Pendant le conflit de 14-18, sur le théâtre français, les écoliers allaient tant bien que mal à l’école. Dans les zones de combat, ce sont des militaires qui endossaient la blouse de l’instituteur pour entrentenir la flamme de l’instruction.
À l’époque, il était fortement question de nationalisme, de victoire et d’héroïsme. Une propagande de guerre compréhensible. Aujourd’hui, c’est l’inverse : la propagande joue contre la nation. Pourvu que nos enfants ne connaissent pas la guerre à nouveau, mais que l’école arrête aussi d’enseigner la défaite, la honte et la haine de la France. Il est temps que ça change ! Le moral de notre pays est à ce prix.