On ne va pas y aller par quatre chemins : le pire de la Hollandie ou du faux socialisme soutient désormais Raphaël Glucksmann, tête de liste d’un amalgame entre Place publique et les restes du PS, moins la tendance hamoniste (ce qu’on est obligé d’écrire, tout de même) appelée Génération.s. Pourquoi « le pire » ? Car sous la Ve République, jamais un pouvoir visible n’était tombé aussi bas en terme de popularité : avec 4% de cote d’amour à la fin de son mandat, Hollande a été oublié dès le lendemain de la passation de pouvoir à Emmanuel Macron, le choix du pouvoir profond.
Sachant que la liste de Glux aura du mal à dépasser les 5%, qu’est-ce qui pousse les Hollande, Taubira, Hidalgo et autres Belkacem à aller soutenir un perdant ? Leur sionisme serait-il plus fort que leur socialisme ? La soumission plus forte que la raison ?
On pose cette question car on se la pose aussi. Normalement, les hommes politiques sont avares de leur soutien, surtout s’il s’agit d’aller prendre une gifle. Tout soutien est toujours très calculé, pesé, dealé. Or là, le petit Glux va dans le mur – il est absolument impopulaire et apparaît comme le « fils de » pistonné d’un hiérarque sioniste qui n’aimait pas la France, comme BHL ou Finkielkraut –, le soutien des éléphants a donc un sens supérieur. On a l’impression que les autorités du CRIF – qui représente les intérêts du pouvoir profond – exigent de la part de ces hommes politiques une « solidarité » dans la défaite annoncée. Pourtant, chacun sait qu’être soutenu par Hollande équivaut à augmenter ses chances de défaite.
Taubira est elle aussi tellement impopulaire – sauf à gauche, il est vrai, et chez les acheteurs d’enfants – qu’elle ne se risque pas à se balader dans les rues de la métropole. Ses dernières sorties en tant que ministre de la Justice ne se faisaient pas sans une trentaine de gardes du corps... et sous les hurlements du public. Quant à la petite dernière, la Vallaud-Belkacem, la trace qu’elle a laissée dans l’école publique avec ses délires de « genre » lui interdisent à jamais une carrière nationale.
« Je me félicite que la social-démocratie, qui partout en Europe a vu la mort de très près, commence enfin à se rénover. Le chemin sera long mais l’espoir renaît. »
Najat Vallaud-Belkacem, autrefois très proche de Manuel Valls, lui aussi en délicatesse avec le peuple français, a donc profité d’un meeting parisien pour saluer les efforts de Glux qui « essaye de reconstruire l’unité de la gauche ». Sur une base sioniste, ça va être dur, puisque c’est le sionisme qui a détruit la gauche française, et qui a fait couler le socialisme. Même chose à droite : la droite gaulliste a peu à peu été envahie par les sionistes qui ont fini par la dénationaliser.
Écoutons les salades du calamiteux ex-ministre de l’Éducation nationale :
« Le moment est difficile et il n’est pas sans risque, mais il est aussi plein d’espérance... Nous prenons enfin la pleine mesure de l’urgence écologique et nous avons décidé d’en faire [...] le cadre intellectuel, moral et politique dans lequel nous voulons réinventer notre combat contre les inégalités et pour la justice sociale et redéfinir un humanisme de notre temps. »
On dirait un robot cracheur de mots creux. Pour ce qui est du « combat contre les inégalités et pour la justice sociale », on a vu le tandem Hollande-Belkacem à l’œuvre, inutile de revenir sur ce pseudo-socialisme vendu au capital et aux forces étrangères. Mais le trio Hollande-Taubira-Belkacem n’est pas seul à soutenir le sioniste Glucksmann, Cazeneuve (en service commandé ?) s’y est mis à son tour, ainsi que Martine Aubry.
Allez hop, tous les socialistes aux ordres du CRIF, au boulot, au soutien de l’impopulaire petit Glucksmann, c’est votre charge, c’est votre pénitence d’hommes politiques subordonnés !
En politique, pour savoir qui est qui et qui domine qui, il suffit d’attendre, les masques tombent tout seuls, comme les feuilles en automne. Et nous sommes en plein automne du socialisme, pardon, du socialo-sionisme français.
Profitons-en pour rappeler que Mitterrand ne voulait pas, lui, assister au dîner annuel du CRIF.
« Pourtant le président de la République refuse de se rendre au CRIF, considérant que ce n’est pas sa place. Car même si on y parle essentiellement politique, François Mitterrand y voit une entorse au principe de laïcité, le CRIF est tout de même une institution dont la dimension religieuse n’est pas absente. Il considère également qu’en charge de la diplomatie française, il se doit d’être neutre. Un an après le dîner du CRIF qu’il a refusé, François Mitterrand recevra Yasser Arafat à l’Élysée. Une visite condamnée par le CRIF qui voit uniquement dans le dirigeant de l’OLP un terroriste. » (Source : francetvinfo)
La dernière apparition médiatique de Belkacem
devant le micro très complaisant d’Ali Baddou
« J’ai pris du champ, c’est vrai que je m’exprime pas aussi régulièrement qu’auparavant, mais ça fait beaucoup de bien et je crois surtout que c’est très utile à la réflexion »
Traduction : j’ai pris une branlée (à Villeurbanne face au candidat LREM Bonnell), je n’ai pas grand-chose à dire et ça fait du bien aux Français de ne plus entendre mes salades sur la théorie du genre à l’école.