirationnisme et autres fadaises pour lycéens perturbés :
Un négationnisme que l’on voit à l’œuvre chez les gilets jaunes. https://t.co/cVPcXK20mW
— Jean Quatremer (@quatremer) 31 janvier 2019
Jean coulera avec le Titanic européen mais, comme l’écrit justement la revue Rébellion : « Sortons l’Europe de l’Union européenne ! »
Comprendre que les Européens sont prisonniers d’une oligarchie financière qui a mis la main sur l’entité européenne et qui ne la lâchera pas comme ça. On lui doit un chômage de masse, une immigration de masse et une paupérisation de masse. Un exemple parmi d’autres, Monique, 65 ans, retraitée, qui vit avec 727 euros par mois.
Monique est retraitée. À 65 ans, avec sa pension de 727 euros, elle vit dans une précarité qu'elle n'imaginait pas. Elle nous explique pourquoi elle va défiler jeudi pour défendre son pouvoir d'achat.
Son témoignage en longueur https://t.co/cOMBFVb6WQ pic.twitter.com/xY6CvcQPV6
— France 3 Bourgogne (@F3Bourgogne) 30 janvier 2019
Jean, qui chante chaque jour à Bruxelles les infinis bienfaits de l’UE, devrait faire un tour en France, son pays après tout, chez les victimes du libéralisme économique... Il y sauterait quelques repas, ça le changerait des agapes avec les députés, commissaires et autres lobbyistes surpayés de Bruxelles.
Juste pour énerver, on vous refile le salaire moyen d’un fonctionnaire euro-bruxellois : 6 500 euros nets. Et tenez-vous bien au bastingage, il y a 26 000 cadres sup dans le tas sur 38 500 fonctionnaires permanents (et 60 000 employés en tout) ! Simplement, on apprend qu’il faut parler au moins deux langues – dur – et travailler non pas 35h mais 40h par semaine. Carrément la mine sud-africaine !
Et pour ne rien arranger, comme quoi tout ce qui se ressemble s’assemble (proverbe populiste), Jean est régulièrement invité dans l’émission européiste quotidienne de la Quin sur Arte, 28 Minutes... de propagande. On vous offre une capture écran du Jean en pleine action. Pour tous ces europhiles, le problème c’est pas que Monique bouffe moins, c’est que l’antisémitisme monte. Et on prévient tout de suite ceux qui feraient un lien entre les deux : vous sortez !