L’honnêteté nous oblige à dire que nous n’avons pas pu vérifier l’origine de cet enregistrement, mais les propos qui y sont tenus recoupent beaucoup des informations que nous avons pu recueillir sur la gestion de la crise sanitaire. Une « crise » qui a fait 25 000 morts, si l’on en croit les statistiques officielles, et qui a mis l’économie par terre. Provoquée ou pas, les résultats sont là : catastrophiques en termes humains et matériels, comme dans une guerre. Mais de qui contre qui ? Qui est l’ennemi ? Le virus ou la politique menée ?
Oui, dans beaucoup d’établissements, des moyens simples et connus pour contrer le virus n’ont pas été donnés aux patients qui présentaient des symptômes pas encore graves et qui ont alors dû affronter les affres de la réanimation, réanimation qui présente des dangers évidents.
Oui, dans beaucoup de services de réanimation d’établissements publics, on a subi un afflux de patients dans un état déjà très avancé qui auraient pu être envoyés dans des cliniques, qui avaient fait le vide pour eux.
Dans les propos tenus contre le gouvernement – ou le Président, puisqu’il est nommé – et sa politique, il y a une part de colère des soignants qui ne date pas d’hier, mais il y a aussi une énorme interrogation sur la volonté réelle de soigner. Alors, incompétence des néolibéraux ou politique de mise en danger d’autrui ?
La soignante : « C’est de l’euthanasie monsieur, et je pèse mes mots : injecter du Rivotril à un patient de 70 ans sous prétexte qu’on n’a pas de place en réa ça s’appelle de l’euthanasie, ni plus ni moins. »
L’intervieweur : « Comme vous dites, c’est des patients qui auraient pu être sauvés ? »
La soignante : « Bien sûr, y a plus de place en réa, qu’est-ce que vous voulez faire ? On va les mettre où les patients, on va les mettre où ? Ah, c’est bon, il a fait sa communication en prenant des TGV etc., par contre on l’a sollicité pour ouvrir certaines cliniques sur Paris qui sont fermées, qui n’ont personne, qui nous disent “ramenez-nous les patients, on va les prendre en charge, on a des places de réa”. Macron ne veut pas, Macron a dit non ! »
Certes, parler de politique d’euthanasie à propos des enfants qui vont reprendre l’école est un peu fort, mais si des anciens sont morts par milliers dans des Ehpad, nous savons que dans beaucoup de cas, la mort par Covid-19 a été attribuée sans avoir testé les patients ou alors pour recouvrir d’autres pathologies.
Était-ce une consigne secrète des autorités politiques afin d’alimenter la psychose, psychose qui a débouché sur un état d’urgence sanitaire à l’égal de l’état d’urgence terroriste ? Mais de quel terrorisme parle-t-on ? Du terrorisme organisé par le Système médiatico-politico-médical ? On n’en voit pas d’autre...
Il y a une foule d’interrogations à propos de la volonté réelle de soigner les Français de la part des autorités politiques dans la gestion de la crise sanitaire, et le déconfinement, qui est une sorte de dégel, va dégeler de nombreuses colères, de nombreuses plaintes et de nombreuses enquêtes. En d’autres termes, les autorités politiques sont-elles complices d’un crime contre les Français ?
Le scandale du coronavirus, que le Pr Raoult compare à celui du sang contaminé, ne fait que commencer.