« Alain Soral a été condamné jeudi à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bobigny. Les réquisitions formulées par le parquet du Tribunal de grande instance ont donc été suivies. » (Source : Le Parisien)
Une condamnation qui tombe à pic, en pleine guerre des Gilets jaunes contre le Système et du Système contre les Gilets jaunes, les vrais : Alain Soral, par la force des choses, se pose en inspirateur idéologique de la fronde de la France profonde, une France humiliée par les maîtres du pouvoir profond. Il n’est pas une journée sans que les médiateurs ne rattachent eux-mêmes le président d’Égalité & Réconciliation à la partie la plus engagée ou la plus conscientisée des Gilets jaunes.
Pour être précis, Alain Soral a été condamné premièrement pour ses propos tenus contre un procureur, en l’occurrence une femme, lors du procès des deux dessins diffusés sur le site E&R, « Le jeu d’échecs » et « Les cancrelats » ; secondement pour ses propos tenus devant le tribunal après la diffusion d’une vidéo sur la haine communautaire (voir le texte et la vidéo en fin d’article).
Le caractère nouveau de cette condamnation réside dans le fait qu’elle vise des propos tenus par un prévenu lorsqu’il a la parole en dernier.
Le Parisien rappelle en les concentrant les termes qui ont valu un an de prison ferme à leur auteur :
« Les juifs sont manipulateurs, dominateurs et haineux ». Contre la magistrate, il affirmait : « Je n’ai jamais entendu autant de mensonges et de malhonnêteté sortir de la bouche d’une femme, et pourtant des salopes, j’en ai connues. »
Naturellement, l’officine de répression sioniste « UEJF » déguisée en syndicat d’étudiants s’est réjouie de cette décision de justice, même s’il reste encore du temps avant qu’Alain Soral ne soit jeté derrière les barreaux... de la République.
Rappelons ici qu’Alain Soral cumule déjà plus de deux années de prison en attente et plusieurs centaines de milliers d’euros d’amendes, ce qui le place en ennemi politique – et non public ! – numéro un du Système.
Nous obtenons la condamnation d’Alain Soral à un an de prison ferme pour des propos antisémites et injurieux tenus sur son site internet Égalité et Réconciliation. La justice met un nouveau coup d’arrêt à ce petit propagandiste de la haine. #NeRienLaisserPasser #StopRacisme pic.twitter.com/ZuD8LOvn9Y
— UEJF (@uejf) 17 janvier 2019
Plus personne n’ignore, même chez ses pires adversaires ou détracteurs, que Soral incarne une lutte aussi radicale que cohérente contre le Système, une lutte sans demi-mesure, sans reptation, sans compromission, sans concession. On est loin des faux opposants à la Olivier Besancenot ou de ceux qui pactisent avec le vrai pouvoir, comme Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen. Le signal de la prison est fort : il sépare le bon grain de l’ivraie parmi les résistants.
Pourquoi un « effet Gilet jaunes » ?
Tout simplement parce que les manifestants découvrent, en seulement deux mois d’actions (17 novembre 2018-17 janvier 2019) et 9 samedis ce que Soral serine depuis des années : le système médiatico-politique ne travaille que pour son propre compte au détriment des intérêts des Français. La République n’a de république que le nom, le peuple croule sous les injustices et cible avec une lucidité grandissante les responsables de sa situation dramatique.
C’est pourquoi, après les ronds-points, certes symboliques mais ne menaçant pas la structure du pouvoir, les Gilets jaunes ont déplacé leur lutte vers les centres de décision et de diffusion de la décision. Retombant ainsi, en une formation politique accélérée, sur les thèses développées par Soral depuis une décennie.
C’est peut-être cette congruence des luttes, celle d’un homme seul – mais avec son mouvement, ses militants et ses sympathisants – et celle des Français périphériques – victimes programmées des choix politiques mortifères du libéralisme (paupérisation, immigration) – qui est à l’origine de l’accélération et du durcissement des sanctions contre Alain Soral. Le niveau de persécution subie, que chacun peut mesurer, traduit le sérieux et la justesse de sa lutte, et non la haine de telle communauté, comme la pseudo-justice française veut le faire croire.
« Avec cette condamnation, la peur a changé de camp. Nous continuerons à poursuivre monsieur Soral dès qu’il tiendra des propos antijuifs », a déclaré à l’AFP l’avocate de la LICRA, Ilana Soskin.
La période est historique, le peuple français a fait un bond de conscience politique, et les manipulations du pouvoir flanqué de ses proxies gauchistes (utilisés pour détourner les luttes) ne changeront pas grand-chose au fond : le soulèvement est trop puissant, et tous ceux qui peuvent en être les guides naturels (Mélenchon ou Ruffin étant des guides artificiels tolérés par le Système) sont désormais menacés d’enfermement.
