Macron, en sueur lors d’un meeting mémorable qui date de la campagne de 2017, hurlait « Le FN, c’est la guerre ! » ; lors de l’opération « Escrovid-19 », en 2020, il déclara placidement : « Nous sommes en guerre » ; souvenez-vous encore des enfants tenus par la main sur le Champs-de-Mars en 2022 ; puis récemment, en 2025, en direct : « La guerre est à nos portes. » Le but de toutes ces déclarations : faire juter la dette.
Macron, hyper théâtral, expliquait que le nationalisme du FN en 2017 mènerait à la guerre et que son élection l'éviterait :
"Ce sont vous et vos enfants qui irez faire la même guerre qui en a fait tomber tant et tant."
C'est l'extrémisme globaliste qui mène à la guerre.… pic.twitter.com/w03ThtA9MD
— Kim Jong Un (@KimJongUnique) March 6, 2025
« L’usurocratie fait les guerres en série. Elle les fait selon un système préétabli, dans l’intention de créer des dettes. […]
Voici pourquoi se font les guerres : pour créer des dettes qui seront payées, voire même impossible à rembourser, dans une monnaie surévaluée. La guerre est le sabotage suprême. C’est la forme la plus atroce du sabotage. Pour dissimuler l’abondance existante ou virtuelle, les usuriers suscitent les guerres, et cela afin de créer la disette et la hausse des prix. Car il est plus difficile d’obtenir le monopole de matières qui abondent que de celles qui sont rares. Les usuriers déclenchent des guerres pour établir des monopoles à leur avantage, pour étrangler le monde et en obtenir le contrôle. Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent seuls des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l’unité monétaire. […]
L’histoire de l’usure commence à Babylone avec les prêts de semences, dès le troisième millénaire avant Jésus-Christ. »Ezra Pound, Le Travail et l’Usure
L’UE se prépare donc à une guerre économique contre les USA et une guerre militaire contre la Russie. Sans rire. Les français ne sont pas encore assez pauvres, assez désespérés, assez suicidés mais déjà trop métissés, trop américanisés, trop israélisés pour réagir. Le réveil sera brutal.
Garder de bonnes relations avec Poutine et Trump, ne pas moraliser le débat, ne pas juger du haut de notre conscience universelle, ne pas s’isoler encore plus qu’on ne l’est déjà, c’est simplement le bon sens, en plus d’être le contraire de ce que prône BHL et ce qu’il représente. Le retour au réel, c’est ce que vont bientôt vivre, je l’espère, les idéologues-technocrates-dogmatiques de Bruxelles et leur moraline insupportable. Sinon, ce sera nous, millions d’Européens, qui allons encore une fois de plus payer la note.
« Je sais maintenant que les hommes ne sont pas mus par les idées ni par les éloquences... Ils dépendent des tonnes de propagande qui s’abattent sur eux, et qui collent avec leurs sentiments... […]
Pour vous dire tout cru mon sentiment, la race blanche est condamnée. Elle va disparaître, c’est une question de temps... Il y a bien de petits bonshommes qui viennent et qui disent "J’ai un message.. je resterai" et ceci, et cela... Rien du tout ! C’est une question de naissance, de cohabitation et de naissance. Évidemment la race jaune, la race noire vont tout bouffer, c’est une question de temps ! […] Dire : "Je vais mettre cette jolie plume au service de la paix, préserver ces malheureux Français qui sont dupés..." Et si je leur dis la vérité, ils vont s’exclamer : "Ah ! La voilà, la vérité, oui il a raison, non je ne marche pas !" Mais merde ! Ce n’est pas du tout comme ça que ça se passe ! Ils ont dit : "Ce saligaud-là ! Mais on va le pendre, l’écarteler..." »Louis-Ferdinand Céline, Interview avec Stéphane Jourat (La Meuse)
Malgré le scandale Brigitte et les dossiers détenus par Trump et Poutine, rien de sort. Pas un pet. Est-ce encore trop tôt ?
Rappelons le pacte de corruption, les liens avec les Rothschild, l’entourage pédophile, le désastre des Gilets Jaunes, l’opération covid… Tout cela ne peut que finir très mal. Mais pour eux ou pour nous ?
« Écoutez les Français parler de ceux qui les gouvernent. C’est, neuf fois sur dix pour affirmer – fort justement – que ces gens sont des coquins, des abrutis ou des voyous. Mais essayez de toucher au système qui assure automatiquement la primauté des coquins, des abrutis et des voyous et les mêmes censeurs s’étrangleront d’indignation. »
Pierre-Antoine Cousteau
À l’instar de la justice partiale qui est rendue au nom du « peuple français », Macron-Jupiter s’exprime au nom de « tous les Français ». Et on le laisse faire. Il peut sans vergogne mentir, tout en sachant que nous savons qu’il ment ; il le sait : il y aura toujours des veaux pour le défendre.
Le problème finalement, avec du recul, ce n’est pas Macron, c’est la démocratie. La démocratie est le régime de la canaille et de la corruption. Tous les penseurs étaient antisémites avant 1945, vous le savez depuis le livre rassemblant les propos sur les juifs, le judaïsme et le sionisme. Eh bien de la même façon, hormis les fanatiques de la mystique démocratique (nous sommes dans le domaine religieux), tous ont dit pis que pendre de la démocratie. Ça tombe bien, je prépare un florilège sur le sujet !
« Ce qu’il nous faut avant tout, c’est une aristocratie naturelle, c’est-à-dire légitime. On ne peut rien faire sans tête, et le suffrage universel, tel qu’il existe, est plus stupide que le droit divin. Vous en verrez de belles, si on le laisse vivre. La masse, le nombre, est toujours idiot. Je n’ai pas beaucoup de convictions, mais j’ai celle-là fortement. Cependant il faut respecter la masse, si inepte qu’elle soit, parce qu’elle contient des germes d’une fécondité incalculable. Donnez-lui la liberté, mais non le pouvoir. […]
Éclairez le bourgeois, d’abord, car il ne sait rien, absolument rien. Tout le rêve de la démocratie est d’élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli. Il lit les mêmes journaux et a les mêmes passions. »Gustave Flaubert à George Sand, Croisset, 4 ou 5 octobre 1871