C’est le premier fait de société du gouvernement Macron, qui enfonce un nouveau clou dans le cercueil de l’Antiracisme, cette idéologie mortifère qui est visiblement en train de mourir sous les coups du réel. Et le réel, ce sont les habitantes du quartier de la Chapelle à Paris, situé entre le XVIIIe et le XIXe, qui ne peuvent plus sortir tranquillement de chez elles. Leur vie est devenue un enfer, du fait de la présence de migrants qui veulent s’approprier le sol national, avec leurs préjugés.
Les habitants du quartier manifestent depuis longtemps – les pauvres – contre la présence de dealers et de camés, car le crack y a fait son apparition dans les années 90. Le crack, cette pompe à fric noir venue des États-Unis et injectée dans les quartiers pauvres pour faire remonter des millions de dollars qui serviront aux opérations spéciales de la CIA... Le camé noir des ghetto qui finance sans le savoir l’impérialisme US en Amérique latine...
C’était sous l’ère Reagan, et c’est devenu un problème de société français. Le problème du crack a laissé la place à celui des migrants, et on peut se demander s’il ne s’agit pas là d’un second business dirigé par une mafia, avec un service de renseignement derrière, tant les choses semblent organisées. Chaque jour, la presse de gauche nous fait vivre des moments d’émotion humaniste intenses avec le sauvetage de milliers de migrants en mer, promis à la noyade et à une mort atroce. Des journalistes font le voyage dans des barcasses avec de pauvres Africains, cest vrai, mais le gros des arrivages se fait par « sauvetage » en mer. En réalité, une opération mondiale d’importation de perturbateurs sociaux.
Si la France peut et doit recevoir des familles syriennes fuyant la guerre, les Français ne voient arriver que des hommes jeunes aux intentions pas très nationales. Mais la France est partie prenante dans la guerre de Syrie, et pas du côté du peuple syrien, hélas.
Pour en revenir au microproblème géopolitique de La Chapelle, qui est un macroproblème pour ses habitants, on sent qu’il y a un éclatement du tabou. Celui de l’antiracisme, celui du migrant intouchable. Aujourd’hui, les Français concernés ouvrent les yeux, et comprennent que l’antiracisme les a bernés. Ces migrants-là, qui insultent les femmes de La Chapelle, ne sont pas des victimes du colonialisme français ou du racisme français. Ils ont été apportés là pour détruire le vrai vivre-ensemble national, pour détester la France et les Français, pour alimenter le chaos et le rejet entre communautés, ethnies et religions. Ce sont des séparateurs envoyés par des séparateurs.
Sautant sur l’occasion électoraliste, des politiciens s’y mettent, sentant le bon coup à jouer sur ce retournement de tendance.
EN VIDEO - Harcèlement de rue quartier de La Chapelle-Pajol : "L'Etat doit intervenir !" selon Valérie Pécresse pic.twitter.com/2T82FLGvjp
— BFM Paris (@BFMParis) 19 mai 2017
Un parti, un seul, était lucide avant les autres, mais il avait été mis au ban pour cela.
N'en déplaise aux hystériques bien-pensants du #DirectIDF, voici un exemple de ce qu'il se passe aujourd'hui dans certains quartiers : pic.twitter.com/Yd3AD1hRdp
— Groupe FN IDF (@FN_IDF) 18 mai 2017
Les habitants, eux, sont devenus lucides par la force des choses, et commencent à s’énerver.
Des habitants de la #Chapelle, venus dénoncer l'insécurité et le #harcelementderue des femmes, traités de racistes par des militants pic.twitter.com/PkuSDLLcuj
— Jonathan Moadab (@Jonathan_RTfr) 19 mai 2017
Cependant, il y a toujours des cerveaux intoxiqués qui essayent de défendre l’indéfendable.
Le crasseux qui agresse ne fera gaffe que si en retour il prend une raclée qui lui fera mal physiquement. Urbanisme & sermons, il s’en tape pic.twitter.com/0NSW0k90DP
— Un Cygne (@UnCygne) 19 mai 2017
Et même des femmes prennent fait et cause pour les pauvres migrants, qui seraient victimes de... racisme !
Travaillant ds le quartier, une militante ne nie pas les agressions mais dénonce leur instrumentalisation #chapellepajol (@Jonathan_RTfr) pic.twitter.com/gWTmBRbNpw
— RT France (@RTenfrancais) 19 mai 2017
On laisse la gauche se dépatouiller avec l’énorme contradiction entre son féminisme et son antiracisme. Faut-il laisser les Françaises se faire insulter, agresser et cracher dessus par antiracisme ? Un antiracisme bidon qui cache surtout une grande lâcheté...