Lucie Choffey présente son ouvrage L’Effroyable Imposture du féminisme, publié aux éditions Kontre Kulture.
Lucie Choffey présente son ouvrage L’Effroyable Imposture du féminisme, publié aux éditions Kontre Kulture.
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Elle se bat pour les femmes... au moins sa place de femme dans la société... au fond, ne serait-elle pas féministe ?
Dommage, en effet, que Mme CHOFFEY ne va pas jusqu’au bout de son raisonnement.
Pour les écoles hors-contrat, voici la carte des écoles catholiques de la FSSPX ou écoles amies de la Fraternité : http://laportelatine.org/district/e....
Certaines familles en font le choix courageux, avec parfois non pas 1 ou 2 enfants mais beaucoup plus.
Bon courage à vous, Lucie.
comme quoi le modèle catholique, est le plus naturel, la femme répond à sa vocation de pilier de la famille. Elle le dit elle même , elle ne se sent pas bien et tous ces féministes mettent la tête à l’envers de ces femmes. Je le vois moi même au travail, étant un homme, je constate que même si elles ne le disent pas, elles ne s’épanouissent pas au travail ce qui explique souvent ces crêpages de chignons et têtes malheureuses sans sourire. Voilà où mène 68 et ses affidés, une chimère de plus qui rend la société finalement malade, tu parles d’un progrès.
Parce que toi en tant qu’homme tu t’épanouis au travail ? Le désenchantement du travail ne connait pas la barrière du sexe.
@bad-in
L’homme doit travailler pour subvenir à son foyer, c’est la base... Et effectivement c’est un épanouissement pour personne et surtout pas pour les femmes. Dans un monde où le capitalisme demande des surhommes et des machines.
Bravo Lucie pour ce livre et merci pour cette interview.
On sens que tu as du coeur !
Merci beaucoup pour cet entretien vivifiant
Vous me faites tous bien rire à accuser les femmes de tous les maux de cette société ! Les hommes vous feriez mieux de vous regarder.
Nous sommes nombreuses vouloir un enfant "avant 30 ans" mais cela n’est pas donné à tout le monde de rencontrer un homme un vrai, capable de protéger, dans tous les sens du terme, femme et et enfants. Nombreux sont ceux que j’ai rencontré, complètement dévirilisés, qui me demande mon métier et combien je gagne, dans l’espoir que je leur apporte un meilleur confort de vie. J’ai beaucoup d’amies qui l’ont remarqué aussi, et oui le statut social est maintenant devenu un atout.
Alors, rester à la maison et s’occuper de ses enfants avec amour, oui le concept est plus que séduisant, mais si c’est pour se retrouver sous un pont merci bien. Alors oui, en attendant nous sommes obligées de cravacher, c’est comme ça.
Vous avez le pouvoir et plus de droits que les hommes, et tu attends encore d’un homme qu’il te protège ?
C’est les hommes et tout ce qui est masculin qui est opprimé. Et avec des raisonnements comme le tien, tjs à vouloir gratter qqchose, ben les situations s’aggravent.
Quelle mauvaise foi ou cerveau déficient !
Arrête de nous prendre pour des cons.
Demande aux types qui font un métier manuel leur succès auprès des femmes.Et pourtant ces types sont virils.Demande ensuite à ceux qui sont dans la banque et la pub,bref ceux qui sont réellement dévirilisés.Mais ha !leurs boulots d’empoisonneurs gagnent bien,c’est vrai....Pas mal d’essayer de faire une accusation inversée,genre ce serait les hommes qui chercheraient le confort matériel avec les femmes,mais ça ne marche pas.
Bravo ! vous démontrez que la dévirilisation de l’homme touche également la femme.
@Nom
Attends c’est pas la pire de toutes, y a la Vilaine plus haut qui fait sa crise d’hystérie
Je veux répondre ici à lullabie comme aux hommes.
