BFM TV a organisé, à l’instar de France 2 sous l’égide de la macroniste Ernotte, une soirée pro-guerre pour préparer les Français à la mort. Pour se faire, les animateurs de la fiesta bouchère ont exhibé un panel pseudo-représentatif de notre pays, histoire de faire union sacrée.
Soudain, le nationalisme tant vilipendé revient au galop
« Je pense qu’il faut penser à la cohésion que constitue cette menace militaire. C’est-à-dire que tout d’un coup, la France va s’aimer elle-même. Regardez tous ces témoignages de jeunes qui sont au fond disposés à s’engager ! C’est formidable, ça ! C’est quelque chose de tout à fait nouveau ! C’est quelque chose qui n’existait pas, on pensait aux loisirs, aux vacances et aller à l’étranger se dorer la pilule aux Bermudes. Eh ben maintenant tout d’un coup y a un autre objectif qui va nous réunir et qui veut dire on s’achètera moins de pantalons on, on, on, on achera [sic] un seul au lieu d’trois, et euh, on va peut-être dépenser l’argent autrement. Voilà, moi je vois ça de cette manière-là. »
X étant encore sous bug, suite à une grosse attaque, il faut cliquer sur la vieille cinglée pour écouter son discours pro-guerre dicté par l’Élysée.
Ni oubli ni pardon, peut-on déjà lire en substance sous la vidéo qui tourne sur X. Il est probable que cette vieille actrice a été castée pour exalter le sentiment national et envoyer les « jeunes » (qui font la gueule pendant son discours de mobilisation) à la boucherie en Ukraine. Il est même possible, connaissant les manips nudging du Château, qu’elle ait touché une pige pour débagouler ces ignobles conneries.
Dans la même émission, pour équilibrer un peu, le pool BFM-Élysée a quand même injecté une fille intelligente, qui a cité Orwell. Elle a aussitôt été reprise de volée par le général assis à côté d’elle, placé là (exprès) pour faire contre-feu aux ordures pacifistes, c’est-à-dire les lâches qui ne veulent pas crever pour Macron, Leyen, Rothschild et Soros. Quoi ? Qu’est-ce qu’on a dit ?
On écoute le général Boucherie :
« Ce que nous apprend l’histoire, c’est que quand on a été faibles, on est tombés sous la botte de régimes autoritaristes. La liberté, ça se gagne. »
Ah ouais, ducon, on n’est pas sous un régime autoritaire qui veut la guerre, là ? Qui tabasse les Gilets jaunes, qui confine 67 millions de Français pour une grippette trafiquée ? Qui les force à se piquer avec une saloperie ?
Finalement, si tous ces néo-patriotes partaient sur le front russe... Non, rien.