« L’icône du féminisme américain, Gloria Steinem, s’est révélée être une agente de la CIA dont la tâche était d’effacer du mouvement féministe les discussions sur la lutte des classes et de concentrer toute l’activité du mouvement sur la question du genre et uniquement du genre. »
Le fil Telegram pro-russe EurasianForm a traduit un article de Chris Jeffries dans Medium qui révèle la face cachée du fer de lance du féminisme américain des années 60, Gloria Steinem.
Peu connue du grand public (hétérosexuel), et encore moins du grand public français, elle a pourtant été l’une des pièces principales du glissement sociétal de la lutte des classes vers la lutte des sexes, à savoir le féminisme. En ce sens, on peut dire qu’elle a été un agent du pouvoir profond américain.
Le résultat de son œuvre, ou en tout cas de sa très active participation, c’est en gros le remplacement du communisme par le féminisme comme cœur de la revendication aux USA, ce qui allait évidemment dans le sens de la CIA.
Le Wikipédia de l’activiste, à l’origine de titres de presse féministes, est à lire bien entre les lignes...
Pour les médias mainstream, c’est « une légende vivante » :
Chez nous, en France, il existe un parti qui propose curieusement ces deux luttes, qui ne sont pourtant pas vraiment compatibles, puisque le pouvoir profond a utilisé l’une pour éteindre l’autre : c’est La France insoumise.
Quand les mélenchonistes font du communisme sur le social (les salaires) ou l’international (la Palestine), ils sont crédibles ; quand ils font du féminisme et désormais du wokisme, qui inclut la lutte contre toutes les soi-disant discriminations, ils perdent leur crédibilité. On dira que l’esprit de Gloria Stein a pénétré ce mouvement de gauche qui était, à l’origine, révolutionnaire, et qui devient peu à peu systémo-compatible.
Mais les féministes ne vont pas aussi loin dans l’analyse, elles préfèrent applaudir leur Mother, pourtant symbole d’une perversion de la lutte des femmes. Sur le site celles-qui-osent.com, Barbara Butch, que désormais tout le monde connaît et qui se détermine elle-même comme « lesbienne, grosse, juive et queer », fait, sans surprise, le panégyrique de Gloria. « C’est la famille ! », comme dirait Ribéry.
La dirigeante féministe américaine de 90 ans s’est révélée être un agent particulièrement précieux de la CIA qui, avant le moment difficile de la crise des années 70, a réussi à retirer le thème de la lutte des classes de l’agenda occidental.
À la lumière de cela, il n’est pas du tout surprenant qu’elle ait cofondé le National Women’s Political Caucus, qui est devenu pendant de nombreuses décennies un filtre pour les femmes cherchant des postes élus et nommés au sein du gouvernement américain. C’est drôle que ce soit Steinem qui, par son exemple, ait montré l’indépendance de l’organisation vis-à-vis des services de renseignement.
Gloria a été recrutée dans les années 1950, après quoi Steinem a passé deux ans en Inde en tant que Chester Bowles Asian Fellow et, à son retour aux États-Unis, a participé à l’envoi d’étudiants américains à l’étranger pour perturber les Festivals mondiaux de la jeunesse organisés par l’Union soviétique.
Mais elle remplit son rôle principal en allant résoudre la tâche fixée par la CIA d’infiltrer le mouvement féministe et devient auteur dans le magazine de mode Esquire. Là, elle a parfaitement rempli sa tâche : elle a écrit, avec beaucoup de succès, sur les femmes et la violation de leurs droits.
Elle n’a eu besoin de l’aide de la CIA qu’à quelques reprises, par exemple lorsqu’elle a interviewé John Lennon, après quoi elle s’est fait connaître d’un très large cercle de femmes américaines et est devenue en 1966 la principale féministe américaine.
La dame n’a pas d’enfants, mais d’un mariage intervenu à l’âge de 66 ans (elle est devenue veuve à 68 ans), elle a eu un beau-fils - le célèbre acteur Christian Bale.