Étant une femme, j’ai pu constater que CERTAINS hommes mettent effectivement la pression à leurs compagnes par rapport au boulot. Une de mes cousines est tombée sur un gars qui gagnait très bien sa vie, mais qui n’a pas payé une seule couche, pas changé une seule couche, pas fait prendre le bain à son bébé... Bref. En congé maternité, elle a été obligée de demander de l’aide financière à ma mère, sa tante, en attendant d’avoir les moyens de lui rendre. Aux repas de famille, il lui faisait des remarques du type "ouais enfin, si tu pouvais travailler, on s’en sortirai mieux". Il gagnait assez pour se payer un blouson à 1000 balles, des jeux vidéos, des virées avec ses potes (je le croisais, je peux témoigner) mais pour ses enfants... Ouais, non, pas le temps.
Comme vous vous en doutez, malgré huit ans de vie commune, ce couple a éclaté.
Donc oui, il y a des salauds, force nous est de le reconnaître.
Après, personnellement, je suis tombée sur un amour. Déjà avant qu’on soit ensemble, il voulait assumer sa famille, devenir un bon père, avoir une épouse qui prenne soin de ses enfants, quitte à ce qu’il travaille d’arrache-pied et que sa femme soit au foyer. A dire vrai, c’est son rêve. Il est tombé sur moi, qui ne rêve que d’élever mes enfants, les allaiter, les éduquer, les lancer sur le chemin de la vie. Comme l’a très bien décrit Lucie, que je remercie au passage, j’ai toujours eu honte de ce rêve. Chaque fois que je disais que je voulais des enfants jeune, que je voulais construire ma vie jeune, que je voulais éduquer mes enfants le plus longtemps possible, revenait cette question "Avec quel argent ? Quels diplômes ?".
Ma mère, mes cousines, mes amies, TOUTES me l’ont dit.
Comme si j’étais assez sotte pour me faire faire un bébé par le premier inconnu, alors que je cherchais du travail, qu’à l’époque, j’étais chez mes parents et que je n’avais pas connu d’homme qui me corresponde jusque là.
Et quand j’en ai reparlé avec les mêmes après avoir trouvé mon homme, qu’on ait commencé nos projets de vie, etc... Qu’est-ce que j’ai entendu ?
"Va pas t’enfermer toute seule, c’est dur, d’être toute seule" = Je m’en fous, je suis avec ceux que j’aime.
"Si jamais vous n’êtes plus ensemble, tu ne pourras pas t’assumer" = Je l’ai pas choisi pour casser. On compte mutuellement se garder.
Bref, tout un tas de bêtises...
Donc pour moi, c’est un problème de SOCIÉTÉ, pas d’hommes ou de femmes.
Amicalement
@lulabie et @sky25
Donc, conclusion : bien choisir son mari, si on veut éviter de se retrouver avec un crapaud après avoir épousé un prince charmant ! Tout le problème est là, bien des hommes (la majorité ?) de nos jours, sont des grands ados attardés, n’ont aucune maturité affective et sont incapables d’assumer leurs responsabilités. On est très loin de l’homme viril, protecteur, courageux et responsable des années 50-60 ! Évidemment, avec les goujats qui nous restent à notre époque, (mais, à qui la faute ? je crois bien que nous y sommes pour quelque chose, ma foi, pas le temps de développer ici...) on prend ses précautions pour ne pas se retrouver à la rue... ! Mais là, c’est le problème de notre société actuelle totalement déshumanisée !
@lullabie et @ Sky25
Je vais quand même essayer de résumer un peu ce que je n’ai pas voulu développer ci-dessus.
