Cinq suspects projetant des attentats contre des ministères et des centres de vaccination ont été mis en examen et déférés vendredi.
L’enquête marathon, menée depuis février dernier par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) sur des néonazis de l’Est de la France voulant faire sauter des loges maçonniques, vient de connaître un nouveau développement. Vendredi, cinq suspects ont été présentés à un juge d’instruction et mis en examen pour association de malfaiteurs terroristes. Quatre ont été placés en détention provisoire. Le cinquième qui a sollicité un débat différé, a été incarcéré provisoirement en attendant le débat devant le juge des libertés qui aura lieu le 30 septembre. Âgés de 23 à 58 ans, ils avaient fait l’objet mardi dernier d’un discret coup de filet mené dans les Hauts-de-Seine, la Nièvre et la Charente-Maritime.
Selon nos informations, ils font partie d’une nébuleuse plus large, où se mêlent complotistes et activistes de l’ultradroite. « Venant de différentes “chapelles”, ils avaient une multitude de projets d’actions violentes visant des institutions », précise une source judiciaire.
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Arrêter des gens avant la commission de leur délit serait donc la nouvelle extravagance de notre société qui les enchaîne depuis l’inespéré et providentiel coronavirus. Cette aberration juridique est bien sûr réservée à une certaine f(r)ange de la population, les migrants pouvant continuer à brûler des cathédrales ou assassiner des curés – pourtant une espèce en voie de disparition, que font les écolos ?
Réservée à la fiction politique (et le crime d’arrière-pensée chez Orwell) ou cinématographique (et l’organisation gouvernementale Précrime chez Spielberg), cette folie juridico-policiaire devient réalité.
Mais plus rien ne nous étonne dans ce monde où tout est rendu possible, avec l’assentiment des peuples hypnotisés. Relisons Étienne de la Boétie (en lien dans ce présent article).