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Nous étions jeunes, nous étions innocents, nous étions puissants. Ils dirent à l’Angleterre : « Nous vous garantissons d’embarquer les États-Unis contre l’Allemagne dans cette guerre, si vous nous promettiez la Palestine après la victoire. »
En d’autres termes, ils firent ce pacte : « Nous nous chargeons de ramener les Etats-Unis en tant qu’allié ; le prix à payer sera la Palestine, après bien sûr, la défaite de l’Allemagne, Autriche-Hongrie, et Turquie. » L’Angleterre avait autant de légitimité de promettre la Palestine à quiconque, qu’auraient les États-Unis de promettre le Japon à l’Irlande pour quelque raison que ce soit. Il est absolument absurde que la Grande-Bretagne, qui d’ailleurs n’a jamais eu aucun lien en quoi que ce soit ou même un intérêt quelconque, pas plus que de droit par rapport à ce qui est connu en tant que « Palestine », ait à l’offrir comme part du gâteau pour payer les sionistes en service de leurs actions pour impliquer les États-Unis contre l’Allemagne.
Octobre 1916 : les sionistes font entrer les États-Unis en guerre – Déclaration Balfour
En octobre 1916 cette promesse fut faite malgré tout. Peu de temps après cela, je ne sais pas combien d’entre vous s’en souviennent, les États-Unis, qui étaient presque totalement « pro-Allemands », soudainement entraient en guerre aux cotés des Britanniques.
Je répète que les États-Unis étaient quasiment pro-Allemands ; parce que les journaux étaient tous contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs, toute l’industrie des mass media et de l’information dans ce pays était sous contrôle juif. Et il s’avère que les juifs étaient pro-Allemands. Parce que beaucoup d’entre eux étaient venus d’Allemagne, et ils ne rêvaient que d’une chose, voir les Allemands faire abdiquer le Tsar. De tous temps les juifs n’ont jamais aimé le tsar de Russie et ils ne voulaient pas le voir remporter la guerre. Ces banquiers juifs allemands, comme Kuhn & Loeb, et beaucoup d’autres banques américaines, simplement refusaient de financer la France ou l’Angleterre du moindre sou.
Par contre, ils versèrent des sommes colossales à l’Allemagne. Ils avaient choisi leur camp depuis le début de la guerre. Ils dirent : « Tant que l’Angleterre et la France sont liés avec la Russie, ils n’encaisseront pas le moindre dollar. » Ils procurèrent à l’Allemagne des fonds monétaires pour défaire la Russie.
discours de Benjamin Freedman
à l’hôtel Willard (Washington DC) en 1961
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