C’est la dernière carte du Système. En d’autres temps, jeter en prison un guide naturel n’avait rien résolu : Hitler, détenu pendant 9 mois en 1924 à la prison de Landsberg, conquerra le pouvoir 8 ans plus tard. Mandela, détenu pendant 18 ans à Robben Island (1964-1982), deviendra le premier président noir d’Afrique du Sud, 12 ans plus tard, en 1994.
Rappel, pour mémoire
Le 14 mars 2018 se déroulait devant la XVIIe chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Paris le procès d’Alain Soral – poursuivi par la LICRA, l’UEJF, J’acccuse, le MRAP et SOS Racisme – pour deux dessins publiés sur le site d’Égalité & Réconciliation.
À cette occasion, le président d’E&R avait fait une déclaration en fin de séance, après la diffusion d’une vidéo illustrant non pas sa haine de la communauté juive, mais les propos haineux de représentants de cette même communauté. Cette dénonciation de la haine a donc été assimilée à de la... haine, et condamnée ce jeudi 17 janvier 2019.
La vidéo que vous allez (avez) visionner(ée) compile les déclarations publiques des diverses personnes incriminées et démontre qu’elles n’ont été ni injuriées ni diffamées et que pour notre part, il n’a pas été provoqué à la haine.
D’ailleurs aucune des personnes incriminées n’a porté plainte.
Comme cette vidéo vient de le démontrer, le pouvoir juif est un constat, une réalité revendiquée par les juifs eux-mêmes. Comme l’obscénité du dîner du CRIF le démontre un peu plus chaque année…
À la simple vision de cette vidéo, il est facile de conclure que nous sommes face à une inversion accusatoire.
D’ailleurs pourquoi énoncer ce pouvoir juif serait une provocation à la haine ? Parce que les juifs ici présents pensent que leur pouvoir est haïssable ? Il est en effet illégitime et néfaste (fait de parasitisme, de diviser pour régner…). Quant à la haine, elle est une spécificité juive, le cœur même de cette religion.
Alors que faisons nous ici ? Notre présence ici provient uniquement de l’acharnement de monsieur Lilti ! Lilti, monomaniaque hystérique, prétend représenter la communauté juive.
Un. Il n’y a pas de communauté juive, c’est contraire à la Constitution (la République ne conçoit aucune corps intermédiaire entre le citoyen et la nation). Deux. Il ne représente que lui-même, au mieux le communautarisme victimaire et dominateur juif, et les intérêts d’Israël... Monsieur Cohen ici présent, comme des centaines de milliers d’autres juifs (cinq juifs sur six ne sont pas affiliés au CRIF) ne se sent pas représenté par monsieur Lilti.
Pour démontrer cette intolérable inversion accusatoire, j’ai fait citer quatre témoins. Quatre judéologues – il y a bien des islamologues – issus de la diversité française : un juif, un musulman, un catholique, un nationaliste… Je suis moi-même de culture marxiste et bon connaisseur du sujet ! Nous aurions pu en citer des milliers d’autres...
Le judaïsme contemporain, judaïsme talmudo-sioniste, est bien une religion de haine, belliqueuse et raciste. L’État d’Israël en est la démonstration, la réalisation pratique. Il est aussi facile de démontrer, avec un peu de raison et de courage, que le judaïsme – religion raciale et politique – contrevient à tous les principes de la République.
Le judaïsme est contraire au principe de liberté (par le tribalisme qui interdit tout libre-arbitre).
Le judaïsme est contraire au principe d’égalité (par le peuple élu, prétention raciale inégalitaire).
Le judaïsme est contraire au principe de fraternité (la terre promise n’étant jamais qu’une entreprise de domination, de violence et de spoliation, comme l’État d’Israël le démontre encore).
Et ceux, ici présents, qui s’en réclament, sont donc bien des faussaires en république et des fauteurs de haine !
C’est donc bien à ces juifs communautaires, manipulateurs, dominateurs et haineux, de se conformer aux principes de la république laïque et égalitaire. Pas l’inverse ! Malgré la propagande, les mensonges, les menaces, tout le monde le comprend, et de plus en plus...
Alors que la République française, par l’égalité citoyenne, leur a tout donné, ces nouveaux marranes – ces marranes laïques – bafouent et pervertissent l’égalité républicaine, pour nous imposer leur domination religieuse et raciale. Comme leurs ancêtres refusèrent ou trahirent l’amour du Christ, ils refusent et trahissent l’assimilation à la nation française pour soumettre la nation française à Israël.
Donc oui, luttons et soyons tous unis contre la haine ! Dénonçons ces fanatiques racistes et dominateurs.
Assez de la tyrannie de la minorité ! De cette minorité qui, pour continuer à régner, pousse à la haine toutes les minorités derrière elle : féministes, jeunes, gays, immigrés… conduisant ce pays au chaos !
Conformément au principe même de la démocratie, il est grand temps que le pouvoir revienne à la majorité, aux 99 % de goïms, de gentils, méprisés et manipulés qui constituent ce pays.
Ici ni peuple élu ni terre promise. Égalité et réconciliation !