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Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

Macron, en sueur lors d’un meeting mémorable qui date de la campagne de 2017, hurlait « Le FN, c’est la guerre ! » ; lors de l’opération « Escrovid-19 », en 2020, il déclara placidement : « Nous sommes en guerre » ; souvenez-vous encore des enfants tenus par la main sur le Champs-de-Mars en 2022 ; puis récemment, en 2025, en direct : « La guerre est à nos portes. » Le but de toutes ces déclarations : faire juter la dette.

 

« L’usurocratie fait les guerres en série. Elle les fait selon un système préétabli, dans l’intention de créer des dettes. […]
Voici pourquoi se font les guerres : pour créer des dettes qui seront payées, voire même impossible à rembourser, dans une monnaie surévaluée. La guerre est le sabotage suprême. C’est la forme la plus atroce du sabotage. Pour dissimuler l’abondance existante ou virtuelle, les usuriers suscitent les guerres, et cela afin de créer la disette et la hausse des prix. Car il est plus difficile d’obtenir le monopole de matières qui abondent que de celles qui sont rares. Les usuriers déclenchent des guerres pour établir des monopoles à leur avantage, pour étrangler le monde et en obtenir le contrôle. Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent seuls des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l’unité monétaire. […]
L’histoire de l’usure commence à Babylone avec les prêts de semences, dès le troisième millénaire avant Jésus-Christ. »

Ezra Pound, Le Travail et l’Usure

 

L’UE se prépare donc à une guerre économique contre les USA et une guerre militaire contre la Russie. Sans rire. Les français ne sont pas encore assez pauvres, assez désespérés, assez suicidés mais déjà trop métissés, trop américanisés, trop israélisés pour réagir. Le réveil sera brutal.

Garder de bonnes relations avec Poutine et Trump, ne pas moraliser le débat, ne pas juger du haut de notre conscience universelle, ne pas s’isoler encore plus qu’on ne l’est déjà, c’est simplement le bon sens, en plus d’être le contraire de ce que prône BHL et ce qu’il représente. Le retour au réel, c’est ce que vont bientôt vivre, je l’espère, les idéologues-technocrates-dogmatiques de Bruxelles et leur moraline insupportable. Sinon, ce sera nous, millions d’Européens, qui allons encore une fois de plus payer la note.

« Je sais maintenant que les hommes ne sont pas mus par les idées ni par les éloquences... Ils dépendent des tonnes de propagande qui s’abattent sur eux, et qui collent avec leurs sentiments... […]
Pour vous dire tout cru mon sentiment, la race blanche est condamnée. Elle va disparaître, c’est une question de temps... Il y a bien de petits bonshommes qui viennent et qui disent "J’ai un message.. je resterai" et ceci, et cela... Rien du tout ! C’est une question de naissance, de cohabitation et de naissance. Évidemment la race jaune, la race noire vont tout bouffer, c’est une question de temps ! […] Dire : "Je vais mettre cette jolie plume au service de la paix, préserver ces malheureux Français qui sont dupés..." Et si je leur dis la vérité, ils vont s’exclamer : "Ah ! La voilà, la vérité, oui il a raison, non je ne marche pas !" Mais merde ! Ce n’est pas du tout comme ça que ça se passe ! Ils ont dit : "Ce saligaud-là ! Mais on va le pendre, l’écarteler..." »

Louis-Ferdinand Céline, Interview avec Stéphane Jourat (La Meuse)

Malgré le scandale Brigitte et les dossiers détenus par Trump et Poutine, rien de sort. Pas un pet. Est-ce encore trop tôt ?

Rappelons le pacte de corruption, les liens avec les Rothschild, l’entourage pédophile, le désastre des Gilets Jaunes, l’opération covid… Tout cela ne peut que finir très mal. Mais pour eux ou pour nous ?