La pseudo libération de la femme des années 60, n’était en fait qu’un leurre et, au contraire, le début de notre esclavage ! Et, attention, là ça va hurler du côté des femmes ! mais j’assume complètement... ! Le commencement de tout ce désastre a été l’avènement de la pilule et, de conséquent, l’IVG. Dans les années 50, il y avait deux sortes de femmes : celles qui veulent bien et celles qu’on épouse... À partir de la pilule, on peut dire, en quelque sorte, que le "marché" s’est ouvert... (pour faire simple) et, les autres, celles qu’on épouse, on du s’y mettre aussi pour ne pas rester seules, en gros... Les hommes ont commencé alors à se déresponsabiliser, évidemment, il y avait la pilule et ensuite l’IVG, donc c’était le plaisir sans contrainte et responsabilité, et les partenaires se sont multipliés... Ensuite, les femmes dans une sorte de "vengeance" ont commencé à s’affranchir des hommes, en faisant carrière, une manière comme une autre de leur faire comprendre qu’on n’avait plus besoin d’eux... Notre comportement est devenu hautain et arrogant vis-à-vis d’eux, ce qui a contribué à leur lente castration... Et voilà l’impasse actuelle ! Nous sommes définitivement fâchés ! Ouf, en gros hein... Discours complètement obsolète ? Mais non, mes chères, juste en avance, juste en avance... sinon, cela ne vous ferait pas hurler... !
@ Marie59
Bien sûr que c’est important de bien choisir son homme ! Comment voulez-vous construire une relation stable et durable si vous ne choisissez pas le bon XD ???
J’ai refusé tout homme avant mes 20ans, j’en ai 23 et je suis toujours avec le même XD. Et on a commencé à construire NOTRE vie ENSEMBLE. Mais oui, il faut trouver quelqu’un sur la même longueur d’ondes. Sinon... Ben ça foire, c’est bien normal XD.
En ce qui concerne les ados attardés, je suis d’accord que malheureusement, cette société crée de plus en plus d’hommes asservis à la consommation... Exemple de l’ex-conjoint de ma cousine précédemment cité ;).
Cela dit, non seulement il n’est pas impossible de trouver des personnes compatibles mais quand bien même ce serait un ado attardé, une femme, dans un couple stable, se doit aussi de savoir imposer des limites à son homme. Ca ne veut pas dire le museler, ça veut dire utiliser sa douceur féminine pour convaincre son homme de calmer ses ardeurs masculines, quand elles sont en excès.
Pourquoi la douceur ? Parce que le conflit perpétuel (dans lequel la société nous place) est néfaste à notre rôle de femme. Les hommes sont plus forts que nous (physiquement parlant). Le conflit, la brutalité, ça fait partie de leur terrain. En utilisant notre douceur féminine, et pas en nous opposant en hurlant contre eux, on peut obtenir énormément de choses d’un homme.
Un vrai couple, qui plus est, c’est savoir faire de la place à l’autre là où avant, il n’y avait que Soi. Si l’homme sur lequel vous jetez votre dévolu n’est visiblement pas capable de ça, renoncez. Ce n’est pas le bon. Quand bien même ça le serait, le problème serait à prendre à la racine, et la racine c’est l’éducation mortifère qui règne en maître aujourd’hui.
Encore une fois, ce sont les élites qui sont à blâmer et ce qu’elles font de la société. Pas les hommes, pas les femmes (du quotidien, s’entend).
Mais je comprends votre point de vue. Il soulève une grande partie du problème actuel : la dévalorisation des rôles sexués.
Etre un homme, être une femme, c’est maintenant une tare.
Encore désolée pour cet énorme commentaire, j’ai voulu répondre simplement mais le problème est large XD.
Amicalement
Nombreux sont ceux que j’ai rencontrés, complètement dévirilisés, qui me demandent mon métier et combien je gagne, dans l’espoir que je leur apporte un meilleur confort de vie. J’ai beaucoup d’amies qui l’ont remarqué aussi, et oui le statut social est maintenant devenu un atout.
Non mais à qui la faute ???? En plus elle ose s’en plaindre !!
