Voici, pour ceux qui n’ont pas suivi, l’attaque sous la ceinture de la gauchiasse, qui répond à un gourgandin qu’on ne qualifiera pas, par respect pour nos frères humains, et aussi par respect pour la justice, dont le glaive s’abat lourdement sur ceux qui disent ce qu’ils pensent.
Pour Juliette Armanet "Les Lacs du Connemara" de Michel Sardou « est une chanson qui me dégoûte… le côté scout, sectaire… c'est de droite, rien ne va »
Denoncé par la Cour des Comptes, l’artiste de gauche a reçu 154 000€ d’argent public aide à la création pic.twitter.com/877fqkv8NG— Destination Ciné (@destinationcine) August 12, 2023
Si ça c’est pas un appel au shit storm !
Jusque-là, la chanteuse au physique androgyne (autre chose que Christiano and the Queens) avait tout bon : elle avait défilé avec goût à la fashion week de Cannes, qu’on appelle aussi Le Festival, avait repris Les Moulins de mon Cœur de Michel Legrand, et puis blam, le mauvais fond gauchiasse qui remonte, comme les égouts dans la Seine après une pluie torrentielle : Juliette dégueule sur Sardou et son Connemara, la chanson la plus reprise en France à table, dans les mariages, les Super U et les soirées (de droite). Mais pas au Sauvages, on est d’accord.
Le nom de Connemara provient de l’irlandais Conmaicne Mara, qui signifie littéralement « descendants de Con Mhac de la mer ». Les Conmaicne Mara sont en effet une branche d’une ancienne tribu irlandaise issue de Connacht et localisée sur la côte atlantique. (Wikipédia)
Le rythme est éminemment militaire, mais le texte évoque une révolte, et ça, la gauchiasse, aussi imbue d’elle-même qu’elle est crassement ignorante, ne peut le savoir. Régis Le Sommier le lui rappelle :
Dans ce genre d’agression gratuite, on se fait toujours karmatiser rapidement. Les 150 000 balles qu’elle a raflés en « aide publique à la création », alors qu’elle ne fait presque que des reprises ou des merdes, c’est vraiment la définition du parasitisme culturel.
À partir d’aujourd’hui, et la chanteuse gauchiasse ne l’a pas calculé, elle va avoir un paquet de Français contre elle, ceux qu’on appelle le grand public et qui font le succès – ou l’insuccès – des chanteurs. Pour complaire à un intervieweur insignifiant, elle fout sa carrière en l’air.
On peut être sûrs que son prochain film va subir des appels au boycott, et qu’elle va pleurnicher sur les RS, où ça sera très dur, rapport au shit storm. Qu’elle se remémore les aventures du pauvre Franck Dubosc, qui avait tourné casaque sur les Gilets jaunes... Pourtant, le Franck, c’est un bon gars avec un bon fond, un mec d’en bas qui s’est fait tout seul, et c’était pas facile, surtout quand on a dû bosser avec Élie Semoun...
Juliette joue à la Sanson
Maintenant, pour que Juliette expie, voici Les Lacs du Connemara par Michel en 1982.
« On y vit encore au temps des Gaëls et de Cromwell
Au rythme des pluies et du soleil
Aux pas des chevaux
On y croit encore aux monstres des lacs
Qu’on voit nager certains soirs d’été
Et replonger pour l’éternité
On y voit encore
Des hommes d’ailleurs venus chercher
Le repos de l’âme et pour le cœur, un goût de meilleur
L’on y croit encore
Que le jour viendra, il est tout près
Où les Irlandais feront la paix autour de la Croix »