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Macron et le pape ont même patron, mais ce n’est pas Dieu

À vrai dire, quand on s’intéresse un peu à la politique, à l’histoire, et aux forces occultes, on comprend que toutes les élections sont non pas truquées, mais préparées avec soin. Que ce soit le pape ou le président de notre triste république, au fond, cela n’a aucune importance. Ce qui compte, comme pour les attentats, ce ne sont pas les exécutants, l’exécutif, mais les commanditaires.

 

En général, eux ne changent pas, ne sont pas remplacés, car ils ne passent pas devant les électeurs : ils ne prennent pas ce risque, et le risque de se faire détester. Ils sont auto-élus, et se refilent la charge de génération en génération, de proche en proche, de père en fils.

C’est pour cela qu’on a hérité, qu’on soit croyant ou pas, d’un faux pape et d’un faux président, ou, plus précisément, d’un pape anticatholique et d’un président de très peu de Français, d’une minorité de Français : l’oligarchie.

Le Vatican rembourse sa dette contractée auprès de la Banque
en concessions au sionisme

 

De la même façon, le pape François n’aura régné qu’au bénéfice de l’oligarchie mondialiste, qui commande aussi Macron. Ils ont le même patron, la Banque. Et on en voit le résultat : une catastrophe totale pour les foules. C’est pour cela que la vraie politique a lieu hors des phases électorales, qui ne sont qu’un carnaval, qu’un tourbillon d’espoirs déçus, par définition. Mais ça marche toujours parce que, comme le chante Souchon, cela s’adresse à des foules sentimentales.

Pour toutes ces raisons, les peuples commencent à lorgner du côté de bons antidémocrates, puisque c’est ça ou de mauvais démocrates. Les peuples instruits par la fausse démocratie se tournent vers des tyrans raisonnables, comme Xi, Trump ou Poutine. Cela viendra chez nous, car la pression des trois grands est trop forte, et l’Europe, donc la France, n’est pas de taille à résister à ce renversement.

Alors, se désintéresser de la politique en attendant la libération ?

Au contraire, liquider la politique de surface pour se consacrer à la politique profonde, qui demande plus de temps, et qui ne connaît pas de Grand Soir, même si l’élection de Trump a mis le chaos dans le chaos. Mathématiquement, le chaos dans le chaos, c’est la possibilité d’un ordre. Nous sommes à l’aube d’un nouvel ordre mondial, mais les disciples du chaos ne se laissent pas faire : ils feront tout pour replonger le monde dans le chaos, la guerre, la maladie et la mort. C’est ainsi qu’on peut résumer les séquences de terrorisme oligarchique en France depuis dix ans :

- terrorisme sous faux drapeau islamiste (pour détruire la gauche anti-israéliste) en 2015-2016 ;
- terrorisme social avec la répression de la révolte des Gilets jaunes en 2018-2019 ;
- terrorisme sanitaire avec la fausse pandémie et le faux vaccin ;
- terrorisme de guerre avec la mondialisation du conflit ukrainien.

Par-dessus tout, on peut évidemment ajouter le terrorisme économique, qui, lui, est permanent depuis 1983. La classe dominante n’a eu de cesse de détruire le pouvoir de nuisance ou la résistance de la classe dominée. Aujourd’hui, en 2025, c’est au moment où l’oligarchie, après toutes ces phases répressives, pense avoir gagné, qu’elle est la plus fragile. Les signes ne trompent pas.

Faire France grande à nouveau

Le pouvoir est plus que jamais aux abois, et le pouvoir invisible a dû intervenir plusieurs fois à la place du pouvoir visible, s’affaiblissant ainsi aux yeux de tous, même des plus aveugles ou des plus lâches. Le moment où Kalifat tord le bras du Président restera un grand moment de notre histoire politique, une révélation de l’organigramme réel de notre république.

 

 

Mais alors, comment changer de pouvoir profond ? Y a-t-il des élections pour nommer les membres ou le boss de ce conclave ? Euh, eh bien, oui, en quelque sorte, mais c’est un autre sujet, un peu plus dangereux à développer. Disons que la montée de la conscience collective sera suffisante pour changer la donne, éliminer les élections-pièges, et rebâtir un État souverain.

C’est pourquoi un président « neuf » en 2027, un pape noir, gay ou tradi dans les prochains jours, sont le cadet de nos soucis.

On veut bien voter, mais pour le pouvoir profond

 

 

Comprendre le globalisme par la globalité

 






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21 Commentaires

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  • #3523072

    Pape François qui faisait populaire.

    Pape François qui soutenait l’immigration contre le peuple.

    Pape François, le chantre des minorités au pouvoir comme les LGBT.

    Pape François qui ne laissera aucune trace dans l’Histoire…

     

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  • #3523078
    Le 23 avril à 17:30 par Cathare VI
    Macron et le pape ont même patron, mais ce n’est pas Dieu

    Le message de La Salette n’a pas pris une ride, bien au contraire il est malheureusement trop adapté aux actualités .

    Bien enttendu les dirigeants de l’église n’en font pas cas et sont plutôt enclin à noyer le poisson, car bien trop occupé à dorer le blason de Patchapapa qui vient de casser son calumet de la paix .

    La Vérité est en Chemin, Il s’en revient .

     

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  • #3523204
    Le 24 avril à 01:44 par Koussikoussa La Merguez c’est Français, respect mon autorité !
    Macron et le pape ont même patron, mais ce n’est pas Dieu

    Il ne suffit plus de dire qu’Emmanuel Macron incarne la duplicité ; il faut le dire avec la gravité d’un oracle ancien, car l’homme ne fait plus illusion. Sous ses airs compassés, ses envolées lyriques en carton-pâte, se dissimule un cœur d’ambassadeur sans cause, d’argile politique façonnée par les vents de Washington, de Tel-Aviv ou de Bruxelles, selon l’heure et l’auditoire.