J’ai envie de réécrire votre discours, mais à ma manière :
"Nombreuses sont celles que j’ai rencontrées, complètement fanatisées, victimaires déféminisées, qui me demandent (d’entrée) mon métier et combien je gagne, dans l’espoir que je leur apporte un meilleur confort de vie. J’ai beaucoup d’amis qui l’ont remarqué aussi, et oui le statut social est maintenant devenu un atout pour être « aimé » des femmes."
Combien d’hommes ne croient plus du tout en l’amour à cause de vous/de ça ??? Combien d’enfants garçons sacrifiés dès l’école qui ont compris que la vie ne serait qu’une punition de l’homme par la femme, qu’il n’y a que des coups à prendre de votre part et rien d’autre, mais que faut ramener du pognon et la fermer, que se défendre serait de la misogynie (bien sûr, hein ?), qu’ils comprendront plus tard, et que personne ne s’oppose à cette vision hyperculpabilisatrice, alors que ces enfants n’ont rien demandé - quel courage - ? Combien d’hommes devenus adultes jeunes, hyper malheureux, trompant leur ennui devant les jeux vidéos pour éviter de sombrer dans l’addiction au porno - là je ne parle pas pour moi, j’ai une sainte horreur de ça ? Ou éviter de se révolter car révolte = SDF ? Ils ont compris c’est sûr... Bien fait pour leur gueule ! D’ailleurs je trouve le passage sur l’école féminisée de Lucie Choffey un peu léger. Mais il est possible qu’elle développe plus dans son livre. Enfin j’espère.
Hommes d’aujourd’hui, sans coeur et sans âme, parce que femmes et éducation sans coeur et sans âme...
Ce genre de "message", j’ai pu en bouffer jusqu’à l’écoeurement.
Hervé
@Sky25
Je vous félicite, malgré votre jeune âge vous avez déjà compris bien des choses ! Ce qui est rare de nos jours. Vous avez bien compris que c’est la femme qui fait l’homme ! C’est notre regard valorisant sur lui qui le rendra courageux, il fera tout pour nous plaire, pour mériter cette admiration... Ah, le bon vieux temps des chevaliers... !
Juste une petite remarque : vous êtes un jeune couple et n’avez pas encore assez de recul, mais, vu vos dispositions, votre couple tiendra certainement.
Amicalement et tous mes vœux de bonheur pour cette longue et belle aventure qu’est le mariage !
« Ce genre de "message", j’ai pu en bouffer jusqu’à l’écoeurement. »
Moi, ce qui m’écoeure, ce sont les discours du type "une femme qui n’a pas eu d’enfant avant 30 ans est une dévergondée qui boit, qui fume etc..." On nage en plein délire. Ce que vous ne comprenez pas, c’est qu’il s’agit d’un problème de SOCIETE. Maintenant vous pouvez vous complaire là-dedans, et jeter la pierre aux femmes,si ça vous rassure, mais je crains que ça ne fasse pas avancer le débat.
@sky25 @marie59 Merci pour vos messages mesurés et réfléchis, ça fait du bien !
Non non, je ne comprends pas. Je dois être bête.
Jamais de ma vie je n’ai tenu de tels propos envers qui que ce soit. Et surtout pas sur la gente féminine. J’ai une soeur qui a 35 ans, n’est toujours pas mariée. Et pourtant elle n’a jamais fumé ni bu ni ne s’est droguée...à
Et quand un homme n’est pas marié au delà de 30 ans, c’est qu’il est PD. Ca existe aussi pour nous. Désolé. On n’est pas responsable de la connerie très primaire de certains...
Hervé
Je vois déjà ceux qui les actionnaires qui ont peur de perdre un sou de leurs fortune colossale lui porter le nom de femme antisioniste, antisémite et depuis peu en dessous des manifs 2013 contre le mariage pour tous d’islamophobe....
....Les blancs de souche n’ont qu’à bien se tenir car ils auront aussi le racisme de certains gens bien pensants, basanés par le soleil des montagnes Françaises...
