Ce petit extrait de discours dans une université israélienne en 2022 résonne avec l’actualité. La maquerelle de Bruxelles déguisée en Grand Maître a en quelque sorte avoué son crime. On comprend mieux aujourd’hui le rapport entre son éloge du Talmud, qui représente pourtant l’inverse des valeurs grecques et chrétiennes, donc européennes, et sa politique délétère, voire, délirante.
On commence par sa volte-face sur la guerre trumpienne contre la mondialisation et le mondialisme.
4 petits jours séparent ces deux déclarations. pic.twitter.com/Ev4xQ9nznO
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) April 8, 2025
L’UE est au bout du rouleau : elle s’est fait piquer 132 milliards par l’alliance des globalistes américains et des oligarques ukrainiens, après s’être fait piquer 71 milliards par l’alliance des mêmes globalistes américains et du Big Pharma, majoritairement américain.
Von der Leyen : « L'Europe,
ce sont les valeurs du Talmud »L’aveu est frontal, fini les racines grecques ou chrétiennes : place au Talmud comme boussole morale du continent. pic.twitter.com/ILsoF6SpXc
— Camille Moscow (@camille_moscow) April 8, 2025
Tout le monde ne semble pas d’accord avec l’employée du Diable, par exemple les cathos intégristes, ou, devrait-on dire, les cathos tout court. Ils ont l’avantage de la cohérence et de la pensée durable. Eux n’ont pas changé d’un iota depuis 2 000 ans, et encore moins depuis 1789, 1905 ou 1962, trois dates historiques dans la déconstruction de l’Église par le pouvoir profond.
« Le Talmud démasqué – Les Chrétiens dans le Talmud des Juifs, ou les doctrines rabbiniques secrètes sur les chrétiens » (1892)
✑ Rev. Justinas Bonaventure Pranaitis (1861-1917), de l’Académie Impériale Écclésiastique de Saint-Pétersbourg.
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Si certains trouvent que la Renaissance française avec l’expression « complot satanique » y va un peu fort, il faut juste remettre en perspective les termes dans leur contexte historique. Le Diable d’hier n’est plus exactement celui d’aujourd’hui. Mais ce n’est peut-être qu’un changement d’habit...
Par exemple, le Diable tentateur du Christ dans le désert, vers l’an 20 ou 30, c’est celui qui propose à Jésus le monde, le pouvoir dans ce monde, comprendre en substance : « T’es un gars doué, si tu entres dans le Système tu auras de l’or et des femmes. » Jésus renonce, devient le Christ qui prône l’amour universel plutôt que les magouilles tribales, et finit buté à la JFK par l’élite juive de l’époque.
Le Diable de 1789, ce sont évidemment les loges maçonniques anglaises qui veulent détruire leur grand ennemi, la royauté française. Elles y arriveront, avec la complicité de la bourgeoisie d’affaires qui deviendra (ou qui était déjà) anticatho, on le voit aujourd’hui dans le cinéma, cette machine à ridiculiser nos croyances et traditions. Certes, ces dernières ne sont pas toujours à la page, mais les phrases des Évangiles, pour qui sait lire entre les lignes, ont conservé toute leur puissance explosive.
Le Diable de 1905, c’est évidemment la république – avec un petit « r », vous noterez –, celle de la gauche que fusille, pardon, fustige Moreau dans ses bouquins. Cette théorie a l’avantage d’être durable et de réunifier les aléas de la politique française depuis 250 ans sur un axe majeur.
Le Diable de 1962, ce sont les évêques allemands bien défroqués, bien protestantisés, bien sionisés, qui ont fait payer à l’Église sa frilosité pendant la Deuxième Guerre mondiale, quand les juifs étaient persécutés. À l’époque, on pensait qu’il s’agissait d’un châtiment biblique pour les assassins du Christ. Pie 12 et les nazis, un débat sans fin qui permet au lobby sioniste international de bien culpabiliser les catholiques, de bien enfoncer la tête du pape dans la mer Morte, de le mettre à genoux devant Yad Vashem et de lui faire baiser les pieds du Mossad.
Enfin, le Diable de 1968, qui n’est pas dans la liste, ou qui est encore trop frais, c’est celui de l’américanisme triomphant, de la consommation de masse, de l’idéologie du désir, de la destruction des collectifs et de l’émergence de l’individu, de son moi et de son immaturité, de sa croyance en lui-même et plus en Dieu, de la fin de la transcendance et du début de la dépression. Tout se tient !
Et Leyen là-dedans ? Bof, une petite employée du Diable, de tous les diables, qui fait son taf sans même se cacher, en se référant à un texte de séparatisme absolu et de haine tribale farouche. Le Talmud ? Youssef Hindi, qui l’a étudié, vous expliquera ça mieux que nous. On n’a pas la place ici, tant il y a à dire. Place au livre !