Quel malheur ! Je suis Mulhousien, j’ai déjà dit ici mon étonnement de lire dans l’Alsace (journal auquel nous sommes abonnés depuis des décennies) de la retape politique de la Licra qui intervient en consignes de vote au même titre que les partis Politiques (un comble). L’Alsace a des « Juifs d’Alsace » qui ne sont pas des « Juifs de France », mais des « Français Juifs ». Même si le type qui a remis à sa place Finkielkraut en gilet jaune a dérapé dans la forme, il y a ici, Avenue Aristide Briand (près de l’échoppe où travaillait le jeune homme), la Maison de la Palestine, pignon sur rue. On a la rue des Rabbins, etc. Les Juifs de chez nous ont toujours œuvré pour l’Alsace, altruistes « en différence de l’image habituelle de cette communauté ». Là on met, avec leur accord apparemment, tous les Juifs dans le même panier.
C’est un choix, mais une Shoah en quelque sorte.
Merde, on eu des Enderlin capables de faire la part des choses ! Ah, c’est vrai, avec l’apport Bas-Rhinois, on a eu Fatus.
Pas Juif (donc je suppose antisémite), j’espère que les Juifs de Mulhouse prendront recul. Soral ou pas, Licra ou pas, rester à part, dans une Alsace compliquée qui a connu 2 drapeaux et... désormais... tellement de drapeaux (Merci Bockel et consorts). Se démarquer de la propagande, revenir à l’essentiel « France profonde », ou... assumer, pour ma part, finalement, à part emprunter journellement le « Rond-point des Justes », si tout fout le camp...
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