La propagande LGBT est décidément efficace. Au Danemark, selon les estimations actuelles, le nombre de mineurs à s’être déclaré transgenres cette année a doublé, dans un contexte de libéralisation de l’accès aux thérapies hormonales.
Depuis janvier 2016 en effet, la Clinique de sexologie de Copenhague a proposé ce type de traitement aux mineurs qui se sentent, comme disent les militants du genre, « prisonniers » d’un corps qui ne correspond pas à leur sexe ressenti.
Au début de l’année, la clinique pensait voir arriver quelque 50 demandes de mineurs en 2016, mais ce nombre a été dépassé en six mois à peine, conduisant l’établissement à augmenter son estimation pour l’année à 130 demandes.
Il s’agit là de traitements réputés irréversibles, accessibles désormais aux mineurs de 16 ans et plus.
Dès l’âge de 12 ans, les jeunes au Danemark peuvent se voir prescrire des bloqueurs de la puberté, qui permettent d’éviter l’apparition de la pilosité faciale chez les garçons et des règles chez les filles, mais les effets de ces bloqueurs sont réversibles.