    S’il fallait aujourd’hui qu’un beau gosse, s’assoie sur le trône de France, auréolé non de vertu mais de lucidité impitoyable, il proclamerait ceci : la République reconnaît l’État d’Israël comme un État voyou, non par haine, mais par fidélité à la vérité historique, juridique et morale. Ce qui fut jadis l’expression d’un droit à l’existence est devenu l’art de nier celle des autres. La paix y est un mirage cyniquement entretenu, comme une oasis peinte sur le mur d’une cellule.

    Mais la vérité ne se cache pas toujours dans les traités ou les résolutions onusiennes ; parfois, elle prend la forme d’un regard. Celui, par exemple, d’une petite fille palestinienne dans un avion présidentiel. Une enfant aux traits tirés, au silence plus criant que mille bombes, assise non loin de Macron, ce chantre de l’humanisme de façade, ce manager de la compassion calibrée pour la caméra. La scène aurait dû être bouleversante. Elle fut obscène.

    Car que peut bien signifier l’image d’un président posant avec l’enfant d’un peuple meurtri, sinon l’illustration parfaite de l’hypocrisie contemporaine ? Un tableau vivant, peint aux couleurs du cynisme. Le regard de l’enfant, lui, ne jouait pas. Il transperçait le costume, les flashs, les mots creux. Elle était là, spectrale, témoin malgré elle d’un théâtre diplomatique où l’innocence devient un accessoire, une caution, une mise en scène.

    Et Macron, qui se voudrait stratège, n’est qu’un figurant. Un acteur fébrile dans un drame qu’il ne comprend pas, ou qu’il feint de comprendre, parce que comprendre exigerait le courage d’agir. Or, ce courage lui manque. Il a la parole facile mais le geste absent, le verbe haut mais le cœur bas. Il n’est pas même un monstre – il est un vide, un frisson, une hésitation perpétuelle travestie en décision.

     

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  • #3523207

    Terrorisme climatique également.

     

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  • #3523212

    Macron et le pape ont le même maître : Yahvé . Tirez en les conséquences .

     

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  • #3523219

    Quel Dieu ? Celui qui a créé l’univers, les animaux, la nature dans leur beauté et leur perfection, ou bien le Dieu méchant, jaloux, vengeur, génocidaire qui exige qu’on l’adore ?

     

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  • #3523238
    Le 24 avril à 06:12 par inférence.déductive
    Macron et le pape ont même patron, mais ce n’est pas Dieu

    Il est facile de critiquer le pape à l’aune de sa propre sainteté fantasmée.

    Que celui de vous qui est sans péché, jette le premier la pierre.

    Paix à son âme.

     

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  • #3523244

    « Les peuples instruits par la fausse démocratie se tournent vers des tyrans raisonnables, comme Xi, Trump ou Poutine. »
    À ce sjet, rappelons Bernanos qui, dans « La France cotre les robots » écrit : « Mais, je vous le demande aussi, quel régime est plus favorable à l’établissement de la dictature ? Car les Puissances de l’Argent savent utiliser à merveille le suffrage universel, mais cet instrument ressemble aux autres, il s’use à force de servir. En exploitant le suffrage universel, elles le dégradent. L’opposition entre le suffrage universel corrompu et les masses finit par prendre le caractère d’une crise aiguë. Pour se délivrer de l’Argent, ou du moins pour se donner l’illusion de cette délivrance, les masses se choisissent un chef, Marius ou Hitler. Encore ose-t-on à peine écrire ce mot de chef. Le dictateur n’est pas un chef. C’est une émanation, une création des masses. C’est la Masse incarnée, la Masse à son plus haut degré de malfaisance, à son plus haut pouvoir de destruction. Ainsi, le monde ira-t-il, en un rythme toujours accéléré, de la démocratie à la dictature, de la dictature à la démocratie, jusqu’au jour… »

     

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  • #3523279

    Disons que la montée de la conscience collective sera suffisante pour changer la donne, éliminer les élections-pièges, et rebâtir un État souverain.



    Ce à quoi répond rétroactivement LÉNINE :

    « L’objectif immédiat de l’avant-garde consciente du mouvement ouvrier international, c’est-à-dire des partis, groupes et tendances communistes, c’est de savoir amener les larges masses (encore somnolentes, apathiques, routinières, inertes, engourdies, dans la plupart des cas) à cette position nouvelle […] propre à assurer la victoire de l’avant-garde dans la révolution, cet objectif ne peut être atteint sans liquidation du doctrinisme de gauche, sans réfutation décisive et éliimnation complète de ses erreurs. »

    - Lénine, Le gauchisme maladie infantile du communisme, 1920, éd. Kontre Kulture, p.119-120.

     

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  • #3523348
    Le 24 avril à 10:42 par VIVACHAVEZ
    Macron et le pape ont même patron, mais ce n’est pas Dieu

    À moins que ce ne soit déjà fait et que j’ai raté un épisode (toutes mes excuses les plus plates), est-il possible chez E&R de refaire une petite piqûre de rappel sur l’attentat bancaire qui a coûté la fin de carrière de Benoît XVI ? Attentat sans doute « père Pétré » par les « frères » aidés de leur maman organisée, chère à un certain général, pas très en odeur de sainteté auprès de la meute médiatique….

     

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