Un jour, les Français, redevenus conscients et enfin eux-mêmes, après avoir été intoxiqués par leurs ennemis, déboulonneront les statues des prétendus antiracistes qui ont pour objet de détruire l’histoire de France, la France et les Français.
Mais aujourd’hui, c’est au tour de l’anti-France de mettre en place son ignoble projet. On rappelle que Notre-Dame a brûlé il y a un an seulement. La guerre contre la France a commencé. Les Français under attack se réveilleront-ils ?
Marine Le Pen était chez la bien-pensante Alba Ventura, dans l’émission du très bien-pensant Yves Calvi, sur RTL le 14 juin 2020.
« Oui, là-dessus je serais d’accord avec le Président, mais je ne le crois pas capable de protéger les Français dans ce domaine. Parce qu’en réalité ce gouvernement a accompagné ce processus de communautarisation, et il continue d’ailleurs à le faire puisque les solutions qu’il propose ce sont les statistiques ethniques... Il y a toute une série de pistes qui consistent à mettre en place de la discrimination positive... à faire passer un stage de lutte contre les discriminations aux agents immobiliers au risque de ne pas leur renouveler leur licence ! »
Le 15 juin 2020, France Inter pose la question du déboulonnage des statues des hommes qui hier étaient des héros, ce qu’on appelle des grands hommes, et qui aujourd’hui sont devenus des racistes.
« Faut-il déboulonner les statues d’esclavagistes, de responsables de massacres, plus généralement de figures sombres de l’Histoire de France ? Emmanuel Macron y est farouchement opposé et l’a rappelé, mais la porte-parole de son gouvernement est plus nuancée sur France Inter ce lundi matin. »
La grande penseuse noire Sibeth Ndiaye, qui a été traitée de bourgeoise (presque de bounty) par le leader de la Ligue de défense noire lors de la première manif antiraciste à Paris, a donc été invitée à développer sa pensée communautariste sur la station gauchiste de service public (attention à l’oxymore). La porte-parole s’alignait d’abord évidemment sur les dires de son Président, qui s’est adressé aux Français dimanche soir.
« Sur la question, l’allocution du président de la République semblait ferme et définitive : “Je vous le dis très clairement : la République n’effacera aucune trace ni aucun nom de son Histoire”, assurait Emmanuel Macron dimanche soir. “Elle n’oubliera aucune de ses œuvres. Elle ne déboulonnera pas de statue”. Une référence claire à ce qu’on peut voir, aux États-Unis ou au Royaume-Uni, en marge de la mobilisation antiraciste mondiale suite à la mort de George Floyd. »
Là-bas, au pays de l’Oncle Sam et de l’Oncle Tom, les Noirs en colère déboulonnent tout ce qui se rapporte au Sud confédéré, aux esclavagistes ou aux méchants Blancs. Macron veut éviter « toute réécriture haineuse ou fausse du passé » mais, fidèle à son en même temps, il envoie sa fidèle Sibeth évoquer la possibilité du contraire. Mais elle commence doucement, car le sujet est sensible en France, et il ne faut pas réveiller la susceptibilité des Français :
« Il faut que la France se réconcilie avec son Histoire. Là où je ne suis pas d’accord, c’est quand, à travers le déboulonnage de statues, on prône la disparition de figures historiques. [...] Moi je ne crois pas qu’il faille les effacer de l’Histoire, je crois qu’il faut expliquer l’Histoire. »
Mais il y a les noms de rue qui ne vont pas :
« Sibeth Ndiaye assume par exemple que dans le cas de l’avenue Bugeaud (général français responsable du massacre de nombreux Algériens au XIXe siècle) à Paris, on puisse “poser la question” de la débaptiser. »
Ce qui, en politique, est le signal du festin !