Dans son intervention naive et sincèrement instruit de livre, loin de moi qui ne lit une lettre, je la trouve remarquablement réconfortante et jolie...
L’école Française controlé par l’Allemagne qui voulait rendre les français stupide va surement se présenter avec un savoir innocent et pertinent de qualité...
On mettra les jeunes filles de 12 ans en procès car l’enseignement de professeurs blancs et basanés des quartier ZEP est trop soutenu par le décalage des députés représentants des villes ....
—en passant, ceci me fait penser à un cour métrage Américain où une jeune fille de 12 ans en scène subit le devoir de son professeur qui avait demander de faire une rédaction sur ses vacances....
Mais voilà la jeune fille passe son temps sur internet pour étudier le cas du 11 Septembre....
Un pavé de 1 cm est rendu au prof qui constate dans ses écrits la responsabilité sans faille du gouvernent USA sur la catastrophe du 11 septembre...
Le père qui a perdu sa femme dans les tours est convoqué par le proviseur soucieux de savoir comment une fille peut rendre un travail qui accuse son pays sur la tragédie....Le père doit s’excuser sinon de voir sa fille en procès et exclu de l’école...
Heureusement que cette jeune fille de 12 ans qui veut son père sans larme étouffe les accusations sur son gouvernement....
Son père est trop meurtri par la perte de sa femme et une fille en prison n’arrange les choses—
Pas d’enfants à mon age je peux voir le coté instinct paternel ; j’ai un eu à faire à une fille qui élève ses enfants seule sans homme...
un dégat avancé quand le père n’est pas là...
Loin de jouer le père car jamais là j’ai vu malgré moi ces filles grandir...Et un jour un père revenir voir sa fille...Mon coeur est tombée et j’ai compris que je m’étais sans ètre là vraiment attaché à ces demi soeur...J’ai coupé tout lien, 3 où 5 and car trop chavirer d’émotion...
Une qualité que les femmes ont c’est de porter fort le courage d’élever ses filles quand le père à fuit..
Bonjour,
On voit que Mme Choffey est encore en plein cheminement et questionnement avec des hésitations ou un air parfois mal assuré, cependant, elle a eu le courage et le cran de lutter contre son propre conditionnement et la pression qu’elle ressentait autour d’elle pour accéder à ses propres envies et suivre sa propre voie. Ce sont les gens comme ça qui méritent l’admiration.
La seule réserve que j’y vois est le biais de généralisation. On peut aimer les études, choisir d’en faire, par intérêt intellectuel et non pour obtenir un bon travail ou une reconnaissance sociale quelconque. On peut également aimer s’engager, dans un travail, une association, une cause... qui ne rapportera peut-être pas beaucoup d’argent d’ailleurs, mais qu’on trouve important, et ce, tout en aimant sincèrement son mari et ses enfants. Le risque ne serait-il pas, dans ce cas, de basculer d’une idéologie où on "oblige" socialement et économiquement les femmes à travailler à une autre obligation, celle de rester à la maison, sous prétexte d’être taxée de "mauvaise" maman ? En conclusion, et en généralisant le propos, le but est-il de se battre pour laisser les gens faire ce qu’ils veulent (en respectant les lois communes, évidemment) en fonction de leur sensibilité et envie ou de toujours faire peser sur les gens une pression, mais qu’on considérerait être "la moins mauvaise" ? Ceci est une vraie question que je me pose...
Vous résumez bien ce que je ressens avec la parution de ce livre, premier ouvrage d’une parfaite inconnue qui a fait un choix personnel que l’on ici tendance à vouloir présenter comme norme naturelle à suivre : une femme est avant tout une mère, pourquoi le nier ? Aussi, faire des enfants et retourner à la maison est un exemple à méditer sérieusement, loin de l’image d’une femme indépendante - donc dénaturée - propagée par un féminisme délétère, et qui s’inscrit en porte à faux avec... les ""valeurs"" patriarcales.
