En même temps, ils ont raison de ne pas vouloir être placés là, même s’ils avaient la meilleure volonté et les meilleurs intentions du monde (ce dont je doute pour beaucoup d’entre eux...).
En étant placés là, ils n’ont aucun moyen de trouver à travailler et sont condamnés à être oisifs et entretenus par des subventions. C’est très mauvais pour les locaux qui ont un village et des environs magnifiques, et qui vont voir leur paisible village Sarcellisé, mais c’est aussi mauvais pour les rares migrants qui seraient enclins à être discrets et bien s’intégrer, car un type qui a de l’énergie et de la bonne volonté devient fou quand il est parqué dans un logement, sans contrôle sur sa vie et juste avec une petite rante.
Si on voulait que ça se passe mal, on ne ferait pas autrement. C’est un peu comme diluer la merde pour soulager les grandes villes. Le problème c’est que ça pourrit bien plus vite un village.
Cette technique n’est pas nouvelle, ils l’ont appliquée aux cassos de souche depuis 20 ans. Ils les virent des villes et les parquent là où il y a de la place, en campagne, pour récupérer des taxes d’habitation en ville. Le problème, c’est que ces cassos ont encore moins de chance de trouver un travail et y sont encore plus isolés de la société. Ça donne une hausse de la délinquance et des cambriolages en série dans des villages où on avait toujours laissé sa porte ouverte.
Alors, même si dans le cas de ces migrants, leur raison n’était pas motivée par ces sages réflexion, c’est bien pour tout le monde. Qu’ils les mettent dans les villes, ces bétaillères de tout temps et qu’ils laissent encore un lieu vivable pour les gens qui refusent l’aliénation
Répondre à ce message