Au cours d’une récente interview, Marine Le Pen a émis la volonté de revenir strictement à la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse et donc à la suppression des lois liberticides qui s’y sont ajoutées. Après la loi Pleven du 1er juillet 1972 contre le racisme et le délit de négationnisme a suivi la loi Gayssot du 13 juillet 1990 qui en a remis une couche contre le racisme à sens unique et la xénophobie, un terme dans lequel tout peut être rangé, y compris l’instinct de défense. Toutes lois qui n’ont cessé de restreindre la liberté d’expression, d’opinion, de la presse et de la recherche historique au profit exclusif de l’idéologie révolutionnaire mondialiste.
Depuis que François Hollande a pris le pouvoir grâce au vote des Français issus de l’immigration, la dictature de la pensée n’a pas chômé : La loi Renseignement de 2015 modifiée le 21 juillet 2016, sur l’État d’urgence, a pris pour prétexte la lutte contre le terrorisme islamique pour généraliser et amplifier un espionnage qui vise, parmi d’autres objectifs, à prévenir « les atteintes à la forme républicaine des institutions », applicable contre n’importe qui sans que la Justice n’ait à y mettre son nez. Une loi avec son extension qui demande encore à démontrer son efficacité en matière de prévention du terrorisme. Or quasiment tous les auteurs des attentats islamiques en France étaient fichés par la police, sans que cela les ait empêchés de commettre leurs assassinats de masse ou par petits groupes.
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Voici ce que contient le programme du Front national sur ce sujet :
Démocratie : Le retour de la liberté de la presse et d’Internet
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La communication ne se rapporte pas qu’aux groupes de presse, elle concerne tous les Français, notamment à travers les médias audiovisuels Internet (blogs, forums, etc.). Leur liberté d’expression doit être garantie et renforcée dans ce domaine. Une licence globale sera instaurée pour les échanges privés sur Internet, qui doivent rester libres. La liberté sur internet sera fermement défendue contre toute tentative (HADOPI, LOPPSI 2 Traité ACTA) visant sous divers prétextes de la restreindre.