Avant que l’ingénierie sociale ne devienne une expression à la mode, on l’appelait très prosaïquement une grosse ficelle. L’entreprise mondiale de tolérance obligatoire en faveur du lobby gay en est une belle.
Il ne s’agit pas de faire tolérer l’homosexualité, ce qui est un fait, puisque personne ne peut sonder ni diriger les âmes et les alcôves, mais de détruire les modèles familiaux et sociaux traditionnels.
Sous le couvert de la lutte contre toute discrimination, un pouvoir avance masqué. La distinction doit être faite entre homosexualité privée et prosélytisme gay. La première ne peut être critiquée, sauf par quelques esprits limités (on ne peut pas ignorer le réel, si l’on veut raisonner correctement), mais le second est éminemment critiquable, puisqu’il s’agit de la transformation d’une discrimination en pouvoir, sur le modèle bien huilé du lobby sioniste.
La souffrance donnerait le droit moral de juger les autres, et de les soumettre. C’est ce contre quoi s’élève le pékin moyen quand il se déclare « homophobe », ou antigay. La distinction n’étant pas faite, sa résistance politique au changement oligarchique de modèle dominant (homme-femme) en modèle confus est pris volontairement pour du racisme sexuel.
Les ingénieries sociales sont toujours subtiles, et piégeuses.
Le symbole positif actuel de l’offensive LGBT « queer », c’est la surmédiatisation soudaine de Christine, la chanteuse-danseuse de Christine and the Queens, qui a fait la couverture d’un grand hebdomadaire américain, et qui est considérée comme la Française « la plus influente ». Une décision de la presse maintstream internationale, évidemment. En plateau, elle fait face à deux copines idéologiques, l’ex-comparse de Marc-Olivier Fogiel Anne-Élisabeth Lemoine, et l’humoriste Muriel Robin. Aucun risque d’homophobie en plateau.
L’émission date d’il y a deux ans très exactement, mais tout y est : le sexisme, le féminisme, la discrimination, l’homosexualité, les transgenres...
Le prestigieux National Geographic met une transgenre en couverture
Pour son numéro du mois de janvier 2017, l’édition américaine de National Geographic met en avant un « paysage en plein changement du genre ». Titré La révolution du genre, la une fait poser une petite fille vêtue de rose, de la couleur de ses cheveux à ses vêtements. Âgée de 9 ans, Avery Jackson est la première personne transgenre à apparaître sur la couverture du magazine.
« Nous voulions voir comment les rôles traditionnels des sexes sont perçus dans le monde, mais aussi regarder le genre comme un spectre », détaille Susan Goldberg, la rédactrice en chef, sur NBC Out.
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« Je ne suis pas un monstre »
« La meilleure chose dans le fait d’être une fille, c’est de ne plus avoir à prétendre d’être un garçon », déclare la fillette de la couverture, dans le National Geographic. Avery Jackson est connue dans les médias anglo-saxons pour son engagement envers la cause transgenre.
« Je me sens si heureuse et fière d’être transgenre… J’aimerais que les gens n’aient pas peur de (nous). Je ne suis pas un monstre. Je ne fais pas peur. Je veux simplement être traitée comme n’importe quel autre être humain », confie-t-elle au Paper magazine, relayé par RTL.
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Votre pays est plus gay-friendly que vous ne le croyez
Un vaste sondage international conclut que la plupart des Européens sous-estiment la tolérance de leurs concitoyens face à l’homosexualité.
« Quel est le pourcentage de gens qui pensent, dans votre pays, que l’homosexualité est inacceptable ? » C’est la drôle de devinette qui a été posée à quelque 27 000 personnes à travers le monde, entre septembre et novembre dernier. L’institut de sondage Ipsos MORI a comparé les moyennes nationales aux derniers chiffres mesurés par le Pew Institute sur le rejet réel des modes de vie gay et lesbien dans chaque pays. La Suisse ne fait pas partie de l’échantillon.
Les résultats laissent perplexe. Car c’est dans les pays où l’acceptation des LGBT est la plus enracinée, à savoir en Europe de l’Ouest et du Nord, que l’écart entre perception et réalité est le plus fort. Les Pays-Bas, par exemple présentent un taux d’intolérance particulièrement bas (5%), alors que la population l’évalue à 36%. En France, secouée ces dernières années par le phénomène Manif pour tous, l’écart est un peu moins prononcé entre rejet actuel des homos (14%) et sa perception dans l’opinion (35%).