On réduit ici la femme à son aspect strictement biologique : pourquoi perdre son temps à faire des études alors que l’épanouissement vient de la maternité ? Même discours que celui de l’après-guerre (1939-45) en faveur de la maternité qui cantonne les femmes de la sphère privée. Le choix tout personnel de cette jeune femme lambda présenté ici est encouragé, il n’est plus question de choix, et c’est ce qui me gène profondément. Peut-être une réaction extrême, donc sans grande crédibilité, au pourrissement de notre société ? Cela dit, on n’est pas pour autant obligé de sombrer dans un cadre réducteur assez phallocrate qui s’oriente à magnifier un exemple subjectif. Maladroit.
Oui, on peut choisir de faire des études à n’en pas finir, dans un système universitaire crasseux, proche de la débilité, ou règnent l’arrivisme, les réseaux, et connections louches.
On peut aussi choisir de faire autre chose, d’améliorer ce système, ou d’en sortir.
Tu sembles donc apprécier les études et ce système.
Le but n’est surtout pas de se battre pour laisser faire les gens ce qu’ils veulent, c’est déjà trop le cas aujourd’hui avec un individualisme maladif, mais de mettre en place un système alternatif, ou les meilleurs et plus altruistes seraient l’élite, et non pas les plus crétins et arrivistes comme aujourd’hui.
et on lit dans la réaction de llolaine l’exemple parfait de l’individualiste moderne accroe aux études, au bla-bla, avec les adjectifs classiques tels que phallocrates, et tt le verbiage vicelard pour garder ses privilèges de dominante jouisseuse individualiste.
Mais pourquoi on parle de "réduction au rôle de mère" ? Tain mais la Vilaine t’as pas l’impression de dire de la merde. ?
Un peu de respect pour ta mère sans laquelle tu ne serait pas ici à dire des anneries sur ce site.
Question à la Vilaine : as tu déjà été mère ou enceinte ?
Hommesvictimes.org.... Contentez vous d’être victime :) Vous n’avez vraisemblablement rien compris au commentaire de cette personne. Votre réponse agressive apporte bien moins que sa réponse qui pose son avis calmement. Personne ne vous oblige à être d’accord, mais un forum est un lieu d’échange ou il est nécessaire de respecter chaque avis, même contraire au sien.
En tant que femme, et bien que ça ait visiblement déjà été fait, je réagis à ce qu’a dit Ilolaine.
Pourquoi le rôle de mère est-il si "réduit" à vos yeux ?
C’est exactement ce que cette jeune femme lambda (sa vision aurait-elle eu plus de valeur à vos yeux si elle était major d’une promotion de doctorants en anthropologie ?) démontre.
Peut-être devriez-vous la lire ?
De plus, si vous voyez comme une contrainte le fait d’élever vos enfants, comme un risque du retour de "l’ignoble patriarcat", posez-vous cette simple question...
L’obligation, de nos jours, est-elle de travailler ou d’être femme au foyer ?
Ce que l’on prône aujourd’hui, c’est l’esclavagisme passif des hommes et des femmes, par toutes sortes de biais (la télévision, les divertissements, la consommation, etc...). Sachant la logique que suit ce monde, étant donné qu’ils nous commandent de travailler à la chaîne, ne serait-il pas raisonnable d’envisager le fait que faire le contraire de ce qu’ils exigent est un acte sensé ?
De plus, si vous aviez été enceinte ou maman ne serait-ce qu’une fois dans votre vie, vous auriez perçu que c’est effectivement la chose la plus naturelle au monde. Si vous l’avez été et que vous ne l’avez pas ressenti, c’est que vous êtes complètement dissociée de vous-même, de votre âme. Mais qui croit encore à ces choses-là, de nos jours, hein ?
Nos oligarques ont quand même un but bien précis : faire une société corvéable à merci par le biais d’une individualisation forcenée. Si vous ne ressentez pas la Nature vous appeler à être mère, c’est que vous leur appartenez déjà, faisant passer vos pulsions et votre égo avant votre âme.