« Écoutez les Français parler de ceux qui les gouvernent. C’est, neuf fois sur dix pour affirmer – fort justement – que ces gens sont des coquins, des abrutis ou des voyous. Mais essayez de toucher au système qui assure automatiquement la primauté des coquins, des abrutis et des voyous et les mêmes censeurs s’étrangleront d’indignation. »

Pierre-Antoine Cousteau

À l’instar de la justice partiale qui est rendue au nom du « peuple français », Macron-Jupiter s’exprime au nom de « tous les Français ». Et on le laisse faire. Il peut sans vergogne mentir, tout en sachant que nous savons qu’il ment ; il le sait : il y aura toujours des veaux pour le défendre.

 

 

Le problème finalement, avec du recul, ce n’est pas Macron, c’est la démocratie. La démocratie est le régime de la canaille et de la corruption. Tous les penseurs étaient antisémites avant 1945, vous le savez depuis le livre rassemblant les propos sur les juifs, le judaïsme et le sionisme. Eh bien de la même façon, hormis les fanatiques de la mystique démocratique (nous sommes dans le domaine religieux), tous ont dit pis que pendre de la démocratie. Ça tombe bien, je prépare un florilège sur le sujet !

« Ce qu’il nous faut avant tout, c’est une aristocratie naturelle, c’est-à-dire légitime. On ne peut rien faire sans tête, et le suffrage universel, tel qu’il existe, est plus stupide que le droit divin. Vous en verrez de belles, si on le laisse vivre. La masse, le nombre, est toujours idiot. Je n’ai pas beaucoup de convictions, mais j’ai celle-là fortement. Cependant il faut respecter la masse, si inepte qu’elle soit, parce qu’elle contient des germes d’une fécondité incalculable. Donnez-lui la liberté, mais non le pouvoir. […]
Éclairez le bourgeois, d’abord, car il ne sait rien, absolument rien. Tout le rêve de la démocratie est d’élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli. Il lit les mêmes journaux et a les mêmes passions. »

Gustave Flaubert à George Sand, Croisset, 4 ou 5 octobre 1871
Arthur Sapaudia

 

La guerre et la Banque

 






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12 Commentaires

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  • #3505466
    Le 12 mars à 11:07 par Philippe Aillot
    Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

    Je ne fais pas partie de la bande de ceux
    Qui attisent les braises d’un passé béliqueux,
    Vendent canons et mitraillettes puis commémorent
    Se bousculant nombreux au monument aux Morts.

     

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  • #3505470

    Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire, mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, non pas populaire mais contrôlée par des partis politiques sous influence des « puissances d’argent ».
    Signalons au passage que la France a été le pays d’Europe où il a été le plus longtemps interdit de pratiquer l’usure. Et c’est à la Révolution française, avec l’aide de personnalités « savantes » des « Lumières » qui critiquaient cette interdiction et la jugeaient « archaïque » et « obscurantiste », qu’on a fini par légitimer le prêt à intérêt.
    Notons également que c’est lorsque les Templiers furent supprimés de l’échiquier politique que l’Église romaine cessa d’excommunier ceux de « ses enfants » qui pratiquaient l’« usure », c’est-à-dire le prêt à intérêt, dont on sait aujourd’hui les conséquences que la liberté ainsi accordée devait avoir sur l’évolution du monde Occidental. Cette première « dégénérescence de la monnaie » fut bien le début du « règne de Mammon ».

     

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    • #3505507

      Quand on prête de l’argent il est normal de percevoir un intérêt !
      - pour le risque couru
      - pour compenser l’inflation
      De plus, L’emprunteur emprunte generalement pour une opération qui doit lui rapporter, donc normal qu’il en fasse profiter le prêteur !

       
    • #3505512
      Le 12 mars à 13:00 par H. K. Daghlian
      Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

      Vous pouvez rapporter toutes les horreurs de l’histoire moderne, depuis la révolution, à l’usure et ses conséquence, notamment l’asservissement de tout ce qui lui est soumis : les peuples, les gouvernements, les armées, les économies. La dette n’est par faite pour être remboursée, et croire le contraire est une bêtise sans nom.

      Ceux qui sont derrière en ont fait une règle et une méthode très efficace pour prendre le pouvoir et sans surprise ce sont toujours les mêmes : fauteurs de guerre, usuriers, empoisonneurs, assassins, menteurs, manipulateurs, pleurnichards et j’en passe des clichés à peine surfaits et qui se confirment chaque jour sous nos yeux.

