Bassem, quand il se passe quelque chose de grave en France, ouvre sa gueule et parle souvent cash, mais juste. Les gauchistes étant paralysés par la potentielle accusation de racisme, et la droite pareil, en pire, il n’y a qu’un Français d’origine maghrébine – un rabza ! – pour dire la vérité, si tant est qu’elle existe.
- "Ces blédards sous #OQTF salissent tout ce que nos parents ont fait depuis 50 ans- Ils prennent des cachetons sur une à 3 et te charcle sans état d'âme." pic.twitter.com/3ugqmLOSd5
— Bassem (@BassemTH69) September 26, 2024
De l’autre côté de la barrière sociale, on a le syndicat de la magistrature, ce repère de gauchistes déconnectés, dont on rappelle qu’il est à l’origine du très dégueulasse « mur des cons », constitué de personnalités de droite et de victimes de la barbarie. On appréciera l’expression « l’œuvre de justice » dans la bouche de cette bonne femme.
« Ce qui s’est passé ce sont des faits d’une violence inouïe, et pour nous la question première à la suite de ces faits c’est de trouver comment les éviter à nouveau au maximum, sans tomber ni dans un discours démagogique sur le procès de la justice en laxisme, et tout en respectant les principes fondamentaux de l’État de droit. (...) Et le débat public s’est focalisé à la suite des faits, dans les heures qui ont suivi les faits, sur la nationalité de la personne mise en cause, le fait qu’il soit marocain et qu’il soit pas en situation régulière sur le territoire français. (...)
On se trompe de débat quand on parle de la nationalité de la personne en cause parce que un viol, y en a toutes les deux minutes trente en France, les féminicides y en a un jour sur quatre en France, là on se focalise sur la personne, euh, et sa nationalité et le fait qu’elle soit en situation irrégulière, sa situation administrative, alors qu’en réalité le vrai problème là-dedans c’est celui de la prise en charge des personnes en détention, c’est celui du sens qu’on donne à la peine, du sens qu’on donne à la prison, de, euh, du travail sur la prévention de la récidive, et par ailleurs, plus largement, celui de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans notre société d’un point de vue judiciaire mais également d’un point de vue éducatif, socio euh, socio-sani, enfin social et sanitaire, euh, et euh, et euh enfin voilà d’un point de vue plus global. »
On rappelle là encore que ce sont ces magistrats qui par leur « œuvre » empêchent l’expulsion de ce genre d’ordures.
ALERTE INFO
Selon le syndicat de la magistrature "il ne faut pas parler de la nationalité" du tueur de #Philippine
On ne va pas y arriver avec cette justice en France .
Oui la justice est laxiste et il y a trop d'idéologie.pic.twitter.com/s33qI2GXM4— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) September 26, 2024
Moins brutal que Bassem, Serge Federbusch s’attaque au syndicat de la magistrature. Ce ne sont pas seulement des « prétentieux », comme l’affirme ce magistrat, mais aussi des gens dangereux.
"Ils sont dans une bulle, ils ont l'impression de détenir la vérité [...] Ce sont des prétentieux !", dénonce le magistrat et écrivain @sergefederbusch au sujet du Syndicat de la magistrature qui dénonce une "surenchère xénophobe" après la mort de Philippine #OMSLT #Europe1 pic.twitter.com/R3xG6dnMF6
— Europe 1 (@Europe1) September 26, 2024
Ces gens qui tiennent la justice se révèlent, avec leurs lubies progressistes qui ne tiennent pas devant le réel, dangereux pour nos concitoyens. C’est à cause d’eux que beaucoup pensent désormais à se faire justice eux-mêmes, et à ne plus compter sur la police pour cela, une police engluée dans des lois qui paralysent toute action efficace contre la délinquance, qu’elle soit petite, grande, ou haute, c’est-à-dire politique.
Dans le genre syndicat de la magie en orbite, on a Lapix qui a trouvé un argument imparable contre les expulsions de criminels et de délinquants face à Bardella :
À la question du financement de l'expulsion de 130 000 personnes sous OQTF, Jordan Bardella répond : "Et le coût de la vie de Philippine ? La seule qui a été exécutée, c'est elle". #JT20H pic.twitter.com/8MlXb1SWN2
— Info France 2 (@infofrance2) September 26, 2024
Les femmes, une peuplade élue ?
Pendant ce temps, pendant que des OQTF se baladent en liberté avec des idées de viol et de meurtre grâce à notre justice de gauche, Nicolas Bedos risque un an de prison avec sursis pour avoir touché les seins d’une fille en boîte et tendu la main vers un pubis, plus quelques faits de drague lourde. On est où, là ? Le Figaro écrit :
Parmi les faits qui lui sont reprochés, une agression qui a eu lieu dans la nuit du 1er au 2 juin 2023 dans le club privé « Sauvages », rue Jean-Jacques Rousseau, dans le 1er arrondissement de Paris. La jeune femme qui a porté plainte accuse le réalisateur de s’être dirigé vers elle, tête baissée avant de tendre la main droite au niveau de son sexe, par-dessus son jean. (...)
Appelée à la barre pour témoigner, la plaignante a eu du mal à raconter la soirée. Elle essuya avec sa manche quelques larmes qui perlaient sur ses joues quand elle dû mimer l’agression. « Je ne pourrais pas dire combien de temps ça a duré. J’ai vu qui était cet homme, ses yeux m’ont fait peur », a-t-elle expliqué, en se recroquevillant dans son sweat à capuche gris. « Ça coûte tellement de porter plainte, je ne dors plus... J’aurais préféré que ça n’existe pas », a poursuivi la jeune femme, « mais c’est grave », assure-t-elle. Elle qui avait hésité à retirer sa plainte, affirme aujourd’hui qu’elle ne regrette pas, et que si « elle fait tout ça », c’est pour que cela n’arrive pas aux autres. « Que justice soit faite », a-t-elle déclaré.