J’ai envie de prier pour vous, mais je ne suis pas sûre que vous ne le prendriez pas comme une insulte.
Amicalement.
Je partage tout à fait son point de vu.
Le monde d’aujourd’hui est devenu bien trop dangereux pour mettre de coté l’éducation de ses propres enfants.
La société telle que nous la vivons est paradoxale.
Elle favorise les dangers extérieurs en ne faisant rien pour les limiter et lorsque les enfants tombent dedans les parents sont tout de suite montrés du doigt. Sauf que les deux bossent.
Prenons comme seul exemple la facilité déconcertante à se procurer du cannabis ou d’accéder à du contenu pornographique sur internet.
Il n’y a absolument aucune honte aujourd’hui à prendre du temps pour s’occuper de son bébé et c’est même vivement recommandé pour sa propre protection vis à vis d’une société qui ne présente quasiment plus de morale. La seule limite aujourd’hui c’est le fric et tout le monde le sait. Les principes moraux ne sont plus que des écrans de fumées.
Le regard des autres on s’en fou ! C’est ça être libre.
Vivez pour vous non pas pour les autres, écoutez votre cœur, soyez juste et bien sûr protégez vos enfants.
Je suis d’accord avec vous, il vaut bien mieux qu’une mère soit proche de son enfant, sinon, il sera faible plus tard, n’ayant pas reçu assez d’amour. Sans parler qu’éduqué par une nounou, il sera peut être violé par une personne environnante (c’est arrivé à un de mes neveux), et intoxiqué par le système éducatif pourri, sans que la mère soit présente pour inverser la tendance, etc. La mère doit servir de rempart face aux conditionnements erronés de la société, porno, athéisme, rap, valeurs US, etc etc.
Par contre, il faut laisser le choix aux femmes de pouvoir travailler, car elles peuvent vouloir être célibataires et sans enfant ! C’est un droit.
N’oubliez pas que les femmes se sont aussi défendues parce que les hommes les considéraient de plus en plus comme des objets manipulables, l’intoxication féministo-libérale du système n’a pas eu prise par hasard, mais parce que les hommes déraillaient aussi, et franchement, quand je lis toutes les aberrations qu’on peut lire ci-dessus, dans ce fil, si j’étais une femme et que j’avais des gars immatures, durs et égoistes en face de moi, je préfèrerais le célibat sans enfant.
Mère au foyer, je suis pour, mais dans ce cas, il faut que les hommes assurent et ne soient pas des gamins égoïstes et machos par simple frime primaire, car la virilité n’est pas physique, mais d’abord relative à la force mentale et à la maturité spirituelle. Si la maturité est absente, et que les hommes craquent devant des bagnoles, ou devant le sexe comme des lavettes, en trompant leur femme, en collectionnant les aventures, etc etc, alors le féminisme hystérique reviendra systématiquement, faut pas se faire d’illusion.
Il faut pourtant se faire une raison. Les pays ou les féministes ont le plus réussi (par exemple les pays scandinaves) offrent le plus d’outils aux mères qui souhaitent travailler. il y parait tout a fait normal que les travailleurs, hommes ou femmes, finissent tot afin de s’en occuper de sa famille.
Enfin, le fait pour une femme de ne pas travailler doit rester un choix, mais étant pour la pleine responsabilité, c’est un choix qu’elle se doit alors d’assumer.
Si Lucie, ou une autre, ne veut pas travailler, très bien. Elle dit d’ailleurs que ses absences lui coutaient en frais de nourrices.
Mais dans ce cas, qu’elle accepte de renoncer à ses vacances, son iPhone et sa télé 3D. Car lorsqu’elle demande un salaire pour faire ce qu’elle veut, elle ne demande rien d’autre que la subvention pour la collectivité d’un choix individuel
Alain Soral l’a déjà évoqué. Chaque fois que les femmes s’ "intégrent" dans un domaine, ce dernier se pourri.
