Rectification ;
"que par "instruction", on entende en enseignement en fonction"
Que par "instruction", l’on entende Un enseignement en ...
@lebretteurfredonnant 1/2
"que c’est grâce a la révolution française et a la république que le français est devenu la langue maternelle ,national et naturel de tout les français."
Il est drôle de vous lire sans nuance, là où votre formatage républicain pointe son nez, cher "lebretteurfredonnant" !
Que vous ayez souligné la diversité d’une réalité qui incombe le protestantisme, quoi de plus vrai, et justifié même, mais de vous laissez aller dans un maquignonnage d’idéaux, relève plus d’une supercherie (réellement) négationniste intoxicante ;
La France, a-t-elle attendu l’unité linguistique pour briller et s’élever, cher "lebretteurfredonnant" ?
Depuis sa naissance (F)ranque, et ce jusqu’au XIXè, en quoi l’imbroglio linguistique (culturel, ethnico-racial...) qui la caractérisa lui fut néfaste pour s’élever au rang des puissants de ce monde ?
A croire, comme le rappelle si justement Marion Sigaut, que la France pré-républicaine ne fût peuplée que d’un amas d’ignares patentés, disparates et discordants, mais à qui, malgré cela, vous devez (tout de même, il est toujours bon de le rappeler...) la majeur partie de la grandeur historique de votre Terre.
Outre ce fait, de cette idée (totalement) reçue et mensongère, que la vernacularité respective des différents espaces ethnico-linguistiques de la France, fût (et l’est toujours a priori...) de cet archaïsme à combattre au nom de la "sainte" vehicularité que nous prône un grand nombre d’idéologues de tout bord, totalement émancipés de l’attachement instinctif, donc charnel, des composantes anthropologiques de la France ;
Que le français serve de trait-d’union à une meilleure cohésion nationale, sans que cela soit pour autant, indispensable et impératif, comme nous le démontre l’Histoire de notre Pays, pourquoi pas,
Mais ne faites pas comme ces bien-pensants, qui se permettent de "penser" au nom d’un bien pour les autres sans leur demander leur avis, ainsi vos termes employés "grâce..." dénotent qu’il eût été pressant, telle une campagne d’évangélisation, de bénir par le français tous ces barbares caquetants un bordel dissonant d’un autre temps ... allons, allons, il faudrait d’avantage "intellectualiser" vos propos au lieu de les dissoudre dans une vulgate robotisée.