Sept ans après la mort de Michael Jackson, le docteur jugé responsable de sa disparition s’exprime dans un nouvel entretien accordé cette semaine à Paris Match.
[...] Comme l’ex-médecin le rappelle, quelques jours avant sa mort, Michael Jackson était dans un état de fatigue très avancé. « Il dansait six heures par jour et ne s’alimentait pratiquement pas. C’était un homme de 50 ans dans un état d’épuisement extrême. Il était totalement insomniaque. [Le soir de sa mort], il m’avait appelé à son secours pour l’aider à trouver le sommeil car, à force de ne pas dormir, il devenait fou », ajoute-t-il. C’est là que Conrad Murray lui a administré « une infime dose de Propofol ». Mais selon lui, ce n’est pas ce médicament qui a tué le père de Prince, Paris et Blanket. « Il a été victime des effets du Demerol. [...] C’est le célèbre Dr Arnold Klein [mort en 2015, NDLR], que lui avait présenté Elizabeth Taylor, qui le piquait régulièrement au Demerol depuis des années : il lui avait fait 51 intraveineuses en soixante jours. On en a la preuve. » [...]
Conrad Murray est également très remonté contre l’entourage « épouvantable » du mythique chanteur disparu. « Il était entouré de parasites qui n’avaient en tête qu’une idée : lui extorquer le maximum d’argent. (...) Il m’a répété cent fois qu’on l’avait toute sa vie utilisé comme un objet et que sa famille l’avait toujours considéré comme un animal de cirque. »
« Quand il était jeune, il avait été violé et sodomisé dans sa propre famille. Ces tragédies sexuelles l’ont traumatisé à vie. » [...]
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