« Ce pass sanitaire n’a plus aucun sens. C’est pour ça que je suis extrêmement surpris d’entendre hier que le ministre de la Santé n’a pas encore mis son logiciel à jour et qui dit qu’il va prolonger le pass sanitaire. Le pass sanitaire n’est pas une solution avec les données qu’on a aujourd’hui, c’est le pass vaccinal, c’est l’obligation vaccinale. »
Martin Blachier, le jouet anti-Véran de Macron (qui veut ainsi passer du pass sanitaire à la vaccination obligatoire) qui vise le poste de ministre de la Santé (en d’autres temps, Mitterrand a fait miroiter le poste de ministre de la Culture à Jean-Edern Hallier, avant de l’éliminer), vient d’envoyer deux messages en apparence contradictoires.
Le premier est simple : il reste 15 % de non-vaccinés, il faut leur infliger des amendes. Nous sommes le 27 août 2021 sur RMC :
Blachier : « La première chose à faire c’est de transformer ce pass sanitaire en pass vaccinal. En fait, ce pass sanitnaire est une hérésie parce qu’on sait maintenant que le vaccin protège contre l’hospitalisation et ne protège pas contre la transmission, ou très peu contre la transmission. C’est pas moi qui le dis, c’est tous les spécialistes mondiaux, et en France c’est Arnaud Fontanet, c’est Jean-François Delfraissy, et c’est même le ministre de la Santé qui l’a concédé. Donc à partir du moment où le vaccin ne protège pas contre la transmission, ce pass sanitaire est totalement stupide. C’est-à-dire que vous enfermez dans des lieux de contamination, dans des boîtes de nuit, dans des bars, dans des open space des gens qui sont vaccinés transmissibles avec des gens qui sont PCR négatifs, antigènes négatifs, et qui peuvent donc se contaminer ! »
Apolline a tout compris : « Finalement, c’est les vaccinés qui peuvent contaminer les autres ! »
On a mis du temps à comprendre, sur RMC-BFM TV. Mais il reste encore un pas, celui qui amène à la lumière : comprendre que ce pseudo-vaccin est fait pour entretenir la contamination, donc la vaccination, et donc les profits gigantesques du Big Pharma. Tout en réduisant la population dans la soumission et l’esclavage avec la peur permanente de l’épidémie et de la répression.
Blachier : Mais exactement, ce sont les vaccinés qui contaminent les autres ! (...) C’est pour ça qu’il faut que tout le monde se vaccine, ou alors l’inverse, si on fait un pass, c’est un pass antigénique ou PCR, on est sûrs que tout le monde est négatif, mais mélanger des vaccinés positifs avec des PCR négatifs, c’est le meilleur moyen d’encourager les contaminations, donc ce pass sanitaire n’a plus aucun sens. C’est pour ça que je suis extrêmement surpris d’entendre hier que le ministre de la Santé n’a pas encore mis son logiciel à jour et qui dit qu’il va prolonger le pass sanitaire. Le pass sanitaire n’est pas une solution avec les données qu’on a aujourd’hui, c’est le pass vaccinal, c’est l’obligation vaccinale.
Quand les vaccinés sont ceux qui « jouent le jeu » oligarchique
Un jour plus tôt, sur LCI, Blachier tient le même discours en ajoutant une dimension économique... En ces temps de crise, les Français ont besoin des conseils éclairés de la taupe fanfaronne macroniste. Et avec une journaliste de la trempe de l’andouille Martichoux, le Blachier joue sur du velours !
Martichoux : L’annonce du pass sanitaire par Emmanuel Macron, ça a donné un coup de booster quand même que vous avez apprécié et dont tout le monde a profité...
Blachier : On l’a tous apprécié, d’ailleurs on a fait des simulations rétroactives et si Emmanuel macron n’avait pas pris la parole (...), on serait dans des situations qui seraient catastrophiques, quasiment proches de ce qui se passe en Martinique ou en Guadeloupe. Aujourd’hui, on vit la rentrée relativement bien parce que cette décision a été prise.
Moi j’appelle qu’une nouvelle décision soit prise pour que les 20 % qui refusent de se faire vacciner ne mettent pas cette rentrée en péril, parce que c’est ce qui peut arriver.
Ben les 20 % de gens qui ne sont pas encore vaccinés, à l’inverse des 80 % de gens qui ont joué le jeu et qui se sont fait vacciner, sont potentiellement sources d’une nouvelle vague à l’automne.Martichoux : Oui mais donc, vous dites j’appelle à une nouvelle décision...
Blachier : Je pense que au bout d’un moment il faut aller vers l’obligation vaccinale pour tous, c’est là où la plupart des pays vont aller...
La solution Blachier : frapper les antivax au porte-monnaie
« On n’y pense jamais en France, mais taper au porte-monnaie ça marche extrêmement bien, ça marche dans la plupart des autres pays... »
Hélas, Barbara Lefebvre vient gâcher la belle démonstration, et rentre dans le lard de l’agent oligarchique. On admire à 5’53 la Martichoux, complètement intoxiquée, qui lance :
« Maintenant, il faut passer à un changement de méthode, un changement de dimension, pour pouvoir aller chercher les personnes qui ne sont pas encore vaccinées... »
Comique : Martichoux ne pose pas de question, elle reprend bêtement l’antienne oligarchique qui consiste à traquer les antivax pour les vacciner de gré ou de force. Ce n’est pas une journaliste, c’est une auxiliaire de police de la dictature sanitaire (APDS). Qu’elle jette un œil en Afghanistan pour voir le destin des auxiliaires de l’occupant.
La solution de Martin consiste donc à « mettre une amende » pour encore « plus pousser la vaccination ». Mais il ajoute, dans le cas où Macron ne choisirait pas l’option brutale :
« On considère à ce moment-là que les 15 % de personnes qui ne sont pas vaccinées ne le feront pas. Peut-être qu’elles iront à l’hôpital, quelque part c’est leur responsabilité individuelle, mais ils s’immuniseront de façon naturelle, ce qui nous permettra de sortir de la crise. »
Une crise qui n’en est pas une pour tout le monde ! Jamais le Big Pharma n’a autant engrangé de milliards en écoulant des vaccins expérimentaux hyperdouteux à des milliards de cobayes pris en otages par leurs gouvernements corrompus !
Le même Martin, répressif dans l’âme, ou ce qui lui reste d’âme, considère malgré tout que le pass est une stupidité, car on sait désormais que les gens vaccinés sont majoritairement contaminants. Ce qui permet à Bancel & Bourla de vendre indéfiniment leurs doses et leurs rappels... Du coup, que vaut son (r)appel à vacciner tout le monde, si le vaccin ne protège pas contre la contamination ? Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup.
Dernière remarque : en moins de 24 heures, celui qui est invité partout (Lacombe, après un retour manqué, a disparu des radars) est passé de 20 % de non-vaccinés à 15 %. On sent qu’à sa prochaine apparition, nous ne serons plus que 10 % à résister contre la dictature. Heureusement, chacun sait que dans une guerre, mieux vaut 10 lions que 1 000 moutons...
« Nous ne nous battons pas pour sauver notre vie. Personne ne sortira vivant d’ici. Nous voulons sauver la dignité humaine. » (Arie Wilner, combattant du ghetto de Varsovie)