Cet article lui donne raison au vu des réactions épidermiques de certaines
Je ne pense pas que ce soit spécifiquement la faute des femmes : on les fait entrer dans certains domaines et on parle en leur nom, mais ce n’est pas une volonté féminine.
Toutes les femmes de mon entourage m’ont reproché de vouloir construire ma vie et ma famille jeune, mais elles veulent toutes aussi rester le plus longtemps possible auprès de leurs enfants...
A la base, je pense que cette idéologie était tout sauf féministe (c’est encore le cas).
Seulement, il y a quelque chose qui marche mieux sur les femmes que sur les hommes : la pression sociale.
En inculquant dès le plus jeune âge aux futures femmes qu’elles doivent être si ou ça et qu’elles seront mal perçues si ce n’est pas le cas, on les pousse à entrer dans des domaines auxquels elles n’auraient pas forcément pensé naturellement et après, on dit que c’est ce qu’elles veulent, qu’elles ont toujours voulu et qu’il faut donc ouvrir des voies...
Moi, par exemple, la directrice adjointe de mon collège m’a clairement dit que je devais être ingénieure, j’en avais les qualités, il fallait pas que je perde mon temps à autre chose, blablabla. Et elle s’est arrangé pour me faire passer dans un lycée scientifique (et technique) dans lequel, loin de m’épanouir, je me suis résorbée XD !!!
On nous pousse là où on ne veut pas forcément aller parce que soi-disant, c’est bien (pour QUI, on ne sait pas XD).
J’ai crû perdre la raison, dans cet univers hostile et masculin dans lequel on m’avait projeté... Le lycée se débrouillant pour empêcher les bons dossiers de sortir de l’établissement, j’ai dû baisser toutes mes notes et renoncer à mon bac S, tant ce n’était pas ce que je voulais faire (je voulais quand même passer un BAC S pour avoir la médecine comme deuxième plan de vie, le premier étant le droit, milieu nauséabond au possible ^^).
Donc je ne suis pas sûre que ce soit le fait des femmes, ni même qu’elles veuillent s’intégrer, sauf quand elles sont encore jeunes ou qu’elles se confortent dans les mensonges du système ^^.
Désolée pour cet exposé un peu long mais je n’aime pas la généralisation ;).
Très amicalement
Seulement, il y a quelque chose qui marche mieux sur les femmes que sur les hommes : la pression sociale.
Effectivement, ceci est un constat juste... La vraie question serait de savoir pourquoi... ?
Je crois, d’une part, que les femmes ont plus de mal à affronter le regard réprobateur des autres.
D’autre part, je crois aussi que les femmes se soumettent plus naturellement à une idéologie dominante quelle qu’elle soit...
Mon parcours personnel ressemble beaucoup a celui de Lucie Choffey, bien que je n’aie pas écrit de livres.
J’ai lu avec intérêt tous les commentaires, et j’en tire la conclusion que, parmi les problèmes de notre société, le rôle de la femme et de l’ homme en est un des plus graves. Les affrontements entre les uns et les autres en est une conséquence.
Je constate que la plupart de femmes voudraient élever ses enfants, mais la pression sociale est si forte qu’elles y renoncent délégant l’éducation de leur descendance à l’état. Cela arrange l’oligarchie qui, depuis plusieurs générations s’acharne à déviriliser les garçons via l’école, centres de loisirs, colos, et maintenant les nouvelles activités périscolaires.
Question : et si la vraie révolte venait des femmes, en refusant de se séparer de leurs bébés ?
Pas facile, sachant que le congé parental vient d’être réduit de moitié, mais, peut être en faisant l’effort de renoncer à certains biens de consommation superflue cela pourrait se faire.
Cela pourrait aider à la "revirilisation" de l’homme grâce à la reconnaissance professionnelle.
Pensons-y.