      La seule manière de s’en sortir est de refuser à titre individuel tout ce qui implique l’usure, que ce soit dans un sens ou dans l’autre, ce qui n’est pas une mince à faire tant c’est entré dans les pratiques. Ce n’est pas pour rien si l’usure a été dans les anciens temps combattue à mort.

      Le livret A en est un exemple, l’arnaque est d’appeler cela "un placement". Les banques ne fonctionnement que par l’usure et ce n’est pas pour rien qu’ils ont rendu le fait d’avoir un compte bancaire obligatoire, la société de consommation pousse les individus à faire des crédits pour acheter des trucs dont ils n’ont pas besoin. Les exemples sont légion.
      Comment reprocher au pouvoir d’être un pantin de l’usure quand on ne la condamne pas à titre individuel ?

       
    • #3505517
      Le 12 mars à 13:03 par la chasse est ouverte
      Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

      Anonyme : votre logique est celle de nos ennemis ou au minimum celle des protestants !

       
    • #3505543

      @ anonyme
      Désolé mais ton commentaire est débile :
      La banque qui prête l’argent avec des intérêts, premièrement cet argent ne lui appartient pas, c’est celui des épargnants (qui plus est elle peut prêter jusqu’à 9 fois ou plus le montant de ses dépôts)
      Deuxièmement elle ne prend quasiment aucun risque puisque elle saisi les avoirs en cas de non remboursement.
      Troisièmement l’inflation est dû précisément aux intérêts, plus il y a d’intérêts et d’émission de monnaie plus il y a d’inflation.
      Enfin pourquoi est-ce seule les banques qui peuvent prêter ? Pourquoi pas l’état ?

       
  • #3505487
    Le 12 mars à 12:14 par Baboulinet 78
    Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

    Les francs mougeons se réfugient dans un autisme forcené . Ils et elles prennent un chien qu’ils vont promener entre deux séances de rééducation merdias mean stream .

     

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  • #3505492
    Le 12 mars à 12:22 par paramesh
    Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

    imposer la démocratie à un pays c’est se donner la possibilité de l’acheter en corrompant ses élites politiques.

     

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  • #3505513

    "L’UE se prépare donc à une guerre économique contre les USA".
    Ce sont plutôt les USA qui déclarent la guerre économique ! Les surtaxes imposées à un pays impliquent en retour des surtaxes de rétorsion. Normal.
    Tout ceci provoque des prix plus chers, des entreprises pénalisées et les bourses qui plongent !

     

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  • #3505522
    Le 12 mars à 13:06 par Alençon
    Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

    re Arthur , sur la démocratie..
    Lorsque les volontés de corrompre et d’ être corrompu se rencontrent , la démocratie n’ est pas protectrice de l’ intérêt général , mais le pire est qu’ elle légitime l’ amoralité des valeurs directrices , au nom du respect des procédures.. Pourtant , ça n’ est pas la démocratie , en tant que mécanisme , qui abuse le peuple , ce sont bien les acteurs du système , petits ou grands .

    La démocratie est un droit à la propriété immatérielle , un actionnariat des décisions politiques , qui débouche sur une privatisation (aujourd’ hui outrancière) des moyens de l’ état , seulement parce que Lois et Justice le permettent.. c’ est l’ organisation de l’ irresponsabilité des bénéficiaires de l’ argent public qui plombe le projet démocratique .

    Pas de démocratie possible sans responsabilité de ses serviteurs !!
    Nous avons fait exactement l’ inverse , du Président au simple agent en passant par les syndicats et lobbies , aucun à titre personnel n’ a de compte à rendre pour les erreurs commises ; des récompenses oui , du pouvoir souvent , des responsabilités jamais.. c’ est ça qui a , pour moi , transformé le rêve démocratique en cauchemar mafieux .

     

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  • #3505534
    Le 12 mars à 13:30 par à cloche pied.
    Les Chroniques d’Arthur : Macron, la guerre et la dette

    aprés la phase de la spéculation sur le pantalon à une jambe.
    la phase stockage pour revendre ce méme pantalon à une jambe a celui qui reviendra de la boucherie avec une jambe.

     

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