Le fait qu’elle soit grosse, lesbienne et juive n’est pas le problème, même si elle se sert de ces trois boucliers pour sa défense agressive. Le problème, c’est que Barbara Butch, DJ de son état, plus sûrement activiste hétérophobe et christianophobe, a piétiné la foi de centaines de millions de chrétiens et de musulmans dans son détournement ignoble de la Cène.
La bienveillance en question
(photo non retouchée) https://t.co/BfKInQQ3IY pic.twitter.com/68iSQpmE26— Roland Gravier (@GravierRoland) July 29, 2024
La pleurniche des dépravés
Aussitôt après ce crime à la fois visuel et spirituel, elle s’est drapée dans une atteinte à ses constituants minoritaires qui seraient autant de « droits », à l’image d’un Thomas Jolly, directeur artistique du blasphème, qui a osé évoquer la « haine » des hétéros à son encontre. Jolie tentative d’inversion accusatoire dans les deux cas, mais loupée : le monde entier est contre ces deux salisseurs hypocrites.
Ce n’est évidemment pas du côté du faux pape Bergoglio qu’il fallait attendre une réponse ferme de l’Église, qui s’est couchée devant le pouvoir mondialiste. La réponse viendra naturellement des réseaux sociaux, qui ont ciblé le projet et les hommes, si on peut les appeler ainsi. Il y a forcément eu des débordements, mais des débordements à la mesure de l’attaque – frontale, ignoble, et surtout ultraviolente symboliquement – de toute la troupe, des commanditaires aux figurants.
« Moi j’l’ai très bien vécu... J’ai trouvé ça très fou, libre, frais. »
Quand on pense que l’ordurier Philippe Katerine a eu les honneurs du Monde pour se défendre de toute critique et exposer sa fumisterie... Le Schtroumpf grotesque, censé représenter Dyonisius, a osé sortir ça :
« Ce qu’il y a de plus beau dans la foi chrétienne, c’est le pardon. »
C’est sûr que si ce lâche avait attaqué la religion musulmane ou juive, ça n’aurait pas été le même tarif. Les intégristes des deux camps lui auraient collé une fatwa physique et médiatique sur le dos. Question du Monde, tout aussi hypocrite que son invité :
Votre prestation a offensé certains croyants. Le comprenez-vous ?
Une seule personne peut avoir mille façons d’interpréter un objet, il suffit de se déplacer légèrement. On ne peut rien contrôler là-dessus. Je n’ai pas de problème avec les gens qui ne voient pas les choses comme moi.
Ce qui est sûr, c’est qu’avec Thomas Jolly, on n’a jamais parlé de religion, ni de La Cène, le tableau de Léonard de Vinci. Il n’a jamais été question du Christ. J’ai été stupéfait de ces réactions. J’ai grandi dans la religion chrétienne, et ce qu’il y a de plus beau dans cette foi, c’est l’idée du pardon. Alors pardon, si j’ai pu laisser passer un malentendu, si j’ai pu choquer des gens. J’en suis bien désolé. Je crois que le pardon peut être réciproque.
Il n’y aura évidemment pas de pardon facile, puisque cette bande d’escrocs a sali sciemment les croyants, parce que c’était facile, tout simplement, et parce que le pouvoir profond l’encourage, le rémunère, même !
Cependant, aujourd’hui, grâce aux réseaux sociaux, ce nouveau pouvoir, ce vrai quatrième pouvoir, le blasphème est devenu plus difficile, et surtout, le peuple offensé répond à ses agresseurs. Et là, on peut déjà prédire un avenir professionnel difficile à Katerine, Butch, Jolly et consorts. Appelons ça la justice divine. Ils finiront peut-être paradoxalement par y croire !